Sujet: Archimède Keiran Dolohov || Présentation [100%] Dim 10 Juin - 22:56
Archimède Keiran Dolohov
« L’avenir, c’est moi en pire »
Specialis Revelio.
Ϟ NOM : Dolohov Ϟ PRENOM : Archimède Keiran Ϟ AGE : 16 ans Ϟ IDEOLOGIE : Neutre, se fait passer pour un pro-voldemort par simplicité Ϟ MAISON : Poufsouffle Ϟ METIER/POSTE : Membre des Siffleurs Ϟ CARACTERE :
Ϟ RACE : Sorcier Ϟ SANG : Officiellement, Sang-Pur. Officieusement, Sang-mêlé Ϟ BAGUETTE MAGIQUE : Bois d'Aubépine, Ventricule de dragon, 23,2 cm. Relativement souple. Ϟ DEMEURE : Manoir des Dolohov, petite chambre dans une aile reculée. Ϟ EPOUVENTARD : L'avenir Ϟ NIVEAU DE FIDÉLITÉ : N'a pas encore passé le test. Il serait néanmoins de niveau 2. Ϟ AVATAR : Ash Stymest
Ϟ Physique & Caractère.
La beauté a toujours gouverné. Signe de richesse, de pouvoir. On se met à genoux devant elle. On lui baise les pieds dans le vain espoir qu’elle porte un simple coup d’œil sur nos corps fade et banal. Il serait idiot de croire que le physique n’a pas de jugement. La parade de l’apparat est éternelle. Nous sommes constamment jugés sur qui nous sommes. Le sang, l’argent, le physique, la personnalité. L’apparence est la première à être piétinée par les regards qui ne veulent que nous mettre plus bas que terre. Avouons-le, nous aimons nous comparer. Cela nous permet de nous sentir plus fort que l’on est. On se sent mieux dans notre pantalon quand un tel ou autre a quelque chose qui nous fait paraître d’une beauté supérieure. On crache alors avec fierté sur notre nom. Le menton haut, le regard droit, un vague sourire hautain et vaniteux. Jusqu’à ce que l’on croise une autre personne qui nous remet à notre place de départ, nous renvoyer à l’image de notre pauvre squelette habillé de chair. Il paraît que j’ai une belle gueule. Certains m’ont dit que cela était grâce à mon sourire invitant et mon air modeste qui est toujours accroché sur mes traits. . C’est ce qu’ils croient. Ils sont aveugles. Si seulement ils savaient…. Je suis banal. Ni beau, ni laid. Juste banal, fade et naturel. Trop, peut-être. On pourrait deviner aisément ce que je ressens par un seul regard. Mais depuis longtemps j’ai appris à dissimuler mes véritables sentiments par d’autres. C’est facile en fait. Je n’ai qu’à paraître heureux. Et cela fait tellement d’années que je m’y exerce que la haine et la peine me sont presque devenues inconnues. Presque. Devant quelques rares personnes, dans des instants d’égarements. Je retrouve ces ressentiments. Avec plus de violence que cela n’aurait été nécessaire si je m’y laissais pleinement aller chaque jour. Mais j’en suis incapable. L’hypocrite bonheur m’a fait prisonnier. Oui. Je parais heureux, social, souriant, timide. Je le suis pleinement devenu extérieurement. Je transpire le mensonge. De toute part.
Et c’est pour cela que je me déteste.
Car quand je me regarde dans un miroir, je ne m’y retrouve pas. Une tignasse brune soyeuse sur un visage fin, une peau aussi blanche que la mort et un grand corps maigre, beaucoup trop, je n’ai que de la peau sur les os. Je suis couvert de divers tatouages moldus. Acte de rébellion. Le seul. Chaque nouveau, je me dois une punition. Mais je me retrouve seulement dans ces traces d’encre. Quand je les observe, un étrange calme me transporte. Ils me représentent. Mais peu importe les conséquences. Car je les ai choisis. Tout le contraire de mes yeux gris, dont j’ignorais la provenance avant mes onze ans et qui dégagent une mystérieuse froideur. Un mystère, je dis. Beaucoup vous diront que cela est étrange. Comment le gentil Keiran, pacifique comme pas deux, peut nous donner un long frisson quand l’on croise son regard. Mes iris révèlent qui je suis au fond. Si seulement je savais moi-même qui j’étais. Je me sens minable quand mon père pose sa vue dans la mienne. J’ai peur quand je croise mon propre regard dans le reflet. Peut-on être effrayé par qui nous somme? Pour ma part, la réponse est toute trouvée. Je me dégoûte. Ma famille a fini par me faire haïr. Bâtard. Ce mot est écrit dans mes veines, sur mon front. Je suis un enfant souillé. Je suis le fruit du mensonge. Je suis le fils de l’enfer.
Qui aux yeux de tous, vit dans un paradis majestueux.
~~~
Je pue l’hypocrisie. Il y a deux Archimède Keiran Dolohov. Celui que tout le monde croise. Et celui qui se terre. L’un qui est doux et brille comme le soleil. L’autre qui représente la noirceur, le côté sombre qui effraie. Je cache cette partie de moi, je l’emprisonne même si parfois, elle réussit à échapper à mon contrôle. Je voudrais être le seulement premier. Mais je ne peux pas, car sinon le dégoût m’emprisonnera pour de bon. Je ne peux être l’un ou l’autre. Ils vont de pairs. On me prend faible. Je le suis. Mais ma famille, malgré tout son mépris pour moi, m’a élevée dans les plus sombres valeurs. Je suis une piètre personne, car j’essaye d’ignorer ce que je suis. Je suis faible. Mais c’est cette faiblesse qui me donne ma force….
Si mes traits paraissent souvent durs et sombre, on me décrit habituellement comme étant quelqu’un de profondément doux. Un gros matou protecteur. Timide comme pas deux, je rougis facilement et baisse le regard quand je sens que l’on me juge. Pourtant, lorsque je prends le courage nécessaire avec défi, j’arrive facilement à me lier aux autres. Paradoxal non ? Ma personne l’est... À part moi-même, peu de choses arrivent à me décourager. Je suis un éternel optimiste, car je crois sincèrement que si on s’en donne le pouvoir, on peut arriver à faire basculer les choses. D’ailleurs, j’accorde facilement ma confiance. Trop, peut-être. Je n’arrive pas à me fier à moi, alors je donne tout aux autres qui ont le mérite de la gagner par un simple geste. Ainsi, certains se plaisent à me décrire comme un imbécile heureux, lâche de surcroît. Ils ont raison pour cette dernière. Je n’attaque jamais, la défense est ma plus précieuse des armes. En public. Parce que s’ils ont raison sur ce point, ils ont tort en me croyant aveugle. J’accumule beaucoup. J’ai toujours eu un sens de compréhension plus élevé que la moyenne et si je suis incapable de le démontrer, à l’intérieur, je boue littéralement. Je suis rancunier. Et on m’a appris à me venger. Quand l’on s’en prend à moi, la vengeance est un plat que se mange froid. Je suis patient. Sous le couvert de l’obscurité, j’attaque. Lâche oui. Personne d’autre ne doit savoir, personne ne doit comprendre. Je suis un poufsouffle. J’ai peur. Un serpent sommeille en moi. Parce que je suis né dans le mal. Parce que je prends un malin plaisir à la torture. Parce que mon aura est parsemée de magie noire…
Ϟ Car oui j'ai une vie.
« L'enfance est pleine de désillusions. »
Il paraît qu’un enfant doit être conçu dans la joie du couple, dans l’amour. Entre deux êtres s’aimant suffisamment pour concevoir le fruit de leur union, de leur passion. Se lier pour créer un enfant leur étant directement accroché dans les mailles sinueuses de ce que l’on appelle le destin. Une branche de notre arbre que l’on peut que chérir, qui fait bomber notre torse de fierté, même si les attentes n’ont pas toutes été comblées. Pour plusieurs, ce n’est que connerie et seule compte l’alliance de deux bons partie pour engendrer une lignée supérieure. Dans notre monde, cette méthode gouverne. J’aurais dû naître dans cette dernière. Officiellement, cela est le cas. Officieusement, c’est tout le contraire. Je le sais maintenant. Mais personne ne doit savoir, on me l’a fait comprendre. Ainsi, beaucoup envient ma position. Ignorants pauvres délurés d’esprit ! Je suis un Sang-Pur. Certes. Ma famille est grandement respectée chez les uns, crainte par d’autres et mépriser les sorciers de second rang. Baignant dans la magie des plus noire et fidèle des clans du mal depuis nos plus sombres générations, elle a tout de même une place de choix de la société. Je devrais en être fier. Une part de moi, refusant toujours d’ouvrir les yeux, enfant innocent dans l’organe des sentiments, possède cette fierté innée rattachée à notre histoire. Mais cette perfide illusion m’est inlassablement détruite lorsque mon regard a le malheur de croiser celui que je nomme père. Aimais-je cet homme ? Je voudrais tellement voir une maigre chaleur sur ces traits. Les années m’ont démontré que Samaël Dimitri Dolohov était incapable d’avoir une trace de sympathie à mon égard. Ça fait mal. La vie défile comme un inclassable cauchemar. Bâtard crie son être entier face à ma maigre enveloppe charnelle. Pourtant, je n’arrive à le détester. On voit, on croit. On ignore. Public spectateur d’une relation père-fils des plus hypocrites. Nuls, hormis la famille et quelques rares personnes, ne savent la réalité. Je vivais dans le mensonge sans même le savoir. Mais onze années est suffisant pour que je ne vois père comme un ennemi. L’homme qui est officiellement mon géniteur n’avait été que blessé. Orgueil piétiné par le nouvel être que j’étais. Puis-je mépriser une personne qui avait souffert par ma faute ? J’y suis incapable. Faible. Ou trop souple. Il veut que je souffre comme lui-même avait ressenti cet état de faiblesse. Le vois-tu, père, que tu as réussi ?
Fuck. Bitch.
Il y a seize ans, ma vie commença dans notre majestueux manoir. Heureux évènement en apparence. Cela était sans compter que neuf mois auparavant, Éloïse Avery-Dolohov avait commis l’ignoble erreur d’aller partager un lit autre que celui de son mari. Pire. Horrible vérité. Ce dernier était un sang-de-bourde. Mère savait-elle ? Jamais je n’ai osé le lui demander. Cet homme qui m’est génétiquement lié, je ne sut jamais son nom. En fait, j’ignorais jusqu'à son existence avant mon anniversaire qui me mènerait à entrer à Poudlard. Ainsi, enfant, je pensais naïvement que ce que je vivais était tout à fait normal. N’avais-je pas un jour espéré l’amour de mes parents ? Oui, continuellement. Et cela est encore le cas aujourd’hui. Imbécilement vôtre que tu nous tiens. Mais je ne côtoyais rarement d’autres enfants qui m’auraient permis de comprendre que la situation était anormale. Je grandis en espérant seulement recevoir une once de sympathie venant de la part de mes parents. Là n’était que ma seule ambition. Ainsi, je voulais être parfait. De ceux qui ignoraient encore que la perfection n’existait point. Seulement l’espérance n’avait pas cette douloureuse illusion. Enfermé, dans ma petite chambre, je n’avais que la compagnie que de compagnons imaginaires et des servantes du manoir. Ces dernières, je les considérais à la fois comme les bonnes sorcières et à la fois comme des marraines féeriques. Je pensais que c’était par leur faute que je ne pouvais sortir. Elles répétaient sans cesse que j’étais trop fragile pour. (Il était vrai que j’étais un enfant chétif, mais ma santé n’a jamais été compromise !). Je les détestais pour cette raison. Tandis qu’au contraire, les quelques employés m’étaient source de réconforts par leur brève présence silencieuse à toute heure de la journée. Parfois, oui, à quelques rares occasions, la visite de cousins égayait mes journées. J’essayais alors d’être le meilleur des hôtes, comme père et mère me l’avaient appris.
Mon éducation, bien que mise à l’écart, se fit dans les règles de l’aristocratie. Tenure, comédie, mensonge, vengeance, magie aussi bien que noire que blanche… Une tutrice m’était rattachée sous l’œil avisé de ma mère. On m’éleva comme le parfait sang-pur, mais mon enfermement m’avait confié des valeurs que je ne retrouvais pas dans cette éducation. Loin des oubliés, j’accumulai de ses deux opposés. Je me savais déjà possesseur de pouvoir. Enfant prodige sans ma mystérieuse conception. Mais pourquoi devais-je être considéré supérieur par ce fait ? Pourquoi, mère, elle était bien la seule, me disait toujours que mon sang ferait de moins un dirigeant ? Mes questions étaient souvent sans réponse, trop timide pour oser levant la main. J’essayais de comprendre par moi-même, observant mes rares compagnons qui s’aventuraient à ma présence et de ceux qui je ne voyais que par la fenêtre clôturée de ma chambre qui offrait une vue sur le jardin. Ils étaient mes sujets d’étude et me transmettaient, sans le savoir, leur point de vue sur le monde.
[…]
« « La vérité est une illusion et l'illusion est une vérité. » »
Poudlard ! Enfin ! Mon anniversaire arrivait, me promettant un nouveau foyer à la prochaine rentrée. J’y étais impatient, voulant partir à la découverte de ce monde qui m’était inconnu outre les murs de la demeure familiaux. Étrangement, si mes fêtes auparavant n’étaient que brièvement célébrer, cette année on me fit préparer, habit de circonstance et fête à petit comité organisé. Moi, qui avais tant espéré cette attention, je l’avais enfin. Curieusement, je m’y sentais mal. Tout cela sonnait tellement… faux. Quand j’avais rejoint le grand salon, mon regard avait rencontré celui de Père. Intimidée par cet instant inhabituel, j’avais baissé les yeux avant de les relever avec un maigre courage inexistant. Mais déjà, il s’était retourné, un sourire en coin qui loin de me rassurer, me fit trembler d’effroi. J’en sus la raison quelques minutes plus tard.
La porte de la cave, que l’on m’avait toujours interdite, s’ouvrit sur un servant, amenant avec lui un homme menotté aux teints cadavériques, la chemise tâchée de sang et de sueur. Instinctivement, j’avais reculé d’un pas, mon dos percutant la main de mère. L’inconnu poussait des râles rauques, essayant de se débattre, mais toute énergie avait quitté son corps. Si j’avais d’abord été effrayé, une envie de l’aider me traversa. Je ne le connaissais pas pourtant. Ma compassion aurait pu être fatale si père ne m’avait devancé, renvoyant l’employé et empoignant par sa prise, les cheveux du prisonnier. Puis, je me souviens encore, il s’est tourné vers moi, le visage plus menaçant que je ne l’avais vu.
La vérité éclata.
Enfant du mensonge. Être souillé. Fils de l’enfer. Fils d’une tromperie. Bâtard. Bâtard. BÂTARD!
Ces mots se répétaient inlassablement. Bâtard. Mensonge. Un sentiment que je n’avais jusqu’à jamais ressenti m’enflamma l’esprit. De la haine. Pure et simple. Contre mère, hypocrite femme, contre père, contre cet homme qui avait osé me créer, contre moi… Contre le monde entier. J’étais effrayé. Je le suis toujours. J’avais à peine conscience du monde qui m’entourait. J’étais possédé par une force que je ne pouvais contrôler. Je ne bronchais à peine quand Samaël Dolohov tortura le prisonnier qui était mon père. Je ne fis aucun mouvement quand il le tua après de longues minutes de doloris. Je ne dis rien quand mon « paternel » se tourna vers moi pour me souhaiter un joyeux anniversaire avant de partir hors de la pièce en compagnie de mère qui ne jeta aucun regard à la dépouille.
Ce n’est qu’une fois seul que j’explosai. Une force, incontrôlable, prit possession de mes actes. La pièce trembla. Ou était-ce moi ? Je m’emparai d’une lampe et la balançai avec mes maigres forces contre le mur de pièce. Des débris de vitre me firent saigner, mais je n’y vis rien. J’ai peur. Je suis le mal. Je suis l’enfer. Je me jetai sur le mort. Balançant coup de pied et de main sur le cadavre. Crève Lucifer ! Tout était de sa faute. Sa faute. Je n’étais rien. J’étais un mensonge. Et il était le créateur de ma misérable existence. Je n’arrêtai ma démence sur mon géniteur que lorsque mes yeux croisèrent un regard si semblable au mien. Gris. Sans vie.
Je sombrai.
[...]
Je suis un monstre.
« Poudlard »
Je tremblais. Il y avait trop de monde autour de moi. Je n’en avais l’habitude. Des cris, des sifflements, des rires…Le quai était rempli, mes yeux n’étaient assez grands pour tout observer. Le train était là, immense, magnifique. Représentant de ma fuite. Mes genoux claquaient. Je ne devais pas tomber. Pour Sanders. Rester digne, c’est ce que mère m’avait dit de faire. Et surtout, ne jamais le dire. Jamais. Sinon mon sort serait semblable en tout point. Je me redressai le dos, les yeux baissés. Incapable. Je devais être parfait. J’étais un Dolohov. Je devais représenter notre noblesse. Je sentais les regards nous couvrir. Méprisant pour certain, respectueux pour d’autres. Je levais finalement mon regard. Mère se tenait à mes côtés, le visage fermé. Mascarade d’une fausse fierté d’une relation avec sa descendance. Connerie. Je me retournais et croisai des yeux bleus. Un sourire s’étala sur mes lèvres. Heureux. Hypocrite. Je partis vers le train sentant son regard froid. Tête haute. Cœur en chamaille. Éclat de bonheur. Âme emprisonnée. . Sans un regard en arrière, les yeux droits devant. Un avenir incertain et effrayant mis en marche.
[...]
~~~
On croit, on voit. On ignore. Archimède Keiran Dolohov. Élève modèle aux yeux scrutateurs. Sympathique poufsouffle, on a du mal à penser qu’il est lié au Dolohov. Toujours présent pour ces confrères, peu importe l’année ou la maison, il file avec discrétion, mais déplaçant de l’air par sa présence douce et son physique excentrique. C’est un étudiant doué en cours, cela ne fait aucun doute, pourtant il ne se démarque pas plus qu’un autre. On le voudrait en avant, mais n’a-t-il pas l’étoffe d’un chef ? Non. Inlassablement parmi les autres de la moyenne. Ni au-dessus, ni plus bas. Parfait. Trop, peut-être. Un siffleur compréhensif, mais juste dont les parents semblent fier car jamais nos oreilles n’ont entendu de mauvaises langues venant d’eux. Un de ceux ayant pleuré les morts des deux camps, sang-pur digne malgré tout. Seuls son cynique inhabituel et ces éclats de colère restent des mystères indéchiffrables. On chuchote, on épie. On ne dit jamais à voix haute. Car si Archimède est connu, peu savent qui il est. L’inconnu est source de malaises. La vérité, qui veut réellement la connaître ? Nous sommes égoïstes. La curiosité est un vilain défaut et nous cherchons sans arrêt à nous infiltrer dans la vie d’autrui. Mais une fois les secrets découverts, nous regrettons, ne voulant que fermer les yeux sur la perfide réalité. Parfois, mieux vaut être ignorant. Sinon, la cage se refermera sans possibilité de fuite
On croit qu’Archimède est fier de sa maison. On le voit parmi les défenseurs du mépris. On ignore ces cicatrices.
On le croit soumis et lâche par ses actions dénuées de mal. On le voit comme étant une erreur dans son camp, trop faible pour être causeur du mal. On ignore son sadisme, que la magie noire a laissé une trace visible dans son aura.
On croit ce poufsouffle libre de faire ces propres choix. On voit un jeune homme respirant la vie avec un curieux manque de confiance.
On ignore qu’une cage l’entoure, prisonnier, l’étouffant un peu plus chaque jour. On ignore qu’Archimède Keiran Dolohov s’autodétruit lentement. On ignore, qu’un jour, il explosera libérant un animal blessé et vengeur dans la nature.
On ignore. Comme lui-même n’a conscience de la capacité de l'être monstrueux qui grandit en lui.
Ϟ Le moldu qui veille en moi.
Ϟ Pseudo : Fyema Ϟ Age : Soyons plus intime, voulez-vous ! Ϟ Double compte ? (Si oui de qui) : // Ϟ Où as-tu trouvé le forum ? : Par un partenariat [ESTED] Ϟ Des suggestions ? : Changer l'écriture ? Non, je rigole. Rien. Ϟ Pourquoi nous as-tu rejoint ? : Parce que je suis faible et impatiente. Quand je vois un beau forum, je ne peux que lui sauter dessus, même si les examens arrivent et des immenses retards un peu partout... Ϟ Un dernier petit mot d'amour ? : Peut-être plus tard mon coeur ?
Dernière édition par Archimède K. Dolohov le Mer 13 Juin - 19:08, édité 7 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: Archimède Keiran Dolohov || Présentation [100%] Dim 10 Juin - 23:17
hell yeah un autre sadique ! bienvenue :)
Invité
Invité
Sujet: Re: Archimède Keiran Dolohov || Présentation [100%] Dim 10 Juin - 23:23
Tu as deux semaines pour faire ta fiche mais tu peux aisément demander un délai,si tu as une quelconque question n'hésite pas à mpotter le staff (surtout moi beau brun....bref ) Et viens vite nous faire un petit coucou sur la cb pour faire connaissance avec les membres.Et bon courage pour le reste de ta fiche
En tout cas je veux d'hors et déjà des liens avec tout mes perso *w* ...surtout jin ♪
Je sais que je ne suis pas encore validée, mais.....
Cousin d'amour!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Ouiii, je t'aime méchant!!!!!!!!!! <3 Ta plume me séduit, voilà ce que j'ai à te dire... et que dire de ton avatar! Bientôt, les Dolohov domineront le forum
Et là-dessus... Bonne fin de fiche, mon petit loup!!!! <3
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Sujet: Archimède Keiran Dolohov || Présentation [100%] ![Archimède Keiran Dolohov || Présentation [100%] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/subsilver/icon_minitime.gif){kind=icon}
Dim 10 Juin - 22:56
Non, je rigole. Rien.
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