Dans la famille Godricord, je demande le fils. Noah Alexander Godricord s’est fait une image de marque, partout où il passe, il ne laisse personne indifférent que l’on apprécie le jeune homme ou non. Il crée le trouble chez les jeunes sorcières par son physique avantageux.
Il est plus grand que la moyenne, mesurant un mètre quatre-vingt. Noah accorde une grande importance à son physique non pas pour séduire les minettes de Poudlard, quoi que pour se divertir de temps à autre c’est fort utile. Il s’entraîne régulièrement grâce au Quidditch et au sport qu’il s’efforce de pratiquer très tôt le matin alors que tout le monde dort. Il envisage de viser l’excellence que ce soit dans les conditions physiques ou morales. Lorsqu’il se rend chez lui, il ne peut s’empêcher d’affronter sa sœur à de nombreuses reprises, histoire de rester au plus haut niveau dans les sortilèges.
Les filles apprécient également son regard bleu vert qui les attire comme un aimant. Mais prenez garde, lorsqu’il se montre agacé ou bien en colère, la couleur de ses yeux s’assombrit, rendant le jeune homme beaucoup plus menaçant.
Le Serpentard n’a pas besoin d’hausser la voix pour se faire respecter, sa simple présence suffit pour dégager de sa personne une aura puissante. Noah possède une forte personnalité, ce qui lui confère de l'ascendant sur autrui. Il se montre actif, énergique, dynamique et courageux, et son tempérament est passionné. Adaptable et malléable en apparence, il saura faire valoir ses droits et ses idées, certes, mais aussi avec une pointe de machiavélisme et, le cas échéant, de fermeté : une main de fer dans un gant de velours... Il a de multiples projets, de grandes idées, encore faut-il qu'il soit capable de les mettre en application. L'action est cependant son exutoire, car sa grande nervosité ne le met pas totalement à l'abri de crises émotionnelles.
Il a des réactions violentes devant toute désobéissance. Ce qui est humain ne lui est point étranger et il possède souvent un idéal fraternitaire qui le fait s'intéresser à autrui et adhérer à des groupes. C'est aussi un homme intuitif bien qu'il préfère afficher son esprit logique... Il peut osciller entre une possessivité absolue et un certain altruisme. Il possède également une grande intelligence qu'il exploite pour rester en haut du tableau et être remarquer des professeurs. Toujours dans le but d'avoir un peu plus de pouvoir.
Noah est quelqu'un de manipulateur, qui aime dominer et diriger son petit monde. Pour lui cela toujours été ainsi et cela continuera éternellement ainsi. Son but dans la vie est de rejoindre le cercle très fermé des membres du ministère en entamant une carrière comme politicien. Mais ce que Noah veut, Noah l'a. Il va donc devoir user de ruse et de flatterie pour arriver à son but.
Il est très attaché à sa famille et fera beaucoup d'efforts pour conserver une bonne harmonie avec ses proches. En amour, il est souvent difficile car il cherche la perfection. Aussi, à cause de ses intransigeances, risque-t-il de passer à côté du bonheur sans le voir. Dirigiste et pointilleux, imbu de grands principes, il n'est pas toujours facile et risque de rompre un peu vite en pensant toujours trouver la perle rare. Mais existe-t-elle ?
Ϟ Car oui j'ai une vie.«
Voilà la vie : on est heureux. On en est parfois conscient. Soudain tout bascule. On se retrouve plongé dans un autre temps, un autre espace. L'existence se referme. On est pris à son piège. On s'enfonce dans la solitude. Impossible de saisir la main de quiconque. L'époque heureuse apparaît comme une bulle, flottant, légère et inatteignable, au-dessus de nous. »
♦ Enfance ♦
20 avril 1985 - Le vent soufflait avec rage sur le petit village écossais Aberdeen, au loin l’on pouvait entendre le fracas des vagues contre les rochers. Le village semblait mort et vide de tout habitant. Chaque habitant avait pris le soin de se calfeutrer dans sa demeure pour rester bien au chaud, le temps que la tempête passe. Cet instabilité météorologique n’est pas une chose rare dans le nord Est de l’Ecosse surtout en Automne, rien de plus banal aux yeux des Moldus. Une frêle silhouette, légèrement voutée, déambulait les ruelles de bourg, affrontant vaillamment les assauts du vent pour avancer tant bien que mal vers un sentier qui se rapprochait des collines environnantes. Sous l’air glacial, la petite chose s’arrêta un instant au seuil d’une baraque pour reprendre un peu de force pour continuer son combat. Elle enlève la capuche de sa cape, laissant apercevoir une chevelure longue de couleur poivre sel. Les traits de la femme sont marqués par l’âge et le temps qui avait passé. Ses yeux d’un bleu effacé presque gris semblaient être perdus dans le vide. Machinalement, elles se frotta les mains ridés et légèrement bleuâtres pour les réchauffer, elle souffla deux fois sur ses mains qu’elle avait mise en coupe devant sa bouche. Agacée par les mèches de ses cheveux qui revenaient sans cesse sur son visage, elle les repoussa puis regardant la lune alors pleine, elle rouspéta contre elle, la maudissant d’agir aussi efficacement sur les femmes enceintes. Elle resserre un peu plus sa cape contre elle, puis elle reprit sa marche pour atteindre un grand manoir qui dominait sur la colline le hameau. Quelques gouttes d’eau se mirent à tomber comme pour parfaire ce tableau de désolation. La vieille femme pressa le pas, et frappe de son petit point contre l’imposante porte en bois noir. Elle attendit quelques minutes qu’on lui daigne d’ouvrir puis à l’invitation d’un domestique, elle entra dans le majestueux hall éclatant de lumière. Tout était fait pour attirer l’œil du visiteur sur la richesse des résidents de la demeure. Mais ce n’est guère ce qui intéressait la femme. Son attention est tournée sur un homme ayant dans la trentaine, grand brun et plutôt bien bâti, ses traits tirés démontraient une certaine fatigue et la barbe naissante était un signe qu’il n’avait guère pris attention à son aspect depuis quelques jours. Deagan Godricord.
«
Moira ! Par Merlin vous voilà enfin ! »
Un léger sourire se dessine sur les lèvres de son hôte, elle prit la peine d’enlever sa cape la donnant à un Elfe de maison attendait avec impatience de la servir. Sans y être invité, elle marcha rapidement vers le grand escalier pour monter à l’étage et se rendre au plus vite auprès de la maîtresse de maison.
«
Je ne te savais pas aussi stupide Deagan. Je t’avais prévenu que cette grossesse serait risquée ! Vous les hommes et votre fierté ! »
Deagan ne répondit rien craignant de mettre plus en colère l’accoucheuse. Il savait bien que c’était dangereux pour Eileen de mettre à nouveau un enfant au monde. Mais ils voulaient tous les deux un petit garçon. Moira entra dans la chambre fermant la porte au nez du futur père. Elle s’approcha doucement de la femme sur le lit, souffrant le martyr. Elle se mit à sa hauteur et lui chuchota à voix basse.
«
Abyssus abyssum invocat »*
Les yeux de la jeune femme s’agrandirent sous la peur, elle tente de se lever pour s’éloigner de la vieille femme, puis la repoussa sur le lit. Il était temps de mettre fin à la douleur.
Installé dans son bureau, Deagan faisait les cents pas angoissé, en entendant les cris de sa femme, il s’arrêta posant ses mains sur le dos du fauteuil qui lui faisait face. Il entendit la porte s’entrouvrir, et tourna la tête pour apercevoir son chien, lui adressant un sourire, le sorcier se servit ensuite un verre de whisky pur-feu. Il s’assit dans son fauteuil et l’invita à venir sur ses genoux. Doucement, Plop vint le rejoindre puis glapit comme pour couvrir les cris de l’épouse de son maître. Soudain le silence se fait, tous les deux s’interrogèrent du regard, puis un cri de bébé se fait retentir dans toute la maisonnée. Posant le chien par terre, il posa son verre vide avant de sortir du cabinet privé pour se diriger précipitamment vers la chambre.
Il entra dans la pièce fermant après lui, puis voyant tout le sang sur le lit, il s’approcha rapidement de la vieille femme regardant le bébé qui ne cessait de crier à plein poumon, il constata avec soulagement qu’il s’agissait bien d’un garçon. En relevant son regard, il croisa celui de sa femme souriante qui chuchota :
«
Nous avons enfin notre Noah. »
Ceux à quoi Moira qui se chargeait de nettoyer le poupin ne put s’empêcher de répliquer.
«
C’est de la mauvaise graine, il sera coriace. »
♣♣♣
15 août 1992 - Allongé sur l’herbe et auprès par sa cousine Eden âgée de neuf ans, Noah regardait le ciel, cherchant du regard une chouette qui annoncerait enfin sa rentrée dans le célèbre château des apprentis sorciers plus connu sous le nom de Poudlard. En grandissant, Noah se démarquait des autres petits garçons de son âge. Solitaire et peu sociable, il préfère la compagnie des livres ou de son père aux enfants du village. Il prit très tôt conscience de sa différence par rapport aux Moldus, il se sait exceptionnel à l’exemple de ses parents ou même de sa sœur. Tout son enfance, il a été dorloté par ses parents, plus particulièrement par sa mère, rien ne lui était refusé, le moindre de ses petits caprices étaient assouvies. Très tôt son père lui raconte l’histoire de la famille et lui fait comprendre ce qu’est la différence entre les différents sangs. Savoir qu’il est un sang mêlé était un défaut aux yeux de l’enfant. C’est à six ans, que les premiers signes de magie font surface chez le garçonnet. En plein excès de colère il explosa à plusieurs reprises les verres.
Toujours en scrutant le ciel, il songea aux années qui vont suivre sa rentrée, de toute évidence il ira à Serpentard comme toute sa famille.
«
Dis Noah, tu n’as pas hâte d’avoir ta propre baguette magique ? »
Le garçon se redresse légèrement et regarde sa cousine qu’il appréciait.
«
Si, et je peux te parier qu’elle sera beaucoup mieux que celle de ton frère. »
A ses mots, il tire la langue à Eden qui se retient de lui mettre une taloche. Il se lève rapidement prenant par la main Eden avant de courir dans le petit bois tout prêt du manoir. Eileen, la mère de Noah était dans le parc à les regarder s’éloigner. Bien qu’elle se sente proche de son fils, elle doit avouer qu’elle le jalouse beaucoup. Noah n’a jamais aucun souci à se faire et à ses yeux, il vaut bien plus que tout. Elle avait beaucoup de mal à se faire remarquer par son père. Mais elle savait quand grandissant il ressentirait un poids écrasant sur ses épaules, celle de l’honneur de la famille. Au moins à Poudlard il pourra grandir et se construire pour devenir l’homme qu’il souhaite être sans avoir l’influence de ses grands-parents maternels tout au long de l’année. Poudlard c’est après tout une nouvelle maison.
*« L'abîme appelle l'abîme. » Psaumes, 42, 8. Signifie qu'un malheur entraîne un autre malheur, mais surtout qu'une faute entraîne une autre faute qui s'ensuit inéluctablement.
♦ So it's begin ♦
Les deux premières années de sa scolarité étaient plutôt banales pour un élève à Serpentard. Discret, Noah faisait son petit trou parmi les siens, apprenant avec assiduité les cours ayant une étrange passion pour les sortilèges et les cours de défense contre les forces du mal. Contrairement aux élèves de son âge, c’était un rat de bibliothèque, il pouvait y passer ses journées si Mrs Pince ne le fichait pas à la porte. Mais on ne changeait pas un Serpentard, il n’y allait pas pour être meilleur que les Serdaigle loin de là. Il avait toujours eu pour ambition de se surpasser, d’être vu comme un grand. Attention, il ne voulait pas juste être un bon sorcier mais vu comme un grand mage à l’exemple de Merlin qui a été également à Serpentard.
Lorsqu’il entra en deuxième année, il s’ouvrit un peu plus vers son entourage et le reste des élèves. Noah avait toujours cette volonté d’avoir sous son influence des personnes qui pourraient lui être utiles après Poudlard. C’est à ce moment-là qu’il rencontra Matthew Romanov et quelques autres Serdaigles dont Juliette Lowett.
Concernant le premier, il le considère comme son plus grand complice surtout lorsqu’il s’agissait de mettre en place des plans des plus terribles. Cela lui plaisait de dire qu’il était son meilleur ami. C’était un duo soudé et ravageur. Comme un petit couple, ils leurs arrivaient de se prendre la tête pour tout et n’importe quoi. Quoi qu’il arrive, ils finissaient toujours par retrouver une entente et tout redémarrait comme avant. Chacun se reconnait dans l'autre. Ce qui agaçait particulièrement Noah, c’était que son ami lisait en lui comme un livre ouvert. C’est d’ailleurs grâce au Serdaigle qu’il fit la connaissance la Juliette. Ils étaient alors en cinquième année. Ce fut une relation de couple qui dura presque une année. Elle fut son premier amour. Noah n’avait à vrai dire pas eu la chance de trouver une autre fille qui sache supporter son caractère autoritaire et possessif. Juliette a fini par mettre fin à leur relation après avoir eu son coup de foudre pour Rafael. Cette mise à l’écart avait brisé le Serpentard qui avait eu un sacré coup à son orgueil. Il haïssait par la suite ce jeune homme et tenta au départ de récupérer son amour de jeunesse mais rien n’y fit. Avec le temps, il garda dans le fond une certaine tendresse pour elle en souvenir des moments passés ensemble.
«
Encore une nouvelle année à Poudlard… » C’est presque avec exaspération que Noah poussa sur son chariot marchant derrière ses parents pour rejoindre le quai 9 ¾. Le jeune homme avait encore en tête ses vacances d’été en tête, après tout il n’était pas à plaindre, il a été éduqué à la bonne enseigne. Le temps passé, hors des murs protecteurs de l’école des sorciers, fut employé de manière très réfléchit par le Serpentard. Evidemment qu’il n’a pas perdu son temps à flâner sur les plages aux sables fins des îles. Non, il avait gardé en tête de ce qu’il allait faire après ses études, et poussé par son père Deagan, il essaye de comprendre les ficelles du métier de politiciens en ne le quittant des basques. Bon évidemment il avait aussi quelques petits divertissements comme le Quiddicth ou encore des soirées en très bonnes compagnies féminines.
Enfin rien que l’empressait d’accourir à Poudlard. C’est donc en traînant des pieds qu’il passa le mur enchanté et jeta un air dédaigneux sur l’ensemble des personnes qui braillaient, se poussaient et s’esclaffaient. Il avait la sensation d’avoir atterrit dans une jungle et visualisait les premières années comme des signes incontrôlables. Laissant son chariot sur le coin pour que le porteur charge ses bagages dans le train puis s’appuya contre un mur le temps que ses parents fassent bonne figure auprès de leurs amis. Pianotant ses doigts contre son bras, il chercha à occuper son temps libre. L’idée de s’en prendre à un première année avait fleurit dans son esprit diabolique. Enfin c’était avant de remarquer un Gryffondor qui passait devant lui sans nul doute pour rejoindre ses camarades de maison. Faisant mine de rien, il tendit sa jambe et lui fit un croche-patte. En le voyant se vautrer par terre, il ne put s’empêcher de rire de son malheur avant de le suivre du regard qui s’éloignait sans un mot. Cette soumission… Rien de tel pour lui rendre le sourire.
Embrassant sa mère puis faisant une petite tape sur l’épaule à son père, il finit par monter dans le wagon et chercha son compartiment pour retrouver ses amis. En prenant place, il écouta distraitement les commérages proférés par une amie qui lui était très proches. Puis il se détendit en acceptant une partie de jeu de cartes magique avec un autre de ses compagnons de dortoir. Le voyage se passait sans trop d’embûches, malgré la taquinerie de Noah envers les premières années. C’est une demi-heure avant l’arrivé qu’ils décidèrent tous de mettre l’uniforme réglementaire. C’est avec beaucoup de satisfaction qu’il se revêtit de vert et d’argent aux couleurs de sa maison.
La petite troupe monta à bord d’une diligence, puis attendirent d’atteindre le majestueux château qui s’élevait au loin. Ils entrèrent pour se diriger vers la grande salle sans trop de cérémonie, Noah ne pensait plus qu’à deux choses, manger et dormir. La répartition des premières années était comme une torture pour lui qui passait son temps à fixer son assiette vide et applaudissant de temps à autre lorsque sa maison accueillait un nouvel élève. Il se tourna les pouces tout en décochant un petit sourire charmeur à une jeune femme qui se trouvait face à lui. Lorsque les victuailles apparurent sur la table, il s’empressa de se servir n’hésitant pas à faire une petite tape sur les mains des jeunes arrivants pour le premier. En guise de vengeance, l’un d’entre eux essaya de le viser avec sa cuillère pour lui lancer un petit pois dans la tête. Il ne manqua sa cible mais le regard noir du septième année n’annonçait rien de joyeux pour l’avenir du petit gars et ses craintes furent affirmés par une petit sourire hypocrite qui se dessina sur les lèvres de Noah. Celui-ci leva sa baguette puis lui lança le sortilège Dentesaugmento poursuivant son repas comme si rien ne c’était passé, laissant dans l’embarras le jeune garçon qui voyait ses dents pousser de plus en plus au point de ressembler à un rongeur.
Il buvait son jus de citrouille puis remarqua la directrice qui s’avançait vers son pupitre. Pour une fois, il accorda un peu plus d’importance à ce qu’elle allait dire. Il se retient à temps de lever son regard vers le plafond en l’entendant parler de solidarité. S’il avait été chez lui ou dans son dortoir, il aurait ri jaune. Comment peut-on se montrer solidaire dans une société de plus en plus individualiste ? Lui-même n’accordait que peu d’importance à ce qu’il pouvait arriver aux autres en dehors de sa maison. Après tout, pourquoi aider des Gryffondor qui se montrent orgueilleux de leur courage, des Poufsouffles qui n’ont rien dans le crâne et donc étaient perdus d’avance et des Serdaigles qui pensent avoir la science infuse. Non, de toute évidence c’était la directrice qui avait du mal à voir la réalité face à elle et de l’accepter. Mais dans le fond il lui pardonnait, avec son âge, on ne peut pas prendre en compte tout et elle en avait vécu des choses aussi. C’est peut-être pour cette raison qu’il avait un minimum de respect envers elle.
Noah jeta un coup d’œil sur sa montre magique, puis attendit avec hâte que les préfets se lèvent pour pouvoir enfin fuir dans la salle commune de Serpentard. Son lit semblait l’appeler, il pouvait même l’entendre prononcer son prénom tant il avait hâte de se coucher. Lorsqu’il put se lever, il poussa une Poufsouffle qui lui avait barré le passage sans vouloir le faire exprès puis reprit sa marche de son pas félin vers le couloir des cachots. Une nouvelle année commençait, maintenant qu’il était là, il ne manquerait pas de se faire remarquer comme à chaque fois. Le voilà en septième année.