Toutes mes salutations à vous, je me présente, Karen Ophely Collins. Je suis âgée de 16 printemps. Je suis une sang-mêlée. Mon statut est actuellement niveau 3 et je suis fière de dire que je suis anti-voldy à 100% bien que je ne peux pas le démontrer . Je suis actuellement en sixième année , dans la maison des Serdaigles. Plus tard j'aimerai être à nouveau américaine et avoir un métier que j’ai encore le temps d’y penser et mon avatar est celui de la ravissante Jennifer Lawrence . Si je devais vous donner quelques unes de mes qualités et défaut, ce seraient ceux-ci que je citerai
Inquiétante
Têtue
Rêveuse
Courageuse
Renfermée
Agacante
. Ma plus grande crainte ? Et bien la dernière fois que j'ai rencontré un épouvantard il s'est transformé en un énorme feu de bûcher . Vous voulez en savoir plus sur moi ? Et bien pour ça, vous allez devoir lire la suite !

Juste quelques questions

Hey, tu as entendu la nouvelle : une fête clandestine a lieu ce soir, il parait que c'est encore un piège des siffleurs... Bref, tu viens ?

Bien que je ne veuille absolument pas y aller, ma chère cohabitation avec quelques siffleurs me forcerait à y aller. Ce que je veux ou je souhaite n’a aucune importance pour eux, tant que je leur sois utilisé et qu’ils me pourrissent le cerveau! Mais bon, en même temps, faire la fête c’est un moyen de me divertir dans mon quotidien monotone et de me faire oublier que je ne suis pas du tout ou je voudrais être.

Okay, okay ! Je voulais juste si tu voulais savoir si tu venais ou non c'est tout ! J'te paris que tous vont parler de ce couple ! Tu sais, le siffleur et cette fille qu'on dit membre de l'armé de Dumbledore ! J'aimerai bien savoir ce qui sont devenus...
Sérieux? C’est deux-là ensemble? Tout a dû être prévu d’avance, planifier du départ. On peut sentir le mensonge, l’ironie, le jeu et bien d’autre à des kilomètres à la ronde. En fait, cela ne vaut même pas la peine d’en parler puisque ça va durer l’espace d’une semaine. Bref, dans mon cas leur situation m’importe peu tant qu’ils ne viennent pas perturber mon chez moi, j’en ai déjà ma propre opinion.

Mouais, j'suis bien d'accord avec toi ! Mais cessons de parler des autres et dis moi ce que tu deviens, toujours pareil avec les autres ?
En fait, je sais et j’assume que je suis une personne à l’humeur des plus diversifiés. En présence de proche, je suis toujours la même Karen; sympathique, lunatique, de bonne compagnie et fidèle. Avec des inconnus, c’est plutôt l’inverse. Je suis assez méfiante et douteuse, personne ne mérite ma confiance tant qu’il n’a rien prouvé. Bref, si quelqu’un montre sa vraie nature, il pourra découvrir une partie de mon petit monde!

En tout cas moi je ferais attention à mes relations à ta place. Tu sais cette fille avec qui tu étais en binôme en potion ? Elle n'arrête pas de répéter à qui veut l'entendre que tu es le pire binôme qui soit ! Capricieux, moqueur, méprisant, tu lui as fait quoi pour qu'elle dise ça de toi ?
Ce n’est pas parce que je ne lui ai presque pas parlé et que j’ai fait tout le travail à sa place qu’elle doit se plaindre. Elle devrait se taire et me remercier pour la bonne note en potion plutôt. Cependant, ce qu’elle dit et ce qu’elle pense frôle mon insouciance. Une personne de plus ou de moins qui m’apprécie ne changera probablement rien à ma vie. Et je dois aussi avouer qu’il est vrai que je méprise mes pairs, quand ils ne sont pas à la hauteur, il faut bien que quelqu’un les replace sur le droit chemin non? Au fond, ils n’ont qu’à me laisser faire et admirer le maître avant d’oser se plaindre de moi!

Ah d'accord c'est pour ça !Hein ? Tu pars ? Tu me laisses tout seule hein ! T'as pas le droit de partir avant de répondre à ma question ! Laquelle ? Rhoo, tu as déjà oublié ? C'est pour mon article, j'aimerai savoir ce que tu aimerais laisser comme trace dans l'Histoire.
Je rêve de pouvoir laisser derrière moi un passé tout blanc en Angleterre. Barrer cette période de ma vie qui me parait si pénible. Est-ce moi ou ce pays est vraiment maudit? Avec Voldemort, mon père qui le vénère, ici je ne me sens nullement à ma place. Je veux simplement retrouver un jour mon Amérique, mon pays, ma maison, ma vraie vie. Je rêve de retrouver ma nationalité, mes amis, mes ambitions passés et mon école. Je serai même prête à mentir, à tout laisser au dépourvu mon existence à Poudlard pour pouvoir retrouver une once minime de bonheur dans ma vie qui serait de traverser de l’océan pour de bon.

It's my life...

Lorsque quelqu’un ose me demander de parler de moi, je ne sais jamais quoi dire. Mon passé est de loin la chose qui est mon pire martyr et en même temps ma sortie de secours pour me faire oublier mon présent. Cependant, à vos bonnes grâces, je vais vous en décrire quelques lignes qui j’espère ne changerons aucunement votre jugement.

Mes jeunes années furent des plus merveilleuses. J’avais tout ce que je voulais! Une vraie princesse quoi. J’habitais dans une grande maison, j’avais plein d’amis, je pouvais faire tout ce que je voulais. En fait je pouvais faire tout sauf faire de la magie à la maison évidemment puisque ma mère est une moldue et qu’elle préférait que je me débrouille par des moyens honnêtes. Elle a découvert à contrecœur que sa fille adorée avait des pouvoirs comme son père et qu’elle ne pourrait rien y faire sauf me contrôler le temps qu’elle le pouvait. Quant à mon père ce fût un moment hystérique de joie de remarquer que j’avais hérité de son sang. Bien vite, je suis devenue un sujet de chicane entre les deux. Bien que j’étais toujours une enfant, je comprenais que mes parents que j’aimais tous deux se criaient dessus à cause de moi et cela brisait mon petit cœur. J’aurai bien aimé pouvoir les arrêter, mais dès que j’essayais de les arrêter, j’étais renvoyer dans ma chambre pour une longue et terrible semaine. Ainsi, dans mon lit, j’avais la certitude que mes parents allaient se séparer à cause de moi… Et ce fût bel et bien le cas. Lorsque j’ai atteint mon onzième printemps, mon père avait décidé que j’allais aller à Salem. Au fond de moi, j’étais ultra contente car j’allais pouvoir enfin utiliser mes pouvoirs comme il se doit. Ainsi, mes deux premières années à cette école sont à mes yeux, la période de ma vie la plus merveilleuse. J’acquérais toujours de nouvelles connaissances, j’ai agrandis mon cercle d’amis, j’ouvrais mes yeux vers de nouvelles horizons… Rapidement, je devenais une élève accomplie, j’étudiais d’arrache pied pour tout comprendre, je lisais des livres en supplément et, sans vouloir m’en vanter, obtenais de très bon résultats dans toutes les matières. Nonobstant, chaque bonne chose a une fin, tel en est le proverbe…

À l’été de mes treize ans, j’apprenais que mes parents divorçaient. Non, ce n’était pas une surprise. Toutefois, j’espérais toujours que cela n’allait pas arriver, que j’hallucinais et que leur couple fonctionnait à merveille. Bien vite la réalité me rattrapait et encore aujourd’hui, j’ai de la difficulté à l’accepter. Par contre, ce qui m’a le plus torturé c’est que mon père m’a obligé à partir avec lui. Même si ma mère n’aimait pas la magie et que nous étions des extrêmes, je l’aimais bien plus que n’importe qui… Malgré les cris, les larmes et les pleurs, j’avais dû me résoudre à ma nouvelle vie. J’allais devenir une Anglaise, allant à Poudlard et je devais me ranger sous l’ordre de Voldemort. Au début, je ne savais même pas qui il était. Dans les livres sont noms étaient cité comme un être abominable, mais au plus profond de moi, je n’y croyais pas, je préférais penser que mon monde étais la perfection. Loin de ma mère, dans des conditions que je refusais de me plier, j’ai finis par jouer les doubles faces. Lors de ma première année à Poudlard, quelqu’un m’avait intercepté pour me parler de l’armée de Dumbledore. Il avait surement entendu dire que j’étais contre tout ce qui touchait Lord Voldemort, puisque je m’assumais entièrement envers ceux que j’avais confiance et que je mentais à mon père pour être de son côté. Cette armée semblait une lumière parmis la noirceur, un moyen pour moi de me sentir plus honnête envers moi-même plutôt que de rien faire et de regarder des choses horribles se passer. Par contre, cela à jouer contre moi. Bien vite, l’Initiave a douté de moi et les siffleurs m’ont vite attrapé. Comment ils ont su que j’étais contre eux? Aucune idée et je ne veux même pas le savoir comment. En plus, lorsqu’ils m’ont fait passer le test… Ils n’ont pas dû être très fier de moi…

Aujourd’hui, je suis l’heureuse élue comme appât. Je dois servir et respecter les siffleurs avec qui je cohabitent. En fait, si j’ose enfreindre une raison, je risque bien de finir morte, bien que mon père essai malgré tout de me protéger dans tout ça. Par contre, je ne me gêne pas pour leur faire savoir ma façon de penser. Tant que je n’agis pas, il n’y a pas vraiment de conséquence, donc j’ai l’espoir de les déranger et qu’ils réalisent qu’ils sont vraiment imbéciles d’être avec Lord Voldemort… Au moins, certains d’entre eux me sont devenus si familiers que je les apprécie. En fait, même s’ils ne le disent pas, il y en a qui n’ont pas le choix d’agir ainsi sous peine de mourir à leur tour. J’aimerais bien les aider les siffleurs, mon père et l’armée de Dumbledor, bref n’importe qui, a pouvoir s’en sortir… Mais je dois vous avouer quelque chose; l’espoir de retourner dans ma maison, revoir ma mère, mon ancienne école devient de plus en plus grande. Aussi, le fait de m’éloigner de ‘’monsieur Collins’’ me ferait le plus grand bien. J’ai de la difficulté a accepter qu’il se range du côté sombre. Dire que je l’admirais parce qu’il était sorcier, maintenant, il ressemble plus a un étranger devant mes yeux tellement il a changé. De cette façon, je pourrai ainsi faire une croix sur l’Angleterre et la laisser s’entretuer eux-mêmes. Égoïste de ma part, oui je sais. Cependant, je ne crois pas que je ferais une différence dans ce monde si cruel.

Je voulais l’avais dit qu’il est mieux dans mon cas de ne pas me parler de mon passé. À mes yeux, je parais d’une désespérée qui cherche seulement à retrouver son bonheur s’en même essayer de s’aider. Mais je suis têtue, et ce que je veux, je l’obtiendrais. Un jour, mon Amérique, je te reverrai…