On ne nait pas avec une âme mauvaise, ce sont les autres qui vous font devenir ainsi
Auteur
Message
Invité
Invité
Sujet: On ne nait pas avec une âme mauvaise, ce sont les autres qui vous font devenir ainsi Mer 28 Nov - 22:50
Nikitta Anastasia Kovaleski
« Ce n'est pas que je n'ai pas de cœur, on me l'a volé c'est différent. »
Info sur le joueur ? Passe ta souris ici !
Okay, okay les peoples, peut être que vous ne me connaissez par irl, mais ig je suis une célébrité ! Et oui je suis votre pseudo ! Vous n'y croyez pas que je sois venus ici, hein ? Pour cela vous devez remercier comment vous êtes venus ici. Sinon que dois-je vous dire ? Du haut de mes votre âge, je pense que le forum est avis sur le forum. Est-ce que j'ai un autre compte compte ? Et bien je vos d.c. ou non. Et vu que je suis une superstar j'ai l'honneur de vous annoncez que petit mot de la fin.
Dernière édition par Nikitta A. Kovalevski le Jeu 29 Nov - 22:25, édité 2 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: On ne nait pas avec une âme mauvaise, ce sont les autres qui vous font devenir ainsi Jeu 29 Nov - 21:59
It's my life...
Chapitre I
La tragique et comique histoire d'une fille qui a rencontré le destin lorsqu'il se faisait chier.
Elle est là, le regard hagard, errante dans les rues de Londres. Elle crie au désespoir et appelle à l’aide. Ses cheveux blonds sont sales et emmêlés, ses yeux vairons effraient les gamins qui lui jettent des cailloux ou des fruits pourris. Son enfant, son petit garçon, qu’elle a peine eut le temps de tenir dans les bras, si loin et elle si seule ! On ne peut plus rien pour elle, elle mendie, réclame une petite pièce, on la jette dans la rue, on la laisse errer et mourir lentement. Parait qu’elle est folle, il est vrai qu’elle a tendance à crier un peu partout, que ces paroles sont aussi compréhensible que du pudding froid et brulé du fond de la casserole. Puis il est là, il apparait, flamboyant, magnifique, grand, parfait. Il est tout ce qu’une femme peut rêver, charmant, beau, sans défaut, enfin si un défaut, mais mineur, il est marié. Il la remarque, il l’embarque dans un riche hôtel londonien. Le personnel fait une drôle de tête, mais ne dis rien, le client est roi, surtout un client tel que lui. Sa femme n’est pas là, perdue dans une des nombreuses cliniques du monde pour essayer de se faire engrosser par le personnel probablement. Il s’en fout d’un peu où elle est. Il n’y a que cette femme qui compte. Derrière se cache il sait qu’il se cache une beauté et puis un repas coute moins cher qu’une pute de luxe. Il se montre très doux, il la baigne, révèle en elle un corps d’une rare beauté et puis il y a ses yeux, ses yeux vairons, si beaux…
Il ne lui a jamais demandé son prénom. Il ne s’en soucie guère. Il l’a enfermée dans un appartement de luxe où elle n’a pas le droit de sortir. De toute manière la pauvre femme est bien asse terrifiée par sa propre ombre pour envisager de sortir. Il va la voir de temps en temps pour voir comment elle va et satisfaire ce que sa femme ne peut lui procurer. Le délice de ses rendez-vous est plus ou moins régulier. Il a tendance à l’oublier et puis elle, elle est seule. Doucement elle s’enfonce dans une folie de plus en plus profonde. Elle croit voir son fils qui vit maintenant avec elle. D’étranges scènes malsaines ce jouent. Son fils, il est soit disant partout, elle ne veut plus coucher avec lui. Elle dit que sinon l’enfant qu’elle aura sera maudit. Alors il la force, il la viole. Elle crie que leur enfant sera maudit et sera lié à ce fils qui n’existe pas. Il va de moins en moins souvent la voir, il en a marre d’elle. Trop agaçante.
Sauf quand il est revenu elle était enceinte de plusieurs mois. Un miracle ! Dire que sa femme s’amusait à lui faire croire qu’il était stérile. Elle en était la responsable, la seule et unique responsable. Il revint auprès d’elle, il s’occupa doucement de cette femme, toujours plus charmant et mettant au file des mois qui passait des preuves pour que les autorités moldus puissent l’enfermer. L’enfant n’a même pas eut le temps de pousser son premier cris que des types sont venus la chercher. Ils l’ont enfermé dans une institution moldu où elle pourrit dans un coin shooté de médicament. Elle est oubliée de tous. Elle n’existe plus. Elle n’est plus qu’un souvenir.
La seule assurance de sa trace sur terre c’est sa fille, elle a le doré de ses cheveux et les vairons de ses yeux…
Chapitre II
Des prénoms peuvent détruire une vie
Elle n’était qu’une petite chose braillant, n’ayant même pas conscience du monde elle se retrouva déjà haït, de cette haine de la plus profonde et de la plus méprisante qu’il soit possible. Qu’est-ce qu’elle avait fait cette pauvre petite chérie ? Toute innocente, le seul reproche qu’on pourrait lui refaire était probablement ses yeux vairons si particuliers qui avaient tendance à repousser les uns et attirer les autres. On ne sait pas trop pourquoi. Elle ne criait pas, elle était douce, silencieuse, se contente de pousser des petits gémissements de temps en temps. Une enfant que beaucoup auraient aimés avoir, enfin sauf une personne : Astrid Kovaleski. Pour Astrid cette enfant était une honte, elle était la preuve vivante dans le monde entier qu’elle avait été méprisé par son mari, qu’il était allait voir une autre femme, pire ! Une moldue ! Dés qu’elle posa le regard sur cette gamine Elle se mit à la haïr, à la détester, rien que sa présence.
Cependant ce n’était pas le pire dans tout cela… Elle ne pouvait se permettre d’ignorer cette demoiselle. Nikkita. Cette gamine était sa fille. Officiellement elle devait être sa fille. Elle n’avait pas le moindre choix, si elle osait dire qu’elle était l’enfant de la maîtresse non seulement elle devrait subir l’opprobre publique en se faisant renier par son maris, mais en plus elle devra en subir les conséquences et terminera probablement ses jours dans un asile d’aliénés. Elle dû donc faire l’effort et la présenter à toute la bonne société comme sa fille. Son maris poussa le vice jusqu’à l’obliger de lui trouver un prénom. Elle prit la décision de nommer celle qui était maintenant sa petite fille Nikkita Anastasia. Elle savait, elle savait qu’elle marquée l’enfant à vie avec ce prénom.
Dans la petite royauté d’où elle vient il existe de nombreuses légendes liées aux prénoms. Tout d’abord on ne nomme jamais un enfant avant qu’il est trois ans, sinon ses chances de mourir sont beaucoup plus importantes. Ce qui fut considéré comme la première tentative de meurtre d’Astrid sur la personne de Nikkita. Cependant elle maudit la demoiselle véritablement en liant deux prénoms qui ne devaient pas être liés. En les choisissant elle trace le destin en tout conscience. Victime des amours de son mari, elle choisit comme premier prénom Nikkita. Celle qui n’est jamais aimée à cause de sa fougue, celle qui ne pourra jamais connaitre l’amour… Cependant ce fut en liant à ce prénom à Anastasia qu’elle maudit la demoiselle. Les conséquences, vous les découvrirez que trop tôt.
Chapitre III
Parait que certains ont le sang bleu, d'autre pur, le sien est rouge, pourtant c'est une lady
L’enfance de la demoiselle n’est pas des plus joyeuses. Dés qu’elle prononça ses premiers mots et fut capable de marcher Astrid n’attendit guère de temps pour l’envoyer dans une pension pour demoiselle en France. Cela était une petite demeure de style victorienne perdue dans la campagne parisienne magique et surtout coupée du monde. Les premiers mois furent insupportables pour la petite fille, très proche de son père, elle n’arrivait pas à comprendre pourquoi elle se retrouvait de cette manière rejetait. Des cris, des larmes et cette manière d’être enfermée dans un placard bien trop étroit et bien trop sombre lorsqu’on n’agissait pas comme il le fallait. Il semble qu’une pension pour une petite fille de trois ans ne peut exister. Voilà pourquoi elle a été envoyée en France. Unique en son genre, elle reprenait le concept des pensions d’autrefois qui acceptait les enfants dont on ne voulait pas. Les premiers mois furent difficiles. Pourtant le lieu était agréable, il n’y avait pas plus d’une vingtaine de pensionnaires entre trois et dix ans, que des filles de bonnes familles du monde magique. Des cours de langues, de société, de base de la magie et d’art selon les différentes dispositions des demoiselles : musique, chants, peinture ou encore théâtres.
Peu à peu elle apprit à se plaire dans cette pension. Cela était devenu pour elle une habitude de vivre là bas et l’idée de grandir autre part que dans cette pension lui était en horreur. Oh bien entendu elle continuait à voir son père pendant les vacances, mais dès qu’elle retournait en Angleterre on lui faisait entendre qu’elle n’était pas la bienvenue. Très tôt elle s’enferma donc dans une certaine solitude quand elle devait rentrer en Angleterre. Les relations avec son père devenaient peu à peu épistolaires. Cela peut vous semblez triste, pourtant elle avait toujours vécut dans cela et donc à ses yeux cela était normal. Lorsqu’elle comparait sa vie avec certaines de ses amies, elle était plutôt heureuse. La plupart des filles étaient des enfants non désirées et n’avaient même pas la chance de recevoir une lettre quelconque de ses parents.
Chapitre IV
Si tu n'arrives pas à être vivante, alors joue le rôle d'une vivante.
Nikkita ne sait jamais considérer comme une enfant non désirée, après tout son père l’aimait et se plaisait à le lui faire savoir, il la traitait tendrement, comme sa petite fille adorée et il l’aimait plus que tout. Alors qu’elle eut six ans, elle n’était plus la petite fille adorée et parfaite de son père. Sa belle mère réussit à ramener un enfant, un mâle qui plus est, le déclarant comme étant son fils. Bien qu’au début il se montra réticent face à un enfant adopté, peu à peu il se prit d’affection pour ce garçon qui avait probablement était retiré de force à sa mère. Ce ne fut toutefois qu’une période, jusqu’à ce qu’il comprenne que ce gamin était en réalité qu’un né moldu et qu’il l’envoya comme repas à des amis vampires qui adoraient les enfants de trois ans. Cependant ce fut quelques mois après les vacances de Nikkita. La petite fille de six ans revint donc de la pension pour découvrir qu’elle n’était plus la fille bien aimée de son père. Ce dernier avait tendance à l’oublier, préférant jouer avec celui qu’il nommait son petit garçon que de s’occuper de sa petite fille, de son adorable petite fille.
Jusqu’à ce jour elle n’a jamais sentie le besoin d’une mère, son père lui suffisait très bien, cependant le fait qu’il détourne son attention sur elle pour s’occuper uniquement de ce garçon qui est entré brièvement et de manière sournoise dans leur vie. Cela aurait pu être une simple crise de jalousie d’une part d’une gamine si Astrid n’était pas intervenue. Jusqu’à ce jour, elle pensait qu’Astrid était sa mère, une mère qui n’était pas très douce et tendre, mais soit, c’était toujours sa mère. Cependant ce fut ce moment là que décida Astrid pour lui révéler qu’elle n’était pas sa mère, pire qu’elle était une moldue enfermée dans un asile ! L’innocence de la demoiselle l’empêcher de connaitre le monde dans sa réalité. Après maintes de demandes auprès de sa belle-mère – étant donné que son père préférait s’intéresser à ce né moldu – elle accéda à l’asile.
Il y a des vérités qu’une enfant ne devrait jamais voir. Ce jour là, elle perdue la vie. Elle ne sait trop si les gènes de folies sont vraiment transmissibles, mais lorsqu’elle vu cette femme qui s’est jeté du haut du toit pour lui montrer comment Peter Pan volait… Cela devait être une belle histoire, jusqu’à ce que la fée clochette s’en mêle. Il n’y avait pas de fée clochette. Juste une femme qui sortait enfin à l’air libre depuis plusieurs années. Elle s’est jetée de l’immeuble. Tremblante elle s’était penchée par-dessus la balustrade et avait vu la cervelle giclée sur le sol se mêlant au sang. Ce jour là il n’y a pas seulement une femme qui est morte, mais deux. Une mère et sa petite fille. L’âme de la demoiselle a disparu. Elle n’était plus rien. Elle est rentrée chez elle, elle n’a pas pleuré. On l’a renvoyée dans sa pension, elle n’a pas crié, pas pleuré. Personne ne lui a demandé ce qui n’allait pas. Elle a fait ce qu’elle faisait toujours quand elle ne savait plus comment réagir, elle a joué la comédie.
Elle a joué la comédie jusqu’à l’arrivée d’Aurore, elle fait semblant d’être quelqu’un elle n’est pas, mais seulement quelqu’un qu’elle doit être aux yeux des autres et cela leur convenait à tous parfaitement.
Chapitre V
Pour beaucoup c'est une seconde demeure, mais bon...
Les sept années se sont écoulées et il fut temps pour Nikkita de quitter ce beau pays qu’était la France, rentrer chez elle ? Que nenni. En tant que bonne petite anglaise elle est depuis sa naissance inscrite dans la grande et prestigieuse école de magie de Poudlard. Elle n’était pas le genre de gamin à avoir lu le bouquin l’histoire de Poudlard par cœur, mais avait suffisamment reçu suffisamment de sous entendu pour saisir qu’elle avait fort intérêt à aller à Serpentard. Elle fait en effet partie du genre de famille qui déteste les autres maisons et aime plus que tout avoir des préjugés envers les autres maisons que celle de Serpentard. Elle n’est pas le genre de fille ambitieuse, plutôt vivant dans son monde, à l’écart des autres. Elle a dû menacer le choixpeau. Le menacer de le découdre lentement avant de le jeter au feu s’il refusait de l’envoyer à Serpentard. Au bout de maintes négociations elle remporta la main et fut envoyée pour son plus grand soulagement dans la maison des serpents. Elle n’avait rien contre les autres maisons personnellement, mais l’amour de son paternel pouvait très rapidement déviés vers un autre enfant qui n’était pas encore conçu si elle ne le satisfaisait pas.
Etre la perfection. Voilà ce qu’elle devait incarner. La pension l’avait éduquée et lui avait apprit à s’habituer à vivre loin de chez elle. La première, elle devait être la première partout tout simplement. Ne pas être simplement la première en tant qu’élève, elle devait aussi être populaire, belle, bref, le genre de fille qui n’existe bien que dans les romans. Bien entendu il était impossible pour Nikkita d’être ainsi. Ce fut pour cela qu’elle développa peu à peu différentes personnalité, la fille première de la classe, la fille populaire, la fille belle, la fille tout ce qu’elle n’était pas. Le théâtre était la seule chose qui arrivait à la sauver. Elle rentrait dans différents rôles pour être différentes personnes. Pourtant elle n’était aucune d’entre elle. Elle n’était pas cette fille populaire, elle n’était pas cette fille première de la classe, toutes ces filles ce n’était que des rôles.
Lentement elle plongea dans une douce folie dans laquelle tombe tout ceux qui ne cesse de jouer un rôle. Elle oublia même qui elle était. Peu à peu elle est devenue cette fille parfaite. Cette fille qui déteste les nés moldus, cette fille qui haït tout ceux qui ne sont pas sangs purs, cette fille qui se dit sang pur, qui se dit parfaite. Au fond, au fond de ce petit corps, il y a la petite demoiselle, il y a la petite Nikitta qui se laisse doucement mourir. Elle disparait, elle se laisse mourir. Peut-être que jamais elle n’aurait refait son apparition, peut-être que si elle ne l’avait pas rencontré lui.
Chapitre VI
Une fille qui a cru qu'elle pourrait tomber amoureuse.
Poudlard était en effervescence cette année là. La coupe de feu ! Quelle merveille ! Tout le petit monde était excité à l’idée des différentes tâches, certes on pourrait parler de cette merveilleuse année où Harry fut nommé champion en même temps que Cédric, mais ce fut une année d’autant plus important pour Nikki. Elle-même si parfaite d’habitude s’était comme à son habitude glissé dans la forêt interdite, sa curiosité avait été d’autant plus piqué qu’elle était sous haute surveillance. Il y a des choses que l’on ne devrait pas découvrir, la leçon qu’elle avait apprit dans son enfance ne lui avait pas suffit et ce jour là elle découvrit des dragons. Un accident tragique, une fille qui voulait devenir dresseuse de dragon qui déclara qu’elle devait s’entrainer, un dragon qui l’a griffée, des cris, du sangs et un aller simple pour St Mangouste dans le plus grand des silences grâce à la réputation de son père. On ne pouvait pas entacher sa réputation après tout !
Il était beau, il était charmant, alors qu’elle se sentait toute seule il était là. Avec lui elle n’arrivait tout simplement pas à jouer la comédie. Elle s’est ouverte à lui, elle était auprès de lui, elle a cru. Elle a cru qu’elle pourrait tomber amoureuse, elle a cru qu’elle pourrait être vivante tout simplement et ne plus être cette fille qui joue à être en vie. Il n’était pas le premier garçon avec qui elle couchait, mais il était le premier dont elle s’ouvrait de cette manière. Il n’y eut pas beaucoup de nuits, le plus souvent c’était au détour d’un couloir. Il la faisait rire, il la faisait pleurer, elle croyait qu’elle et lui ça serait pour l’éternité, qu’il pourrait faire comme dans les romans d’amour et fuir loin de tout cela. Oui, ils devaient fuir, ils ne pouvaient se marier avec le consentement de leur famille. Il est un né moldu. Elle ne lui en voulait pas, elle ne pouvait pas lui en vouloir. Elle l’aimait. Puis le fruit de leur amour est apparu dans son ventre. Elle était trop jeune, trop naïve, mais elle a cru, oui elle a cru qu’elle était bien capable de faire face à cela avec lui.
Avorter ou rester avec lui. L’enfant qui grandissait au sein de son ventre était la seule chose qu’elle semblait avoir fait de bien dans sa vie. Elle était la preuve qu’elle pouvait être vivante et ne pas seulement jouer à être vivante. Son cœur était brisé et détruit. La petite Nikkita s’est à nouveau enfoncer dans les plus profonds de son âme, elle se mourrait lentement. Sa famille a déménagé en Russie. Elle quitta Poudlard et finit sa dernière année au moyen d’un précepteur qui la prépara pour ses aspics. Coupée du monde dans son manoir en Russie son ventre grossissait au fur et à mesure loin des regards indiscrets. Loin de son père surtout…
Chapitre VII
Pour la première fois de ma vie je ne suis plus seule
Ceux qui disent que l’accouchement est l’un des plus bau moment de la vie sont des foutus salauds doublés de menteurs. Parait que certaines femmes ne sont pas faites pour l’accouchement, les hanches étroites de Nikkita étaient le genre de hanches qui vous détruit lors d’un accouchement. Elle a cru mourir, elle a faillit mourir. Seule, enfermée dans cette chambre étouffante avec une sage femme et surtout seule. Pas de fiancé, pas de père, rien de tout cela pour la soutenir. Elle n’avait déclaré que celui-ci était le sang pur qui était décédé quelques jours avant son départ en Russie assassiné de la main d’on ne sait trop qui. Elle était donc là, seule, risquant de mourir à tout moment. Cependant non. Elle a survécut, difficilement, on a posé sur elle une petite chose braillant sur sa poitrine, épuisée, terrifiée, à moitié dans la mort, à moitié dans la vie. Elle l’a serrée contre elle et pour une fois elle a compris que son âme était en fait pleine. Que cette petite chose pouvait lui prouver qu’elle était capable d’amour.
Bien qu’elle n’ait que dix-sept ans lorsqu’elle accouche, elle se refusa de la laisser à une nourrice. Son père l’a regardé d’un mauvais œil. Cette enfant, elle ne devait pas vivre avec eux. Il voulait l’envoyer au loin. Alors elle est partie. Elle, la demoiselle si parfaite, si bien, elle a donné sa vie pour sa petite Aurore. Tant bien que mal elle emménagea au début dans un petit appartement minable. Elle gagnait sa vie en enchainant des petits rôles sur des petites scènes. Sa petite Aurore grandit dans le milieu du théâtre. Ses premiers mots furent des répliques de Molière. Peu à peu elle retourna à ses premiers amours, les dragons. Elle quitta la Russie pour la Roumanie et rejoignit une réserve de dragons.
Elle vécut les dernières années de sa vie en Roumanie, dans une demeure victorienne perdue dans une forêt non loin de la réserve de dragons où elle était dresseuse. Après le théâtre, ce fut la nature dans laquelle vécut Aurore. Elle était une petite nymphe des forêts. Leurs vies étaient parfaites, leurs vies auraient pu être parfaites, si seulement…
Chapitre VIII
L'Angleterre, je suis de retour
Parait que les mauvaises nouvelles arrivent toujours le soir, elle était réputée dans toute l’Europe comme étant l’une des meilleures dresseuses de dragon. Elle ne sait trop pour quelle raison elle s’était mise à repenser à lui, à cet homme qui était le père de sa fille. Elle avait fait croire à Aurore qu’il était mort. Elle était incapable de lui avouer qu’il ne voulait pas d’elle. Plus elle grandissait, plus elle lui ressemblait. Ce soir là les mangemorts ont donc débarqué chez elle. Pas menaçant pour un sous, ils comptaient la recruter parmi leur rang. Elle n’a pas eut besoin de menace, on lui propose un poste bien meilleur que simple dresseuse de dragon. Voldemort voulait une armée de dragon, elle devait s’en occuper. Elle avait besoin d’une raison pour retourner en Angleterre, c’était la raison parfaite. Il était hors de question à ses yeux de retourner en Angleterre pour retrouver simplement Valerian et lui mettre sous les yeux leur petite Aurore. Elle a découvert, elle ne sait trop comment, que son père n’est pas mort comme Nikkita ne cessait de lui dire. Il doit devenir un bon père. Pour Aurore. Qu’est-ce qu’elle ne donnerait pas pour Aurore…
Nous voilà donc à la conclusion. Nikkita a quitté la Roumanie pour aller vivre en Angleterre en tant que dresseuse de dragon. Elle est de plus en plus éloignée de sa pauvre petite Aurore. Son métier lui prend trop de temps, beaucoup trop de temps, sans parler du fait des missions qu’elle doit réaliser pour Voldemort… Alors l’air de rien elle recommence les petits castings pour redevenir actrice, le théâtre lui manque, sa fille aussi… Et puis. Valerian. Il lui manque. Elle a besoin de lui. Il n’y a qu’avec lui qu’elle peut être elle-même tout simplement.
Dernière édition par Nikitta A. Kovalevski le Dim 2 Déc - 11:59, édité 17 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: On ne nait pas avec une âme mauvaise, ce sont les autres qui vous font devenir ainsi Jeu 29 Nov - 22:14
Re-bienvenueeeeeeeeeeee femme parfaite ♥
Invité
Invité
Sujet: Re: On ne nait pas avec une âme mauvaise, ce sont les autres qui vous font devenir ainsi Ven 30 Nov - 0:25
Bienvenue x) On remet ça ? *ok je sors*
j'ai hâte de lire la suite x)
Invité
Invité
Sujet: Re: On ne nait pas avec une âme mauvaise, ce sont les autres qui vous font devenir ainsi Ven 30 Nov - 7:44
Pas taper ! Pas taper ! Pas taper
... mais je t'aime quand même <3
Invité
Invité
Sujet: Re: On ne nait pas avec une âme mauvaise, ce sont les autres qui vous font devenir ainsi Ven 30 Nov - 10:38
Mouton :: Ow mon petit mouton merciiii :D
Valou :: Tu te souviens ce que tu as dit hier sur la CB hein ? (•_•)" Nikki elle s'en souvient parfaitement elle
Eva :: TUEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEER LA BARBIIIIIIE
Je t'aime aussi
Invité
Invité
Sujet: Re: On ne nait pas avec une âme mauvaise, ce sont les autres qui vous font devenir ainsi Ven 30 Nov - 19:02
Re bienvenue, avatar magnifique ** et n'oublie pas, le monde est peuplé de poussin *sors*
Invité
Invité
Sujet: Re: On ne nait pas avec une âme mauvaise, ce sont les autres qui vous font devenir ainsi Ven 30 Nov - 20:19
OWIIII GLOIRE AUX POUSSINS
Invité
Invité
Sujet: Re: On ne nait pas avec une âme mauvaise, ce sont les autres qui vous font devenir ainsi Dim 2 Déc - 12:25
J'adore ta prez ma blonde d'amour
Invité
Invité
Sujet: Re: On ne nait pas avec une âme mauvaise, ce sont les autres qui vous font devenir ainsi Dim 2 Déc - 13:08
t'aurais pu me valider au passage,feignasse ! XD
Félicitation, tu rejoins le monde des sorciers !
Ton personnage rejoint les [nom du groupe]. Maintenant il te reste quelques petites choses à faire, tu dois tout d'abord aller recenser ton avatar. Ensuite, tu peux faire une demande de liens & de rp'pour commencer à participer aux forums. Mais n'oublie pas qu'il y a aussi la Chat Box qui est un bon moyen de faire connaissance avec les autres membres ! Si tu le souhaites tu peux faire des scénarios. Enfin n'hésite pas à jeter un petit coup d’œil à la boutique ou bien aux recrutements. Bon voyage parmi nous !
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: On ne nait pas avec une âme mauvaise, ce sont les autres qui vous font devenir ainsi
On ne nait pas avec une âme mauvaise, ce sont les autres qui vous font devenir ainsi