It's my life...Chapitre un : Une histoire de coeurIl y a des moments, dire la vérité n’est pas la meilleure solution. Les révélations peuvent être terribles et irréversible. Je n’aurais pas cru que des mots qui couplent des phrases, puis une histoire puissent faire si mal. Ces secrets. Tellement de secrets, et de révélations. Jusqu’au fond de mon âme, je n’avais pas su dire les mots… Ce que je pense. Non, il m’avait choqué. Mon propre père. Mes parents croient que c’est bien, d’avoir dit les choses. J’ai du mal à saisir le bien. Puis, Calice avait eu cette idée absurde… Je me sens stupide. Je lui ai promis de rien dire. Depuis, je me sens mal. Rien n’allait. Et ce matin encore. J’eu peine à me lever, maman gronde, on allait être en retard. Alors, j’ai bougé mes fesses de mon lit, seulement, elle ne m’avait pas engueulé. Elle était en bas dans la cuisine. Un sourire amusée, elle me fit cette remarque que pour une fois, je me suis lever comme un grand. Tout ceci était trop étrange pour un garçon de mon âge. Je voulu en parler à ma sœur jumelle. Mais Calice, m’envoya baladé. Elle semble en colère, sans doute à cause du sortilège, il n’a pas du marché. Je ne sais pas vraiment ce qui m’a pris à ce moment-là, je lui ai tiré les cheveux. J’étais agacé moi aussi. Heureusement, Maman calme le jeu rapidement. Elle nous rapidement dans la voiture une fois préparés. Ce n’est pas toujours évident pour Maman, la pauvre. Calice et moi, on passe notre temps à se disputer pour un rien. Ma mère, dit que c’est de notre âge de se chamailler comme des bébés. Seulement nous ne sommes plus des bébés comme elle dit, je vais bientôt avoir huit ans quand même, en même temps que ma sœur. On arrive rapidement aux champs. En ce dimanche, c’était la fête au village. Calice, ne voulait pas venir. C’est normal, elle n’a pas d’amis. Je ne comprends pas pourquoi elle n’aime pas les moldus, ce sont nos voisins et la plupart d’entre eux sont gentils. Ma sœur, allait passé la journée à faire la tête, pendant qu’on allait s’amuser. Papa n’est pas là, il travaille aujourd’hui, donc, elle ne pouvait pas restée à la maison. Je ne sais pas pourquoi sa mauvaise humeur m’atteint autant ce matin, j’étais aussi sur les nerfs. Jusqu’à ce qu’on sorte de la voiture. Je rejoins directement ma copine, Alice. C’est ma meilleure amie, et aussi ma petite amie, je dois l’avouer. Ma colère était partie, je faisais un bisou sur la joue d’Alice.
Maman me laissé partir jouer avec Alice. Elle avait l’habitude. On est de la même école, et la même classe. Inséparables. Beaucoup de personne nous nommer ainsi. M’enfin, si je pouvais profiter de la fête pour être avec mon amoureuse. Car, à l’école, ce n’était pas vraiment pareil. Les autres garçons, ne me parlent pas tellement malgré mes efforts. Ils disent tous le temps que je ressemble à une fille, alors, je devrais aller jouer avec les filles. Mais, lorsque je suis avec Alice, je m’en fous qu’ils m’insultent. Seulement, Alice n’était pas forcément plus gentille avec moi. Cependant, elle voulait toujours que je sois avec elle, même si parfois elle se moque. Je m’enfichais un peu, je l’aime moi.
Je me suis éloigné des sons de la fête avec ma jolie blondinette. Main dans la main. Je vois au loin ma sœur qui tape le pied contre un arbre. Elle est toujours énervée. Je me sens irrité en la fixant. Les battements de mon cœur battent plus vite, je sens une chaleur désagréable me bruler la gorge. Je serre le poing, écrasant la main d’Alice sans m’en rende compte. Elle me frappe subitement, se plaignant d’avoir mal. Je fini par la lâcher à force qu’elle me tape. Mais, dans l’agacement, et cette colère inconnue, je la pousse violemment. Mon amie tombe sur le sol. Je me rends compte de ce que je viens de faire. Seulement, au lieu de se plaindre et s’en prendre à moi, elle crie en se relevant d’un coup. Pointant du doigt derrière moi. Je ressens un étourdissement à ce moment-là. Seulement les grognements féroces, me font faire volte-face. Un chien. Un grand chien, si grand et tout noir. Il est enragé. Alice lui lance des cailloux qui augmentent sa rage. Je recule, serrant les poings. Mais Alice, caché derrière moi me pousse. Nouvel étourdissement. Mes battements de mon cœur s’accélère de en plus. Comme prit d’un galop furieux. J’ai mal. Très mal. Ma poitrine me fait souffrir. Je serre les dents. Alice crie, Je ressens l’envie de la frapper, qu’elle se taise. L’animal prit de l’élan sur ses pattes arrière. Prêt à bondir. Je fini par relâcher mon regard de ses dents acérés et grondante malgré moi. Ma colère disparue d’un seul coup. Mon corps est devenu faible, m’évanouissant subitement. Le chien a bondit, au moment où les battements de mon cœur se sont arrêter. M’écrasant sur le sol comme une poupée au regard vide. Le dernier son que je pus entendre, c’est le cri de Maman en prononçant mon nom puis celui de mon amie.
Des voix, des mouvements. De nombreuses voix, et de nombreux mouvements. Lorsque finalement, le silence se fasse à nouveau. Aux bouts de quelques temps, j’ouvre les paupières. Retrouve maman près du lit. Oui, j’étais dans une espèce de chambre, dans ce qui ressemble à un lit d’hôpital. Elle me rassure en observant mon regard semi paniqué. Elle me rassure, me disant qu’on se trouve à l’hôpital des sorciers, à St Mangouste. Je ne comprenais pas pourquoi j’étais là ? J’avais juste du faire une mauvaise chute ? Ou le soleil m’a trop tapé sur la tête ? Ma mère me sourit, elle me fait croire que tout va bien. Pourtant, son cœur et son visage ne dise pas la même chose. En elle, elle pleure, elle est terriblement inquiète. C’est grave. Très grave. Des larmes finissent par couler le long de mes joues. Je la ressens cette douleur. Je ne sais pas comment, elle me voit pleurer sans raison. Son cœur pleure encore plus, me serrant fort dans ses bras. Seulement, la vérité est difficile à savoir. Encore plus difficile que de savoir les secrets de mon père. Celui-ci est un lourd fardeau, que les adultes étaient obligés de m’avouer.
Mon père était intervenu. Il a bien onze de plus que maman, c’est un chef médicomage et un chercheur reconnu. Deux autres de ses collègues étaient là aussi. Il leur avait laissé la parole. Papa aussi avait trop de peine. Le plus jeune d’entre eux prit la parole. Il m’explique alors des choses que j’avais encore du mal à saisir à mon âge. Mon cœur est malade, très malade. Une maladie irréversible dont les remèdes ne sont pas encore connus. Seulement, ceci n’aurait pas dû m’empêcher de vivre. Il explique, que je me suis pas évanoui, mon cœur s’est subitement arrêter de battre pendant plusieurs secondes. Puis, il avait redémarré. J’avais eu de la chance cette fois, car ceci pourrait recommencer. La cause de ceci, la magie. Le flux des émotions ont trop troublé mon système. Ils ont fini par comprendre mes symptômes. Seulement, un peu trop d’émotion pourrait faire s’arrêter mon cœur pour de bon. Je sur réagis aux émotions des autres, mon père prit la parole pour la première fois. Mon papa c’est le genre d’homme à être une armoire à glace, toujours a contrôler ses émotions et ses sentiments. Ce qui fait de lui un homme froid. Il me dit qu’il allait m’apprendre à gérer mon cœur et les émotions. Seulement, je serais toute ma vie plus faible que les autres. Il allait être difficile pour moi, plus que n’importe qui d’apprendre à maitriser la magie car mon cœur pourrait déraper à nouveau. Je fixe alors maman, lui demandant comment va Alice… La dernière fois, y avait ce grand chien noir… Son cœur était toujours aussi triste. Elle me dit que tout allait bien, je savais qu’elle mentait. Je su plus tard, que Alice était morte. Elle avait fait une mauvaise chute et s’est brisé le cou en tombant. Seulement cet horrible accident a eu un coupable. Ce chien. Qui fut piquer pour les bonnes consciences.
Chapitre deux : Une famille, la malédiction du clan McianMais, l’histoire ne commence pas avec moi. Bien, des générations avant moi. Avant de vous raconter tous cela. Je me présente, je m’appelle Akira. Bien sûr, je n’aime pas vraiment ce prénom, cela fait un peu prénom de fille. Ce qui au fond n’a jamais arranger ma situation avec les autres enfants. Seulement, mes parents, l’ont choisis ensembles. Ils adorent. Puis, mon seconde prénom, c’est Jiro. Lui, j’en suis fier, car Jiro était un héros très connu au Japon. Et il était mon grand-père maternel. Ma maman avait tenue à ce que ce soit mon second prénom. Maintenant, ma famille, il y a ma sœur. Calice. Même si cela ne se voit pas, nous sommes jumeaux. Elle est née quelques minutes avant moi. Malgré ce que je peux dire j’aime beaucoup ma sœur, même si elle n’est pas toujours sympa. Même si aujourd’hui, le monde nous sépare. Calice, m’aidera si j’en ai besoin et vice versa.
Il y a ma mère, Junko Hitori de son nom de jeune fille. Née d’une moldue aide-soignante, d’origine taiwanaise et japonaise. Namie. Et d’un sorcier Japonais de sang pur. Son prénom Jiro, il était un auror très connu dans son pays. Et aussi redouté. Il est devenu très vite un héros au japon, il avait même nettoyé la Corée de quelques mages noirs. Un homme fort, et courageux. Junko a passé son enfance sous l’admiration de son paternel. Elle sut d’ailleurs me transmettre cette passion. Peut-être qu’un jour, je la transmettrais aussi à mes enfants. Jusqu’au jour, ou notre famille oubliera Jiro. Pourtant, il restera ce héros. Jiro a changé de pays pour l’Angleterre, à la mort de son épouse. Namie, une jeune moldue au grand cœur. Assassinée par les sorciers pratiquant la magie noire, par vengeance. Dans l’esprit de Jiro, le plus important, fut de protéger sa petite fille adorée. Loin de son pays où il est devenu bien trop célébré. Visant l’incompatibilité de la vie familiale à la mission d’auror. Oui, le cœur de ma mère est devenu triste à cette perte et ce bouleversement. Cela ne l’empêchera pas de devenir une femme magnifique, une sorcière qui s’accomplira dans la maison de Serdaigle. Une fille brillante, et futée. Plus tard, elle deviendra une auror comme le fut son père avant elle. Puis elle épousera mon père. Cet homme qui au fond est tout le contraire d’elle. Mais, elle l’aimait, ça c’est sûr. Elle l’aimait, malgré la malédiction.
Maintenant, si y a bien une chose affreuse, noire, cette malédiction. Et cela passe par le clan Mcian. La malédiction est venue avec eux, par eux. On l’appelle aussi le clan maudit. Au jour, d’aujourd’hui, personne ne pouvait dire le contraire. Ils ont été exterminés. Avant de pouvoir vous parler de mon père. Il y a des choses à savoir. Qui sera dire comment fut né le premier sorcier ? En tous dans ce monde, il y a ceux nés bien avant les autres qui peuvent prétende à la pureté de leur sang. Le clan Mcian fait partie de ces gens. Une de ces vieilles familles au sang pur, avec tous ces défauts anti moldu. A l’époque de mon père, je chef du clan était Andy Mcian. Un monstre parmi les mortels. Rependre le sang et la terreur. Il était craint même par sa propre famille. Il avait des rituels dans le clan. Un grimoire de formules et de cérémonie écrit y a des générations et des générations se transmettent de père en fils. Seulement, le chef du clan doit le protéger. De la vieille magie noire, abjecte. Pour devenir un vrai mcian, il y a un rituel sacré qui consistait à mettre à mort un né moldu. Seulement, ces secrets, ces rituel, cette magie. Ne sort jamais du clan. Celui qui enseigne les dons du clan est condamné à mort. C’était le rôle d’Andy, de veiller sur ses frères, les cousins, les oncles, les enfants… Toute la famille proche ou éloignés qui faisant parti du clan. Qui avait accès aux pouvoirs et triompher aux épreuves. Seulement, l’homme fut trahit. Une trahison qu’il aurait dû mettre à mort. Seulement, c’était sa propre fille. Anabel. Elle a trompé sa rang, son clan, son père. En tombant sous le charme de Yuri Maaski, cet étranger au charme asiatique. Cet être impur, au sang moldu. Un sang de bourbe qu’il criait du fin fond de son manoir. Seulement en cachette Ana s’est lié à cet homme, puis elle est tombée enceinte. Sachant que la mise à mort du clan l’attendait, et son père serait le bourreau.
La légende dit qu’Andy était fou de chagrin pour la première fois de sa vie, pourtant personne ne l’a jamais vu pleurer. Ceci doit être qu’une rumeur. Les faits lui donnent raison pourtant. Le père gracia sa fille. Seulement, les conséquences tombèrent. Et d’une certaine manière, Andy a fait la plus grande erreur de sa vie. Andy décela le grimoire du clan. Seulement la magie noire que renferme le manuscrit est si ancienne, si sombre. Elle est incontrôlable pour les sorciers de cette époque. Elle était presque indéchiffrable. Pourtant Andy, l’utilisa. Il utilisa la pouvoir de la malédiction pour détruire l’abomination naissante dans le ventre de sa fille. Le pouvoir lui brula les mains, et le rendit boiteux. Et avec les années, il deviendra bossu. Car, c’était le prix à payer pour jeter la malédiction. Et la malédiction est cruelle, elle dévorera tout. Sans le savoir, il venait de prononcer le vœu de la mort sur son propre clan, qui finira par être détruit sur des années, et des années…
Yuri, le jeune journaliste asiatique, à embrasser Anabel un matin. Prit dans ses bras son fils tout juste né. Puis, il est parti au travail. Plus, jamais personne n’entendit parler de cet homme après cela. Comme s’il n’avait jamais existé, il disparut de la surface de la terre. Ana perdu la joie de vivre qui était en elle. A-t-elle point qu’elle oubliait son fils tout juste né. Et un jour, elle est morte d’une fin étrange sans acte de l’avada. Elle est morte si jeune, comme ça, sans aucune raison. Personne ne sut comment ni pourquoi. Alors, il ne restait que cet enfant, enfant impur. Son nom est Kyoshiro. C’est mon père. Andy avait décidé de le prendre avec lui. Malgré son impureté. Seulement, sa vie n’allait pas être toute rose. Bien au contraire. Kyo fut détesté par son grand-père. Andy avait aussi adopté Jason et Valentine deux jumeaux de la famille, qui ont perdu leurs parents jeunes. Bien plus agé que Kyo. Jason fut clairement de la vie de Kyo un véritable enfer, se gênant pas pour l’humilier et même le battre. Et ceci avec l’aide d’Andy. Cela le faisait même plutôt rire, car son petit-fils ressemblait bien trop à son père disparu. Durant toute son enfance Jason et Andy abusèrent de lui, sans lui laisser la moindre petite chance. Puis, il arriva à l’âge d’être à poudlard. Il est devenu ce jeune garçon si froid et asocial. Kyo a haïssait le monde entier, il en voulait à tout le monde peut importer leur sang. C’était un élève de serdaigle, intelligent qui progresser bien plus que les autres. Adepte de la magie noire. Il se fit de solides relations avec ce genre des élèves méprisables et abjectes. Se gênant pas pour maltraiter les autres à son tour. L’âme de Kyo est très sombre, son esprit pensant qu’à la vengeance. Les années s’écoulèrent. Le jeune garçon suivit des études de médicomagie. Ce fut l’époque de la montée de Lord Voldemort. Comme beaucoup de membres de sa famille, il avait suivi le mouvement. Devenant un mangemort. Massacrant et torturant des vies au nom de son maitre. Jusqu’à ce l’histoire que nous connaissons tous s’arrête. Voldemort fut stopper par un bébé, et ses sbires furent arrêter. Mon père n’échappera pas à la règle. Seulement, il trahi ses compagnons mangemorts. Evitant de dénoncer ceux du clan Mcian. Il dénoncera tous les autres, trahissant Voldemort qui est devenu une ruine. Il fut alors libérer, suite tous ses aveux, ce fut un accord convenu. Kyo permit l’arrestation de nombreux mangemorts à l’époque. Une fois, libre, Kyo mit en exécution son esprit de vengeance. Sans le moindre remord, sans la moindre hésitation il se rendit au manoir de son grand père. Il abattu froidement Andy, puis Jason, et Valentine aussi malgré qu’elle lui a jamais fait le moindre mal. Tous, y passèrent. Oncle, tante, cousins, neveu et j’en passe. Il exterminera le clan dans son ensembles même si cela prit plusieurs mois, en même temps de reprendre ses études de médicomagie. Ses mains étaient couvertes du sang pur des Mcian. Pour ceux qui avait été pris à Azkaban, il avait trouvé le moyen grâce à la médicomagie de les empoisonnés. La malédiction, Andy disait qu’elle servait à détruire les générations d’impureté. Quelque part, il avait raison, mais ce ne fut pas l’impureté qu’il croyait. Malheureusement pour Kyoshiro, la malédiction le guette toujours. Elle causera la mort et le malheur autour des Mcian, toujours, elle le fera, c’est son seul pouvoir. Kyo avait reussi a accomplir sa vengeance. Il avait anéanti la source de son mal. Il ne fut pas satisfait pour autant. Tous ces morts, ne lui rapportait absolument rien… Il trouva un moyen de se défaire de ce mal qui le ronge. Il avait scellé le grimoire sacré, malgré ces efforts pour le détruire, il avait plutôt décidé de le caché. Il se plongea dans son travail. Exerçant dans la médicomagie, s’étant spécialisé. Il sauve à présent des vies au lieu d’en prendre. Il a même fondé son propre laboratoire de recherche pour lutter contre certaines maladies magiques mortelles. C’était devenu son seul pouvoir de vivre, sauver les autres, réparés ces erreurs et la souffrance qu’il a pu causer. Il sait qu’il ne pourra jamais réparer le mal, seulement, il est devenu un homme de bien à St mangouste. Jouissant de la richesse d’andy, il a fait de nombreux dons pour sauver des vies. On oubliait presque ce qu’il avait pu être.
Puis, il rencontra Junko. Elle était le contraire de lui. Une jeune auror forte et courageuse, pleine de vie. Elle a onze de moins que lui. Le monde aurait dit qu’une auror et un ex mangemort était incompatible. Et pourtant, ils s’aimèrent. Très vite, le couple se maria, malgré quelques bavardages. Kyo et Junko firent leurs vie dans un village nommé Gilmerton situer en écosse. Au milieu de moldus. Ils ont fondés leurs familles, et vous savez la suite. Moi et Calice, sommes arrivés.
Chapitre trois : Perdu…Mon esprit vagabonde, comme perdu, je fige les alentours sans comprendre. Ces sentiments sont si étranges. Je n’ai jamais observé cela. Le cœur d’un homme ou ? J’ai envie de crier, seulement cette main féroce se plaque subitement sur mes lèvres. Me tirant vers un lieu moins dégagé. Je me débats. Je m’éloigne du groupe. Il m’emmène loin d’eux. Je ne pense pas que cela durera, ils me retrouvent toujours. Je me débats encore, mais que peux faire un enfant de douze ans face à la force d’un homme ? J’ai peur, il est calme. Je le ressens, il est content. Seulement sa joie, est étrange, je ne serais décrire cela.
- Je sais que tu es un garçon intelligent Akira, ne dis rien, ne crie pas, je vais te relâche, d’accord ?
Je secoue la tête pour dire que j’avais compris. La main de l’homme desserre son emprise sur moi, il me relâche. Je me retourne vers lui. Seulement son visage est caché par une capuche, il est vêtu tout de noir. Il semble si fort, je l’ai ressenti avec la force de son bras. Seulement tient un bâton, comme une canne. Il est sale, comme s’il s’agissait d’un voyageur de long chemin. Je tente d’être courageux, de ne pas baisser les yeux. Ne sachant pas qu’il était ni ce qu’il me voulait. Son cœur riait. J’ai peur, j’ai envie de m’enfuir. Et même retourner dans mon groupe. On est en pleine ville, il n’allait pas pouvoir me faire du mal. J’espérais que ce n’était pas son intention. Je vois sa bouche, il sourit. Il glisse une main dans sa robe de sorcier à moitié déchiqueté comme bouffer par des souris. Je me crispe, est ce qu’il allait se servir de sa baguette contre moi ?
- Mon nom est Link, ceci est pour toi mon garçon !
Il me tendit une enveloppe. J’eu une hésitation. Sa main est terreuse, abimé par des cicatrices, ses ongles sont noirs et abimés. Il prit ma main et m’offre l’enveloppe de force sans que je puisse dire un seul mot. Je le regarde se retourner d’un air inquiet. Mais, il s’en va ? Comment il connait mon nom ? Link ? C’est un prénom ça ? Je me pose milles questions sans la moindre réponse. Il s’éloigne de plus en plus de moi. Je ravale ma salive. Regardant l’écriture sur l’enveloppe. Mon prénom est inscrit. Mes yeux s’écarquillent subitement, les battements de mon cœur s’accélèrent. L’écriture de mon père. Mon père… Comment c’est possible ? Je relève les yeux vers l’homme qui a déjà fait déjà une bonne centaine de mètre. Il se tient avec son bâton comme un papi. Il a du mal à marcher. Je hurle d’un seul coup :
Link s’arrête. Ouf, il m’a entendu. Il allait pouvoir me dire ou est mon père. Apres tous ces mois de silence. J’avais tant de choses à lui demander. Si, mon papa lui a demandé de me donner ce message, c’est qu’il doit savoir où il se cache ? De loin, je vois Link sourire. Puis, il reprend son chemin. Non. Pas question, qu’il parte. Je dois retrouver mon père. Je devais saisir ma chance. Je cours, comme je n’ai jamais couru. Lui criant de s’arrêter, qu’il doit m’aider. Alors, que j’ai presque rattrapé le boiteux, il tourne au carrefour quelques secondes avant que j’arrive à lui. Et lorsque je tourne à mon tour. Les rues, sont vides. Plus personne, plus de Link, comme s’il avait disparu subitement en une demi seconde. Je serre les dents, j’ai presque avant de pleurer. Pourquoi ? Apres tous ces mois, j’allais savoir ou est mon père. Puis, je me souviens… L’enveloppe que j’ai dans la main. La prenant entre mes doigts. Je déchire l’enveloppe la jetant par terre. Je déplie la lettre à l’intérieur, je reconnais sans hésitation la plume de mon paternel.
Akira,
J’aimerais plutôt être là pour te prendre dans mes bras et te dire que tout va bien se passer. Je suis navré de ne pas pouvoir être là moi-même. J’espère que Link ne te pas fait peur, c’est un homme bon tu sais. Grace à lui, j’ai pu m’en sortir. Je m’excuse pour ces mois de silence, je ne vous ai pas abandonné toi et ta sœur. Je t’écris pour que tu sois fort mon fils. Les années seront longues, sache que je ne cesserais pas les recherches. Je te guérirais. Le temps viendra, nous serons à nouveau réunis. Je sus qu’ils vous ont séparés. S’il te plait Akira, empêche ta sœur de faire les mêmes erreurs que moi. Protège là. Garde ton secret. Ne doute pas de toi. Tu es fort comme l’était ta mère. Je vous aime de tout mon cœur.
PapaJ’essuie une larme sur ma joue d’un revers de manche. J’aimerais tellement que tu sois là, papa, je me fiche d’être guéri, je veux qu’on soit réuni… Comme une vraie famille, comme avant. Pourquoi ne veut-il pas m’emmener avec lui. Je fais une boule avec la lettre, personne ne doit savoir qu’il m’a écrit. Je la serre dans ma main, en sentant ce cœur si sombre venir vers moi. Il m’attrape violemment par mon haut sans que je me défendre.
- Sale petit, qui t’as permis de te séparer des autres, qu’est-ce que tu caches ?
Ce gros dégueulasse, m’attrape violement par le poignet. Je sens le battement de mon cœur s’accélérer dangereusement. Je grimace. Ne tentant même pas de me défendre. L’homme est bien plus fort que moi. Il prit la lettre de mon père en boule. Il me relâche brusquement. Il ne devait pas lire. Je pris ma baguette subitement sous sa surprise, et enflamme le papier qui lui brula la main. Je souris amusé lorsqu’il recule, grimaçant. Seulement, je l’ai rendu fou de rage. Le reste ne tarde pas à suivre. Sa main frappe si violemment mon visage que je tombe sur le sol. Crachant mon sang. La bagarre n’est pas bonne pour mon cœur. Je tente de me calmer comme mon père me l’a appris. Seulement, j’ai mal, je suis en colère et ce n’était pas fini. Le sorcier de l’orphelinat me ramasse en l’empoignant par mon haut. Je me relève difficilement. Il est rageur, il en oubliant la lettre tellement il est stupide. On ne peut pas demander à un sbire de voldemort d’être intelligent, non plus… Seulement mon papa avait fait exception à une époque.
- Tu vas prendre cher au camp, j’te le garanti, je me chargerais moi-même de ta punition !
Cela, j’en suis certain, il prendra du plaisir…
Chapitre Quatre : L’histoire d’aujourd’hui et d’hierLes choses ne se passent jamais comme elles le devraient. Apres, la découverte de ma maladie, mon père m’avait enseigné l’aïkido. Puis, la méditation. Il m’a forcé à devenir un élève tenace. M’apportant beaucoup d’attention, bien que au début je la refusé. D’autant plus que ma sœur commença à m’en vouloir. Il était jalouse que mes parents prennent autant soin de moi et pas d’elle. Seulement, j’y pouvais rien. Kyo à diriger son laboratoire, cherchant exclusivement quelque chose qui pourrait me guérir. Il a d’immense connaissance, et a déjà contribuer à la recherche de la médicomagie par de nombreux remèdes. Seulement, il n’a toujours rien trouvé pour mon cœur. Il avait seulement cette petite potion qu’il m’a appris à faire. Vu que je ne m’en sors pas trop mal pour tout ce qui touche à la botanique et aux potions. Elle me guéri pas seulement, elle m’apaise lorsque les éléments deviennent incontrôlable. Elle me fut bien utile à Poudlard. Mon père m’a fait promettre de pas dévoilé mon don. Il avait effacé mon dossier des archives de St Mangouste. Quant aux médicomages qui l’avaient aidé, ils avaient mystérieusement disparus. Personne ne pouvait le dire. Malheureusement pour moi, je ne sais pas contrôler ce pouvoir. Il vient et part lorsqu’il le veut, et influent sur mon cœur lorsqu’il le veut. Je suis obligé d’avoir une fiole sur moi à chaque instant si je ne veux pas que les choses dérapent… Car cela arrive n’importe quand. Même si à présent c’est devenu rare. Je me suis entrainé à ne pas être perturbé par les émotions, seulement parfois, je peux ne pas résister. Je n’ai pas vraiment trouvé encore comment le faire.
Moi et Calice furent séparés une première fois à poudlard. Elle fut reçue à Serpentard, alors que je partagerais la table des Serdaigle. Et puis, finalement, on se parlait plus tellement, on se croisait rarement. Elle m’évitait simplement. Ce fut difficile pour moi d’être accepté par les autres. Les sorciers de serdaigle me rejettent un peu. Sans doute parce que j’étais toujours entrain de parler, et de dire parfois n’importe quoi… Bref, je suis un vilain petit canard, que l’on trouve trop stupide et bizarre. Je compris très vite que parfois, je devais me taire. Seulement, ce fus pas toujours le cas, mon orgueil m’obligeait à leur répondre. Je ne suis pas idiot même si on a tendance à le croire. Quoiqu’il en soit, il fut plus difficile de me faire des amis que prévu. Cependant, je me lie tous de même avec quelques personnes qui surent m’apprécier. Malgré mes efforts, j’avais quelques difficultés avec tous ce qui s’agit de maniement de la baguette. J’étais bien moins doué que les autres, et même les plus cons. Ce n’est pas que j’étais moins intelligent contrairement à ce que semblait croire les autres. Mon cœur rejette la magie. Je n’y peux rien. Maitriser des sortilèges était bien plus difficile pour moi. Mon père m’avait prévenu. Je devrais travailler bien plus que les autres. Alors, c’est ce que je faisais. Je travailler dur oubliant parfois même de m’amuser. Je tentais plus ma chance dans les matières techniques. Comme les potions par exemple, ou je pouvais me montrer plus à mon avantage que d’autres matières, comme les sortilèges ou la métamorphose. Je passe souvent mon temps dans la bibliothèque ou à lire pour apprendre encore et encore. Un jour, je serais contrôler mon cœur, et plus personne n’aura de raison de rire de moi.
Seulement la fin de ma première année fut perturbée par la guerre. Voldemort avait tué Harry Potter et prit le contrôler de poudlard puis du monde magique. Malgré les efforts de l’ordre du phénix, ce monstre gagne la bataille. Et ma vie bascula pour la seconde fois, sauf que cette fois ci, mon monde allait changer du tout au tout. Ma maman était une auror, elle avait rejoint l’ordre du phénix dans l’espoir d’une vie meilleure. Seulement, elle a perdu la vie dans cette guerre. Quant à mon père, c’était un traitre à Voldemort. Lorsque les choses ont mal tournés, il a pris la fuite. Il nous a abandonné ma sœur et moi. Résultat, moi et ma sœur, enfant d’un traitre ont valait pas grand-chose. On fut placés dans un orphelinat sorcier, enfin c’était plutôt un camp très strictes. Seulement, Calice fut séparé de moi. Une famille de sorcier pro voldemort l’adopta. Ma sœur est fascinée par la magie noire depuis toujours. Elle en a toujours voulu à papa de rien lui avoir appris. Elle allait devenir un de ces produits de la propagande. Loin d’elle, je ne pouvais rien faire pour empêcher ma sœur. La raisonnée…
Alors, je restais dans ce camp pendant l’été. La vie était rude. Je n’ai plus de famille, je pouvais compter que sur moi-même pour m’en sortir et éviter les coups de nos gardiens. Malheureusement pour moi, j’y échappe rarement. Etre à poudlard pourrait être un soulagement. Seulement, il y a ce groupe qui peut faire tout ce qu’ils veulent. Les siffleurs. Calice, en fera vite partie d’ailleurs. Je me sentais tellement loin d’elle, comme si elle était plus ma sœur… Comme si c’était une inconnue. Papa voudrait que je la ramène sur le droit chemin. Qu’elle ne devienne pas une mini mangemort comme il avait pu le devenir autre fois. Seulement, Calice m’évite… Elle oublie que je suis son frère.
Maintenant, les années passent, je reste discret comme je l’ai promis. Bien que rejoindre l’ad me plaire bien, j’aimerais tant mettre un coup de pied aux culs des siffleurs. Ils passent leurs temps a martyrisés les autres moi y compris. J’avais échappé au pire, grâce à ce don d’empathie. Pendant le test j’avais pu avoir le niveau deux. Sans cela, sans doute, que j’aurais obtenu le troisième. Ma vie deviendrait aussi infernale qu’au camp. J’espérais, un jour que papa refasse surface et qu’il me sorte de ce cauchemar. En attendant, je relativise autant que je peux, même si parfois je ne peux pas m’empêcher de l’ouvrir. Je tiens sans doute cela de ma mère. Si j’avais pu choisir ma vie, j’aurais été comme elle. J’aurais tant voulu être un auror. Etre si courageux et fort comme elle, comme mon grand-père Jiro. Oui, j’aurais voulu… Mais, mon cœur l’empêche, et la société aussi maintenant… La vie n’est pas juste, seulement je ne me morfonds pas. J’arrive encore à sourire, les choses changerons un jour, j’en ai la certitude…