« Là où il n’y a rien, même la mort ne peut rien prendre. »
Dernière édition par Kathryn Sykora le Dim 14 Juil - 5:13, édité 26 fois
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Sujet: Re: Kathryn (Kate) Sykora Dim 30 Juin - 23:25
RACONTENOUSTONHISTOIRE
Chapitre Premier Lorsque les dés de notre vie sont lancés, il n’y a plus rien qui ne va. Nous pouvons avoir de la chance, comme nous pouvons partir avec un léger handicap. Comme elle est grand cette république qui ne parle n’y la langue de Shakespeare n’y celle de Molière. Cette capitale si grande qui bourdonne de vie et, où les lumières ne meurent jamais, ce monde : c’est Prague. Mon jeu commence le trois novembre dix-neuf cent soixante-neuf alors que c’est la République Tchèque qui m’ouvre ses bras et son univers de même que celui des sang-pur. Je devrais être fier de mon héritage et vouer tout mon respect aux anciens, mais mon histoire a les mains tâchées du sang des siens. Ce monde de hautes sphères, je n’en ai jamais voulu. On nous comprime l’esprit et l’âme avec des idéaux qui ne sont que des apparences et des mensonges. Étant l’unique fille de la famille, je me devais de suivre la vague et cela, en évitant de me faire engloutir par celle-ci. Si mon monde de convictions semble bien loin de la personne que je suis réellement, je ne vous laisse pas imaginé la distance qui sépare ce monde de mes frères. Eux, le choix, ils ne l’auront probablement jamais. Des jumeaux, de deux ans mes aînés, leurs avenirs sont déjà tracer et il est hors de question que l’un ou l’autre déroge du chemin que les parents ont dessiné.
Mes parents pourraient ressembler à des tyrans à vos yeux. Pour mon père, je ne pourrais dire le contraire, mais pour ma mère, les dés étaient tout simplement contre elle. Elle avait appris à s’effacer comme toutes les femmes de ma famille. Selon mon père, les femmes sont là pour être belle, intelligente et surtout, se taire. Je crois que mon paternel a compris bien vite qu’il serait difficile de nous comprimés dans ce cadre parfait qu’il s’était si souvent imaginé. Mes frères? Mon père les emmenaient partout où il allait comme de vulgaire petits chiens de poches. Comme il était fier de les présentés à son entourage en omettant qu’il n’avait absolument rien à voir dans leurs éducations. Pour ma part, j’avais droit aux cours qui se succédaient. Équitation, violon et piano, chant, danse et les langues, tous avaient sont importance et je me devais de m’appliquer dans tout avec une passion dévorante mais retenue. Soyons honnête, il n’y as que les langues qui me seront utile. Père peu présent, mère soumises et enfants réfrénés, voilà les mots que j’utiliserais pour décrire ma famille. Je ne peux pas dire que j’eus une enfance des plus malheureuses parce que cela serait faux. J’eus quelques lacunes, cela est vrai, mais je ne regrette rien. Entre mes frères qui m’embête et me tire les nattes et moi qui fait tout pour ne pas leur rendre la vie facile, je dirais qu’il y a là un bon équilibre. Puis, leurs lettres sont arrivés et ils sont partit, me laissant seule dans cet étau meurtrier. Encore deux ans et mon tour viendra, mais deux ans comme cela peut paraitre long et pénible en début de parcours. Maintenant, les études de mes frères prennent toute l’attention de père. J’aimerais tellement qu’il me voit, mais je ne suis qu’une fille dans son petit monde d’idéaux.
Chapitre Deuxième Les premières années de notre scolarisation dépendent toujours de quel pied nous décidons de partir. Personnellement, je voyais en cette nouvelle entrée un nouveau départ dans une toute nouvelle ville, voir un tout nouveau pays. Au Royaume-Uni, je ne serai qu’une étrangère de plus dans un monde d’homme blancs. J’avais cette envie de vivre de toutes nouvelles choses et ce, avec des gens tous aussi différents les uns des autres. Visiblement, j’étais la seule, ou l’une des rares du moins, à vouloir connaître autre chose : à vouloir vivre une routine totalement différente de celle que j’avais eu. La première année fut plutôt empreinte de solitude et de plaisanteries douteuses. A vrai dire, j’étais loin d’être une belle et jolie jeune fille blonde aux yeux clairs comme cette Abygaël Fitzroy. En fait, j’étais plutôt bien en forme en ajoutant à cela un appareil orthodontique, une paire de lunette au fond plutôt épais et finalement, des vêtements qui ne ressemblaient en rien à la mode de Londres. J’avais cette habitude de me natter les cheveux et de passer le plus clair de mon temps dans les rayons de la bibliothèque. Je n’avais nullement choisit ce mode de vie marqué d’ostracisme. Il s’était imposé de lui-même et j’avais, délibérément, fait le choix de ne plus me battre à contrecourant. La deuxième année ne fut pas plus différente de la première à quelques exceptions près. J’avais entrepris de perdre mon accent tchèque sans succès palpable. Chasser le naturel et il reviendra au galop. Mon petit côté vestimentaire s’était grandement améliorer, selon moi du moins, malheureusement, je ne pouvais pas en dire autant sur mes rondeurs qui semblaient s’être multiplier. Si seulement je pouvais avoir cette motivation pour changer tous les aspects de ma vie qui me déplaise. Je regardais toutes ces filles tomber en pamoisons devant les garçons de dernières années et, je n’arrivais pas à comprendre ce qu’elles pouvaient bien leurs trouvés. Après tout, ce n’était certainement pas ses garçons qui allaient les aider dans la passation de leurs APICS.
Soyons totalement franc, tout depuis mon entrée à Poudlard était calculé en fonction de ma passation de cette ultime épreuve. Depuis le tout début, je m’étais appliquer corps et âme dans tous mes cours ainsi que les travaux reliés à ceux-ci. Il était tout simplement hors de question d’obtenir autre chose que la note optimale. Alors que les autres filles sortaient au village pour faire les boutiques ou faire de nouvelles connaissances, moi j’étais dans la salle commune, sur mon lit ou encore dans mon sanctuaire pour réviser chaque matière. Puisque ma vie sociale était quasi-inexistante voir totalement au point mort, je défoulais toute ma rage dans les cours. Avant d’arriver au moment ultime, j’allais devoir passer par le BUSE. Les efforts incalculables me permis de passer cette épreuve sans avoir de sueur froide. La cinquième année, l’année de tous les changements importants de ma pauvre vie. J’avais troqué mes lunettes a font épais pour une opération qui m’en libéra pour de bon. Par la suite, je mettais déjà débarrasser de mon appareil orthodontique en troisième année, ce qui m’avait valu un sourire totalement parfait. Il ne faut pas oublier que j’avais décidé de perdre mes rondeurs l’année précédente, en me disciplinant à la course tôt le matin. Dès que la permission de sortir du château entrait en vigueur, j’étais à l’extérieur pour un quinze minutes bien employer. Tous mes efforts avaient fini par porter fruit et me donner une apparence qui me plaisait davantage. Il était tout simplement hors de question que je retourne à l’ancienne moi. Durant cette même année, j’acceptai de sortir et rencontrer d’autres gens et même quelques petits flirts. Je n’eus pas réellement de petit ami durant mes années de scolarisation refusant de me laisser m’éloigner de mon objectif premier : la réussite parfaite de mes études. Je voulais rendre mon père fier de moi et surtout prouver à mon frère qu’il avait totalement tords et, que je n’étais pas aussi impotente qu’il voulait bien le crier autour de lui. Moi aussi, je méritais la fierté de père et pas seulement parce que j’étais un sang-pur comme lui, mais parce que j’avais l’esprit aiguisé et vif des Sykora. Je méritais aussi le respect et la peur que pouvait crée ce simple nom de famille. Et cela même si…
Chapitre Troisième La maison est plongée dans une noirceur lugubre qui me donne la chair de poule. Mon corps en entier me cri de faire demi-tour et de sortir de cette maison même si elle représente toute ma vie. Je peux entendre la pluie s’abattre lourdement contre les carreaux des fenêtres, alors qu’un éclair zébra dans le ciel me fessant sursauter. Je n’ai rien d’une héroïne, de celle qui sauve des vies en bravant les dangers. À vrai dire, je suis plutôt celle qui préfère rester cacher dans un coin en attendant la fin du film. Ce sont mes frères les véritables héros en me protégeant du grand méchant loup caché dans le placard et du monstre tapi sous le lit. Mes mains tremblent alors que je monte l’escalier menant à l’étage. Je devrais tourner les talons et retourner chez Victoria pour y passer la nuit. Ma main gauche se pose sur la rambarde et glisse dans une substance qui m’est totalement inconnue. J’approche ma main de mon nez pour y renifler l’odeur, une odeur qui me donne la nausée. Un nouvel éclair passa dans le ciel voilé me permettant de voir la couleur de ma main. Rouge comme la colère, rouge comme la violence… rouge comme le sang. Je sens des larmes coulées sur mes joues alors que je lève la tête en direction du couloir. Lyam était partit pour le long congé avec des amis et il ne devait pas revenir avant deux jours. Dylan avait du prendre froid puisqu’il était rester au lit et avait refuser de suivre son jumeau. Ma vue s’embrouille lorsque j’arrive devant la porte de sa chambre sans doute, ais-je peur de ce que je pourrais trouver derrière. Tournant lentement le bouton de porte, s’exerce une légère sur celle-ci. La chambre est dans un désordre sans nom et lorsque mon regard se posa sur un pied sous la commode, j’étouffai un cri d’horreur.
Qui pouvait être le monstre qui avait pu faire une telle chose? Ma tête continua de me crier de m’enfuir, mais mon cœur voulait savoir où se trouvaient mes parents. Je quittai la chambre à reculons pour regagner le couloir. Les lumières clignotèrent un court instant avant de se rallumer d’un geste brusque. Mon regard se posa tout autour, sur les cadres écrasés au sol, les mains ensanglantées sur les murs et finalement, sur l’embrassure de la chambre de mes parents. Je pris une profonde inspiration…
La dernière chose qui me vient a l’esprit de cette nuit fut de voir mon père le visage couvert de sang, un poignard a la main, a genoux près de ma mère. A mon réveil, on m’annonça qu’il n’avait pas trouvé de corps et que, étant toujours mineure, j’allais être placé chez ma grand-mère maternelle avec Lyam jusqu’à majorité. J’ignorais tout de cette femme et de ce qui allait se passer. Quinze ans, voilà l’âge que j’avais lorsqu’elle nous annonça que personne ne devrait jamais savoir ce qui s’était réellement passer. C'est également a cette époque que je pris la décision de changé du tout au tout.
J’étais venu à l’idée que je ne pourrais jamais taire mon passé et que je finirais probablement dans le même état de mort que mon frère et ma mère. J’avais cette rage de savoir que mon père était un meurtrier et qu'il avait fuit devant la justice. Je n’avais rien d’une combattante contrairement à mon frère Lyam. Heureusement, nous allions devoir compter l’une sur l’autre dans ce nouveau chemin de vie. À la fin de mes années d'études, j'avais pris la décision de quitter Prague pour de bon. J'allais probablement revenir un jour, mais ce jour allait être celui où on allait m'annoncer la mort définitive de mon père. Je quittai Prague pour le Brésil, ensuite l’Australie et finalement l’Inde avant de retourner au Royaume-Uni pour y fêter mon trente-troisième anniversaire.
Dernière édition par Kathryn Sykora le Dim 14 Juil - 5:11, édité 3 fois
hannnnn bienvenue!!!!! xD enfin je sais pas si le terme est le plus adéquate xD Enfin bref jte roule la plus grosse pelle du monde de la part de ton homme qui arrive bientot promis!!!!
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Sujet: Re: Kathryn (Kate) Sykora Mar 2 Juil - 4:01
Miam! J'ai bien hâte! ^^ Merci Lion!
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Sujet: Re: Kathryn (Kate) Sykora Mar 2 Juil - 8:58
Bienvenue à Silencio ma belle !
J'espère que tu va vite t'habituer à cette ambiance de folie ! Bonne chance pour ta fiche ! Je suis ravie de faire ta connaissance ! Gros bisous, j'espère que l'on se reverra lors de Rp !
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Sujet: Re: Kathryn (Kate) Sykora Mar 2 Juil - 10:12
Re-Bienvenueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee Bon depuis le temps, tu connais la maison donc je te refais pas le blabla :p Bon courage pour ta fifiche Première fois que je te vois jouer une fille Oo
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Sujet: Re: Kathryn (Kate) Sykora Dim 14 Juil - 5:13
Et voilà, j'ai terminé enfin! En espérant que tout est bien ficelé!
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Sujet: Re: Kathryn (Kate) Sykora Dim 14 Juil - 8:56
han!!! et en plus Liam survit! xD Mais j'adooooore ton histoire *-* Je suis amoureux mon coeur *-* *sort*
Rebienvenue parmi nous très chère! Bien hâte de voir évoluer enfin un personnage féminin de ta part!!
BIENVENUEEEEEEE
Félicitations, tu rejoins le monde des sorciers !
Coucouuuuuuuu Je ne vois aucune objection à t’offrir le privilège de rejoindre notre communauté Ton personnage est donc accueilli chaleureusement (ou pas...) par les SORCIERS. Maintenant il te reste quelques petites choses à faire, tu dois tout d'abord aller RECENSER TON AVATAR. N'oublie pas de te recenser aussi au niveau de ton camp politique, métier ou famille de sang pur en allant jeter un œil aux LISTINGS. Ensuite, tu peux faire une demande de LIENS & de RP'S pour commencer à participer pleinement et te faire des coupins. Mais n'oublie pas qu'il y a aussi LA CHAT BOX qui est un bon moyen de faire connaissance avec les autres membres ! Si tu le souhaites tu peux te créer DES SCENARIOS. Enfin n'hésite pas à jeter un petit coup d’œil au FLOOD ou aux JEUX. Bon voyage parmi nous !