Jaake Jackson Sujet: Jaake Jackson Mar 6 Aoû - 19:44 Jaake Jackson
« Les premiers sentiments sont toujours les plus naturels. »
VIDEOToutes mes salutations à vous, je me présente, Jaake Jackson . Je suis âgée de 17 ans. Je suis un sorcier de sang pure. Mon statut est actuellement 2 et je suis fière de dire que je suis neutre . Je suis actuellement en 7e année , dans la maison des Serpentard . Plus tard j'aimerais être quelqu’un d’important et mon avatar est celui de Alex Pettyfer. Si je devais vous donner quelques-unes de mes qualités et défaut, ce seraient ceux-ci que je citerai Impulsif Jaloux Possessif Insouciant Impitoyable Fidèle .. Ma plus grande crainte ? Et bien la dernière fois que j'ai rencontré un épouventard il s'est transformé en Chauve-Souris . Vous voulez en savoir plus sur moi ? Et bien pour ça, vous allez devoir lire la suite ! .
CARACTERE & PHYSIQUE
On me trouve impitoyable, je ne crains pas de faire du tord, du mal. Dérangeant; je m'incruste dans les conversations sans gêne, même si ce que je peux dire n'a aucun rapport avec le sujet; je suis capable de déranger en classe en me moquant de tout et de rien, en parlant pour ne rien dire. Arrogant; l'ironie, l'arrogance, ce sont deux choses qui me vont bien, rien ne m'est impossible et les répliques aussi farfelu soient-elles viennent d'elles-mêmes. Vantard; un peu narcissique, je suis facilement capable de me venter sur mon moi-même, sur mes capacités. Manipulateur à certaine occasion, si elle se présente. Je peux arriver à jouer avec les sentiments d'autruis, les faire sentir coupable pour des choses dont ils n'ont rien à voir. Il m’arrive aussi d’être hypocrite, sans doute un héritage de mon père, tous ne peuvent pas avoir confiance en moi, car je peux jouer un double jeu : gare à vous!. Je ne mâche pas mes mots et dit ce que j'ai à dire, toutefois je m'abstient davantage devant quelques personnes... Je ne suis pas menteur, je joue avec la vérité tout simplement. Impulsif, généralement, ou insouciant à vous de choisir! Lorsque j'ai une idée en tête, je la mets en action qu'importe les conséquences. Je me fous souvent de ce que les choses peuvent m’apporter, bonnes ou mauvaises. Je fais avec ce qu’on me donne. Autrement dit, je suis insouciant. Des règles? La seule que je respect c’est : Faire les choses à ma façon. J’ai des tendances à la jalousie en ce qui concerne ma bien aimé et je peux facilement devenir violent. Possessif la majore partit du temps. Il ne faut pas trop s’approcher des gens que j’apprécie. Pour moi, chaque journée c’est la fête, beau temps, mauvais temps! J’ai beaucoup de mal à rester en place, je dépense donc mon énergie dans le sport. Bref, je suis qui je suis, si tu m’aimes tant mieux, si tu me hais, tant pis! J’ai longtemps eu une baby face, cependant, j’ai beaucoup mûrit et mon visage s’est beaucoup durcit. Je laisse transparaître une jeune adulte plein de caractère, ce qui est également le cas. J’ai les cheveux clairs, blonds et les yeux pâles, gris bleu, seule chose que ma bonne mère m’ait offerte avant sa mort. Je suis plutôt grand et je deviens de plus en plus imposant. Mon corps et en très bonne forme physique et bien marqué par les nombreuses heures d’entraînement, à Poudlard, ainsi qu’à la maison. Ma musculature est un précieux atout! Lorsque j’eus 15 ans, avec l’accord indifférent de mon père, je me suis fait tatouer une croix sur la poitrine, qui pour beaucoup n’a aucune signification, toutefois, pour moi le symbole de la croix est la persévérance ainsi que l’espoir, mais qui cherche à connaître la vrai signification, se voit vite tourner de bord. Lorsque je ne suis pas forcé de porter l’uniforme de Poudlard, je me vêtis de façon assez décontracté ou classique.
RACONTE NOUS TON HISTOIRE
Tout ce que vous devez savoir, c’est ce qui me concerne. Comment mes parents se sont rencontrés? Jamais vous ne le saurez. Si vous me posez la question, je pourrais vous répondre n’importe quoi. Si vous ne voulez aucun mensonge, ne chercher pas à savoir. Tout ce que je peux vous dire, c’est que ma mère est morte en tentant de me mettre au monde. Moi je montrais le bout de mon nez et elle, elle rejoignait l’haut de là. Bien fait pour elle, elle n’avait qu’à ne pas m’avoir. L’avortement aurait été la meilleure solution! Les choses auraient été beaucoup plus simples si elle avait écouté mon salaud de père. Jamais je ne pus sentir le doux battement de cœur de ma mère, comme n’importe quel enfant aurait dû sentir dès sa venue. Je ne sentis pas non plus les bras réconfortant de mon père qui ne voulut pas me voir en sachant que Katie était décédé. C’est ma grand-mère Paternel qui eue le courage de prendre soin de moi les premiers mois de ma vie. Ce fut ma seule source de réconfort durant 6 mois, tout juste. Ces 6 mois passés, elle me quitta elle aussi pour rejoindre notre seigneur tout puissant. Mon père me prit finalement en charge, du mieux qu’il put. Je tente de m’en persuadé, même rendu à mon âge… Je ne me rappelle pas mes plus jeunes années, du moins, je ne me rappelle pas des bons moments de mon enfance. Tout ce que je me souviens, c’est d’être resté trop longtemps seul dans ma chambre à jouer avec mes chevaux de bois. J’aurais pu jouer avec des jeux vidéo, mon père aurait pu m’en offrir, mais tout ce qu’il m’offrait était des jouets qui avaient déjà servi à d’autre enfant. Heureusement, enfant, je savais très bien m’amuser malgré ma pauvre somme de jouets. Les repas avec mon père étaient brefs et silencieux. Dès que j’ouvrais la bouche, il me faisait taire d’un mouvement sec de la main. Je me taisais donc et poursuivais triste mon repas. Seule l’école m’apportait un peu de bonheur. La plus part des jeunes de mon âge n’appréciaient guère les études, mais moi… ça me sortait de mon monde de mutisme. C’était pour moi une délivrance! Enfin j’étais loin de celui qui me regrettait. Dès que je revenais de la classe je m’enfermais dans ma chambre et faisait les quelques devoirs que la prof’ me donnait. Terminé, je m’asseyais sur le rebord de ma fenêtre et regardait dehors où je voyais tant de jeunes gens s’amuser. Mon crétin de père me privait de sortir. J’avais 9 ans lorsque je finis par flancher. J’étais tanné de l’attitude sévère et macabre de mon père. Maintenant assez grand pour comprendre que lorsque mon père partait, je pouvais faire ce que je pouvais, j’en profitais. Les premiers jours, je surveillai l’horaire extrêmement précis de mon paternel. Il disparaissait à sept heure le matin pour revenir à 19h. Qu’est-ce qu’il faisait? Je le découvris seulement lorsque je décidai de fouiller la maison. Je trouvai des parchemins étranges qui annonçaient des lieux de rendez-vous. Et je lus à quelques reprisent le mot : «Magemort». Je savais parfaitement que tout ceci faisait partit du monde des sorciers. Eh oui! Ma mère était sorcière et avait étudié à Poudlard dès ses onze ans. Elle avait fait partit de la maison des Serdaigles. Je le sais, car elle tenait un journal, adolescente, et je pus lire bien des choses à ce sujet. Son tout premier amour : Percy Anderson. C’était avec ce jeune homme qu’elle avait partagé ses premiers délicieux moments. M’enfin, je n’ose imaginer ce que lui et ma mère aurait pu faire, sans que cela me dégoûte. Mon père quant à lui, il avait été envoyé à Serpentard et cela ne m’a jamais étonné. Pas du tout! Cruelle, hypocrite, sans cœur, stupide comme il était, c’était tout à fait normal. Et voilà où cela l’avait conduit aujourd’hui! Un mangemort, et quoi encore? Mon père était un adepte, un fidèle inconditionnel de Voldemort. Même s’il n’en parlait pas en ma présence, j’étais au courant de ce qui se tramait. Jim ne me croyais pas capable de fouiller et pourtant, jamais je ne m’étais gêné, à partir du moment où j’avais commencé. J’étais curieux de nature, bien que ma curiosité n’apporte pas nécessairement du bon. Je pouvais, à n’importe quel moment, mettre mon père dans une impasse. J’ignore, cependant, pourquoi, mais je ne l’aurais pas fait. Peut-être qu’au fond, même si je détestais mon père, je ne voulais pas quitter la maison et me retrouver dans un autre endroit… Bon enfin. Après avoir fouillé la maison de fond en comble, je quittai la sécurité du manoir à la recherche de nouvelles aventures. Ce que je faisais maintenant de mes journées? La pire chose qu’un enfant pouvait faire. À savoir; des mauvais coups! Peut-être qu’au fond j’essayais de m’attirer des ennuis pour avoir un peu l’attention de mon père. Et je l’eu… Pas de la bonne manière. Je sentis si souvent les coups sur ma peau qui devenait de plus en plus vifs. Mais je restais silencieux et n’abandonnais pas. Je recommençais, toujours plus grave. Je brisais les vitres. Frappait les gens. J’étais devenu un enfant délinquant, irrespectueux, dangereux, vulgaire. Je voulais faire honte à mon père et aussi démontrer combien je pouvais être pire que lui. Mais je finis par me calmer. J’étais à la demi de mes 10 ans. Une nouvelle dans la classe. Elle était jolie. Gentille. Merveilleuse! Elle avait une merveilleuse chevelure blonde. Des yeux éclatants! Elle était tout simplement magnifique. Je tentai à plusieurs reprises de l’approcher, mais sans jamais arriver à quoique ce soit. Elle finit par me dire que si elle ne me parlait pas s’était parce qu’elle savait que j’avais un caractère très difficile à cerner et qu’elle ne cherchait pas à être mise dans le trouble. J’étais prêt à changer pour elle! Et je changeai. Mon père ne m’aima pas plus, mais il finit par me permettre de sortir. J’adorais passer du temps avec Naomie. Elle était ma meilleure amie. Celle qui arrivait à me calmer dans mes moments les plus sombres. Celle qui arrivait à me faire voir blanc lorsque tout était noir. Elle était le soleil de mes journées et la lune de mes nuits. Seule elle connaissait le véritable moi. Certes, je ne m’ouvris pas rapidement, mais elle finit par tout connaître de moi et ce en un seul été. Le lendemain de mes onze ans, je m’étais levé comme j’avais l’habitude de le faire. Ma sortie du jour? Une journée à la piscine avec Naomie. Elle adorait nagé, c’était un vrai poisson dans l’eau! Bref. J’avais ouvert la porte, sac sur l’épaule, lorsque j’entendis, pour l’une des rares fois, la voix de mon père me dire d’attendre. Surpris et presque choqué, je soupirai bruyamment et me retournai. Les yeux cernés, le regard dangereusement sombre et l’air complètement indifférent, il me tendit une lettre qui m’était adressé. Brusquement je l’arrachai des mains de mon père qui s’en retourna aussitôt. Je la tournai entre mes doigts, reconnaissant rapidement le logo de Poudlard. Là voilà enfin… Je ne tardai pas à ce sujet et fourrai l’enveloppe dans mon sac en me disant que je la lierai plus tard. Le soir, je revins à la maison après une formidable sortie. Je venais de raccompagner Naomie chez elle. Je me souvins alors que la lettre attendait toujours dans mon sac. D’un geste habile j’allai la chercher et déchirai le papier. Je lis brièvement ce qui était inscrit. J’avais raison, j’entrais à Poudlard cette année! Lorsque je traversai la porte, je sentis la délicieuse odeur de rôtis de porc à l’ail. Un de mes repas favoris. Je traversai l’arche qui menait à la salle à manger et je constatai avec stupeur que mon père dinait déjà et pas seul. Une femme riait tout près de lui. Je restai pétrifié de la scène que je trouvai peu approprié. «Smack!» Qu’est-ce que je venais de voir? Mon père venait-il réellement d’embrasser cette femme? -Salut, crachai-je amère. J’allai m’asseoir grossièrement au bout de la table loin d’eux. Je sentis le regard enflammé de mon père se poser sur moi. Je levai un œil sur lui et sa maîtresse, constatant qu’elle me regardait de manière provocatrice. D’une voix hautaine et un sourire machiavélique aux lèvres, tout en approchant les pommes de terre et le rôti de moi, je crachai : -J’t’en veux pas du tout. Il est tout à toi. Il faut dire qu’il avait justement besoin d’une p*te pour le calmer un peu. À peine avais-je prononcé ces mots que mon père sortait sa baguette magique et la pointa vers moi. Il cria vivement « endoloris ». Je tombai rapidement en bas de ma chaise, me tordant de douleur. Douleur vive et insupportable, mais mon orgueil était plus grande encore. Il aurait sans doute voulu que je le supplie d’arrêter, mais je n’allais pas lui donner satisfaction. Je ne criais pas, je ne parlais pas. La sueur perlait désormais sur mon front. Puis tout arrêta. J’ouvris les yeux et me relevai de peine et de misère. C’était la première fois que mon père me faisait subir une telle souffrance, mais il n’avait pas gagné. Il semblait que c’était sa maîtresse qui l’avait supplié d’arrêter. Heureusement qu’elle était là, mais je crois que j’aurais préféré mourir plutôt que de subir les regards foudroyant de mon père. C’est aussi là que je remarquai sur l’avant-bras de mon père, ainsi que sur celui de sa compagne d’un soir, l’étrange tatouage qui les liait tant à leur terrible maître. C’est avec un sourire macabre et un regard sévère, mais très sérieux, que Jim me dit : -Eh oui, mon fils. Un jour, c’est toi qui y passeras, suivit ensuite un ricanement qui me glaça le sang lorsque je compris ce qui allait arriver. Les jours qui suivirent furent très froid entre Jim et moi. Heureusement que j’avais Naomie pour me réconforter. Elle m’annonça quelque chose, justement, de très fantastique. Elle allait être envoyée à Poudlard! Eh oui! Naomie était une sorcière aussi. Nous nous l’étions tout de suite avoué. Sa mère travaillait au ministère de la magie et son père faisait partit d’un groupe quelconque. Elle n’avait pas osé en parler. Tout comme moi je n’avais pas osé parler du secret de mon père. J’aurais pu pourtant. C’est donc avec elle que je pus aller chercher tout ce dont j’avais besoin pour la rentrée. Je passai un agréable moment avec elle et ses parents qui nous accompagnaient. Elle me conseilla sur les matériaux à prendre. La meilleure qualité, sans toutefois laisser entrevoir que je possédais beaucoup d’argent. Bien que j’aurais préféré démontrer à tout le monde combien j’étais riche, je voulais laisser le soin à cette jeune femme de choisir pour moi. On arriva finalement chez Ollivander, le vendeur de baguette. Naomie ne sembla pas avoir trop de difficulté. Moi non plus, d’ailleurs ; bois de prunier, plume d’aigle royal, 32, 6 cm. Puis on se rendit au train. Je ne dis pas au revoir à mon père, puisqu’il n’était pas présent. Naomie et moi, nous retrouvâmes dans la même cabine dans le train, avec d’autre gens. Je ne parlai pas beaucoup, car je sentais que si j’ouvrais la bouche, j’allais sortir des choses blessantes au sujet de ces personnes très agaçantes et dérangeantes! Finalement, le groupe de première année se retrouvèrent dans des barques. Cette fois, je me retrouvai tout de seul sans celle avec qui je me sentais bien. Ceux qui m’entouraient étaient très silencieux, heureusement pour eux. Enfin, voilà que nous traversâmes les portes pour nous retrouver dans la grande salle. La foule était immense et je ne pus me rapprocher de Naomie. Je passai sur le banc du destin avant elle et fut envoyé dans la maison qui était la mieux pour moi. Naomie aussi fut envoyé là où elle devait aller. La première année pour certain est sans doute la plus difficile. Mais je n’eus aucune difficulté à me faire entendre et respecter. Je n’étais pas le plus costaud, pas encore du moins, mais je savais être imposant lorsque nécessaire. Mon caractère confiant, manipulateur et insouciant me mena loin. Les années suivantes ne changèrent pas vraiment, mise à part que je me faisais de plus en plus d’ennemis. Heureusement, je savais aussi m’en faire. Naomie avait fini par ne plus beaucoup m’adresser la parole vu la façon dont je traitais la majorité des gens. J’étais impitoyable, je devenais peu à peu comme mon père. La dernière chose que me dit celle que j’aurais pu aimer fut : -Sauras-tu redevenir celui que j’aimais? Et elle était repartit les yeux humides, le cœur en miette. Étrangement, je ne ressentis pas l’émotion que j’aurais dû ressentir. Du moins, pas complètement. Dès ce moment, je compris que je venais de perdre la meilleure partie de moi, mais je ne cherchai pas à la rattraper comme si au fond je voulais trouver qui j’étais réellement. Voilà que j’entâme ma 7e année. Tous les jours c’est la fête, jamais je ne m’ennuis. Il y a tant de chose à vivre et je ne veux rien manquer! Tant de choses ce sont passées, tant de choses ont changées, maintenant voyons ce que cette années me réserve. Plus encore, lorsque la mort de Harry Potter fut annoncé, lorsque je revins chez mon père pour quelques jours de vacances, il sembla être animé par une folie joyeuse un petit peu trop étrange à mon goût. Que c’était-il produit au juste? En quoi cette nouvelle pouvait-elle lui apporter tant de bonheur? Le plus grand des sorciers annoncés à ce jour venait tout juste de mourir et lui il faisait la danse de la joie?! C’était à ne rien y comprendre. Quant à moi, j’étais plutôt neutre, comme à mon habitude. De toute évidence, si l’on considérait le fait que, pour lui et sa bande d’indigène, Harry Potter était une grande menace à leur plan de gouverner le monde, il était évident qu’il se réjouisse de sa disparition en ce monde. Je ne connaissais pas les gens que côtoyait mon père et je ne connaissais pas non plus les adeptes du merveilleux Harry Potter. Pourtant, mon avenir semblait déjà tout tracer, selon mon père. Il comptait m’initier à sa vie sous peu, les jours étaient sans doute compter, sinon les semaines, mais je sentais que le jour fatidique arriverait : Je deviendrais comme lui, je recevrais comme lui la marque de mon affection pour ce cruel personnage…
DERRIÈRE TON PETIT ÉCRAN
Okay, okay les peoples, peut être que vous ne me connaissez par irl, mais ig je suis une célébrité ! Et oui je suis
Nounouk ! Vous n'y croyez pas que je sois venus ici, hein ? Pour cela vous devez remercier
ma meilleure amie, Marie-France . Sinon que dois-je vous dire ? Du haut de mes
22 ans , je pense que le forum est
, espérons-le, très bien ;) . Est-ce que j'ai un autre compte compte ?
Non . Si j'accepte que le lutin de cournouaille me lance des défis ?
oui, pourquoi pas? . Et vu que je suis une superstar j'ai l'honneur de vous annoncez que
Youpibilibabou! .
icône : Google ! avatar : Alex Pettyfer titre de la musique :
Dernière édition par Jaake Jackson le Mer 14 Aoû - 0:31, édité 5 fois