Invité Invité Sujet: [Finish] .::. Niahm Z. Heysen Mar 8 Avr - 22:32 Niahm Zéphyr Heysen
« Times waits for no one »
VIDEOToutes mes salutations à vous, je me présente, Niahm Zéphyr Heysen . Je suis âgée de 16 ans. Je suis un sorcier de sang-mêlé et fier de l'être. Après tout, je ne vois pas où est le mal. Mon statut est actuellement une oscillation entre le 2 et le 3 et je suis fière de dire que je suis neutre du moins, pour le moment. Je suis actuellement en 6ième année , dans la maison des Serpentard . Plus tard j'aimerai être .. en fait, je ne sais toujours pas ce que je désire faire. Je dois être l'être le plus indécis qui soit et mon avatar est celui de Colton Haynes. Si je devais vous donner quelques unes de mes qualités et défaut, ce seraient ceux-ci que je citerai Renfermé Mystérieux Protecteur Vif Rancunier Gourmand Ne juge pas Sportif .. Ma plus grande crainte ? Et bien la dernière fois que j'ai rencontré un épouventard il s'est transformé en ma défunte mère . Vous voulez en savoir plus sur moi ? Et bien pour ça, vous allez devoir lire la suite ! .
RACONTE NOUS TON HISTOIRE
Rien ne sert de courir, il faut commencer à point. Prenons donc le temps de faire plus amples connaissances. Je ne suis pas ce que l’on peut appeler un livre ouvert et sans doute ne connaitras-tu pas tout l’étendue qu’est ma vie. Tu en sauras suffisamment pour faire naitre le mystère, mais pas assez pour en lever totalement le voile. Ma vie n’a rien à voir avec un roman à l’eau de rose ou encore à un film de suspense qui vous tiraille jusqu’à la fin. A ma mort, il n’y aura probablement pas de chanson édifier a mon honneur ou de fête à mon nom. Je passerai comme une plume sur du papier pour finalement m’essouffler à la toute fin. Qu’importe! Après tout, je n’ais jamais vu personne arriver en retard à son enterrement. Enfin bref! Débutons. Je n’ai pas réellement envie de vous racontez comment mes parents se sont racontés. De toute façon, se n’est pas leur histoire qui vous intéresse mais bien la mienne. Il faut tout de même signifier qu’ils n’étaient pas destinés être l’un à l’autre. Il était le joueur de Quidditch et elle, la fille de bonne famille. Ce n’est que quelques années après la fin de cours qu’ils commencèrent à se fréquenter. Vous connaissez sans doute la fin de cette rencontre puisque je suis là, aujourd’hui. Je ne peux pas vous affirmez tout les hauts et les bas qu’ils durent vivre, mais moi, je n’étais certainement pas fait pour être enfant unique. Avant même que je pointe le bout de mon nez, ma mère avait déjà plusieurs fausses couches a sont actif. Mes parents s’étaient sans doute fait a l’idée de ne jamais avoir d’enfant ou du moins, aucun qui n’est leur sang. Je suis sans doute le miracle qu’ils n’attendaient plus. C’est ainsi dire qu’ils avaient abandonné tout espoir et que cette grossesse serait comme toutes les autres. Je vis le jour à termes et, sans complication. À peine que mon premier son fut attendu que l’on me plaça dans une petite boite. Plus tard, ma mère m’apprit que je ne réussissais pas à garder ma chaleur corporelle. On me garda quelques jours à l’hôpital et finalement, m’envoya à la maison puisqu’il n’y avait plus rien à faire. Pas la peine de dire que j’étais l’objet fragile qu’il ne fallait surtout brusquer et sur qui toute l’attention était tournée. Je n’essais pas d’être narcissique seulement, un nouveau né attire l’attention, mais un nouveau né si longtemps attendu s’est pire. Le moindre de mes mouvements étaient une source d’émerveillement et de fascination. Je ne crois pas avoir besoin d’affirmer que je suis enfant unique et que, j’allais le rester pour très longtemps. Si seulement on pouvait prédire l’avenir, on agirait différemment et on penserait d’une toute autre façon. Bref! Il est sans doute d’une importance capitale de vous prévenir d’une chose : je n’ai jamais connu le monde des sorciers du moins, physiquement. Mon enfance toute entière s’est jouée dans le monde moldu et, je ne suis pas une mauvaise personne pour autant, du moins, je l’espère. De toute façon, j’ai apprit tout ce que je devais savoir de ce monde étrange et farfelu. Malgré tout, mes parents ne m’ont jamais caché ce que j’étais et le monde qui s’offrirait a moi plus tard. J’ai donc grandi dans la petite ville de Perth en Écosse. Je dois avouer avoir eu une enfance plutôt bien remplie. Je fis mes études dans une école privée où l’uniforme était de mise. L’avantage était que nous avions tous l’air ridicule avec notre chemise, notre veste de laine et bien sur, la petite cravate tout aux couleurs de l’école. Il ne faudrait pas oublier qu’on évitait ainsi d’être racoler dans un coin obscur. Il fallait avouer que certains pouvaient cachés leurs stupidité derrière l’apparence. Je dois avouer que je n’étais si mauvais pour les cours. En fait, j’adorais aller en classe. Une petite chose venait, à tous les jours, tâcher mon beau tableau. L’espèce de Bégin assit derrière moi en classe qui trouvait un mauvais plaisir à prendre ma tête comme cible pour ses boules de papiers humides. Pour les autres élèves et pour la pluparts de mes enseignants, j’arrivais à passer pour un fantôme. Il faut avouer que j’étais un élève plutôt discret, voilà pourquoi je ne réagissais pas aux attaques et surtout, parce que la violence ne règle généralement rien. Bref! Heureusement, je trouvais un moyen de libérer mon excédant d’énergie et de frustration à l’extérieur des classes. Bref! Pour mon père, un grand sportif, je me devais de pratiquer au moins un sport. Je n’étais pas très doué pour les sports de contact ou toutes autres activités qui me demandait de participer à plusieurs en même temps. Après quelques essais, se fut une histoire aquatique. J’adorais nager et cette sensation de glisser dans l’eau. Ce qui me valu le surnom de «poisson rouge» de la part de l’équipe. Bref! Si cela pouvait lui convenir et satisfaire son esprit sportif, j’allais le sustenter et ainsi attirer son attention. Puisque je parle de mon père, il me faut crever l’abcès. Je voulais attirer l’attention d’un père absent pour sa famille, mais toujours présent pour son travail ou pour ses amis. Les rares moments où je pouvais passer du temps avec lui, était le weekend et encore. Il avait très souvent des migraines l’obligeant à rester au lit pour se reposer. Je ne pourrais pas dire que je me suis habitué à son mode de vie, mais le temps passer avec ma mère arrivait à me contenter. Puisque le sujet à glisser vers ma mère, il me faut vous dire qu’elle est totalement différente de mon père. Elle avait un travail qui m’était flou, mais elle était toujours à la maison à mon retour des classes et surtout, elle était d’une présence réconfortante. Elle m’accompagnait a la natation même lorsqu’elle était épuisée et qu’elle aurait sans doute préférer se reposer. Si mon père était un sportif, ma mère, elle, était une intellectuelle. En échange de sa présence aux cours aquatiques, je devais participer à son club de lecture. Malgré mon indifférence pour la littérature, je fis un effort pour lire ce qu’elle me donnait, ou du moins, écouter leur de la lecture pour ensuite pouvoir discuter avec ses autres femmes. Après tout ce qu’elle fessait pour moi, il était tout à fait normal que je participe à mon tour. J’avais toujours un sourire aux lèvres lorsqu’elle disait : « Un esprit sain dans un corps sain ». Le cerveau est un muscle qu’il faut nourrir pour ne pas le voir périr. Je n’étais pas ignorant à la maladie, mais j’étais loin de croire que mon monde allait s’effondrer comme un château de carte que l’on souffle. J’ai encore un pincement au cœur alors que j’y pense. J’avais à peine dix ans quand ma vie changea du tout au tout. J’aurais préféré me cacher sous mon lit et croire que tout cela était un mauvais rêve. Ce n’est pas comme si tout était arrivé brusquement. J’aurais dû être présent et près d’elle, mais j’étais partit en claquant la porte comme à tous les jours. Mon père avait installé un lit dans le salon pour que ma mère puisse suivre la vie de la maison malgré sa maladie. Au début, elle était un peu plus fatiguée qu’à l’habitude puis, rapidement, est venu le respirateur qu’elle devait emmener partout avec elle. Ces promenades restaient à l’intérieure de la maison et n’étaient jamais bien longues. Je me souviens que lorsque je revenais de l’école, je prenais place au pied de son lit et nous bavardions de notre journée. En fait, davantage moi qu’elle. Au final, elle me donnait un coup de main pour les devoirs jusqu’à ce que mon père prenne la main. Ces moments de réveil étaient courts et de plus en plus douloureux. Ces traits s’étaient durcis et creusés avec les jours, les heures mais, je la trouvais toujours aussi belle. Je n’arrivais pas à croire qu’on me l’enlevait si tôt, trop tôt. J’aurais aimé figer le temps et la garder que pour moi, pour le restant de ma vie. J’étais partit à mon cours de natation comme à tout les samedis, à la même heure. Tout se passa très rapidement, puisqu’à mon retour, il n’y avait plus personne dans le lit. Mon père avait les yeux rougis d’avoir pleurer, mais si s’était le cas, il n’en fit rien. Avec le recule et le temps, je pense qu’il voulais me préservé. Si seulement, il savait à quel point son impassibilité m’avait blessé à l’époque. Sur le moment, je m’en voulais d’être partit sans lui dire combien je pouvais l’aimer : je lui avais si peu dit. Je croyais qu’elle m’avait été enlevée parce que je n’avais pas été un enfant parfait. J’avais ses pensées d’un enfant qui se sent responsable de tous les malheurs de la terre. Plutôt que de me réfugier dans les bras de mon père, s’est à ce moment que je me suis refermé sur moi-même gardant mes réflexions et mes émotions. Inutile de dire qu’il y avait un froid entre nous depuis ce jour. Nos conversations étaient des plus limités et concernaient habituellement les banalités de nos journées. Je lui en voulais de l’avoir effacer de nos vies aussi rapidement, moi qui avait encore besoin d’elle et de pouvoir sentir son parfum. L’enterrement avait été sobre, mais florale. Partout où l’on posait les yeux, on pouvait voir des orchidées et des lys blancs. Mon père ressemblait à un bloc de marbre alors qu’on lui offrait des condoléances. Je me rappelle m’être demander comment il pouvait être aussi froid puisque après tout, il avait aimer cette femme sans doute autant que moi. Pour ma part, j’avais préféré rester dans mon coin, les yeux rivés sur son dernier lit. Elle était si jolie ainsi coiffer et maquiller. Elle portait cette jolie robe rose pâle qu’elle adorait tellement. Oui, elle était jolie, ses cheveux auburn entourant son visage, mais je ne voulais pas rester avec cette image en oubliant les beaux jours que j’avais pu passer avec elle. Le lendemain de sa mise en terre, mon père avait fait enlever le lit et avait ranger ses affaires dans des cartons. Il avait cette idée qu’on devait effacer tout rapidement pour l’oublier. Comme un pansement qu’on enlève brusquement pour limité la douleur. Ce qu’il ignore sans doute encore, s’est qu’à la nuit tomber, j’étais descendu à la cave et que j’avais ouvert les cartons. Mes doigts glissaient sur les étoffes multicolores, alors que des larmes, dans un même mouvement, rejoignaient mes joues. Mes doigts prirent un petit fichu d’un jaune tendre et ferma les yeux en le ramenant vers mon visage. Je pliai le foulard avec minutie et le garda avec moi. J’avais une petit pochette de feutre où je rangeais les quelques billes et autres trouvailles que j’avais récupérer dans la cours de l’école. Je vidai son contenu m’assurant qu’il soit propre avant d’y glisser ce qui me restait de plus précieux. Pas la peine qu’il le sache et je ne fessais de mal à personne sauf peut-être a moi et jamais il ne pourra me le reprocher. Parce que moi, j’avais encore besoin d’elle près de moi. Sans même que je m’aperçoive du temps qui passait, je reçu la lettre pour cette école de magie qui avait fait partit de tant d’histoire. J’étais frénétique a la venu de cette journée. J’avais imaginer celle-ci un milliers de fois au moins et, de toutes les manières inimaginables. J’avais cette envie d’en connaitre davantage, mais surtout de voir le chemin de traverse de mes propres yeux. Ma mère et moi sur le chemin de traverse, imaginant les achats comme une chasse aux trésors. J’aurais eu droit à une crème glacée à la fin de la journée pour récompense. Un an déjà qu’elle était partit et pourtant, j’avais cette impression désagréable que s’était la veille. J’allais devoir me faire à l’idée qu’elle n’était plus là et que j’allais passer cette journée importante avec mon père. Malgré tout, je m’étais lever tôt et préparer pour passer la journée avec lui. Je l’avais peu vu depuis quelque temps. En fait, il était souvent absent de la maison et j’en ignorais la raison. Si j’avais décidé de me refermer sur moi-même, j’avais l’impression qu’il avait décidé de m’effacer de sa vie. Je croyais que j’étais responsable de ses malheurs et qu’il m’avait tout simplement poussé de son monde en verrouillant sa porte. Bref! J’étais prêt! J’ai attendu toute la journée sur le canapé qu’il vienne me chercher. Il est rentré tard le soir, déposant les sacs près de l’escalier. Il semblait épuiser et notre discussion fut de courte durée. Il avait dû passer par là et n’avait pas trouver nécessaire de m’emmener avec lui. Je dois avouer que je n’avais pas trouvé nécessaire de lui parler de l’importance de cette journée et que, je n’avais pas exprimé mon désir de venir avec lui. Ce soir là, il me borda avant de m’ébouriffer les cheveux. Ma première année fut celle qui me demanda le plus d’adaptation. Je n’avais plus de famille et surtout, plus de connaissance, de repère pour me diriger. Pour être franc, je ne comptais pas réellement sur mon père, mais il était présent dans son absence. Dès le début, je passai inaperçu pour les professeurs mais aussi pour la majorité des élèves. Je n’allais certainement pas me plaindre. Bien sûr, je fis quelques liens, mais rien qui puisse me rendre plus loquasse. Aux courts des années suivantes, peu de chose on changé. Je n’avais jamais été un enfant axé sur la violence et avec les ans, j’étais devenu plutôt passif aux commentaires des autres. On m'envoya dans la maison des Serpentard. Je dois avouer que je ne comprends toujours pas la raison. Qu'est-ce qu'il a bien pu voir en moi que j'ignore? Je ne vais pas vous racontez toutes mes années d’études les unes après les autres. Il n’y a rien de très passionnant là-dedans! Tant pis! Seize ans, l’année des grands changements. Je dois avouer que j’ai plutôt hâte de voir ce que l’avenir me réserve.
DERRIÈRE TON PETIT ÉCRAN
Okay, okay les peoples, peut être que vous ne me connaissez par irl, mais ig je suis une célébrité ! Et oui je suis
Nini qui voudrais un bonhomme de neige ! Vous n'y croyez pas que je sois venus ici, hein ? Pour cela vous devez remercier
une fille qui va se reconnaître . Sinon que dois-je vous dire ? Du haut de mes
24 petites lumières de Noël , je pense que le forum est
.. vous en avez pas marre de lire les mêmes commentaires? Si je suis là, s'est probablement que je l'aime bien . Est-ce que j'ai un autre compte compte ?
Non! Les double-compte sont trop compliqué pour ma petite tête de farfadet. Je laisse ça aux autres . Si j'accepte que le lutin de cournouaille me lance des défis ?
Non! Il va prendre un vilain plaisir a me ridiculiser le méchant gnome! . Et vu que je suis une superstar j'ai l'honneur de vous annoncez que
j'ai dit suffisamment de conneries pour le prochain siècle. On se revoit dans cent ans mes cocottes de pin en sucre .
icône : Bazzart avatar : Bazzart titre de la musique : Du vent, des mots // Garou
Dernière édition par Niahm Z. Heysen le Dim 13 Avr - 3:07, édité 14 fois