Ϟ Physique & Caractère.
Valérian est un homme viril, fort, orgueilleux, ambitieux et il dégage un certain magnétisme, sans le vouloir parfois et d'autre fois, il s'en sert comme d'un véritable atout. Loin d'être un manipulateur, car il se montre franc voir un peu trop. Son apparence est agréable, bien qu'il s'en soit plutôt déplu dans son enfance. Sa présence allie charme et élégance, donnant quelque chose de sécurisant. C'est une personne extrêmement strict, il ne s'agit ne de le tromper ni de l'abuser. Malheureusement pour lui, il se trouve être d'une naïveté impressionnante. Et le pardon n'entre pas dans son vocabulaire, et la vengeance est toujours d'une jouissance sadique. Œil pour œil, dent pour dent. C'est sa philosophie, jusqu’à en dépassé les limites, ce qui lui pose absolument aucun problème de conscience. Il à une vision quelques peu manichéenne. Les méchants d'un côté, les gentils de l'autre. Y a aucun juste milieu pour lui, il a tendance a mettre tous le monde dans le même sac. Ce qui le rend finalement moyennement social aux yeux d'autrui. Il est très difficile pour lui de voir un autre avis que le sien, cette tendance a toujours vouloir prouver qu'il a raison. Et bien sur, c'est rarement le cas. Son entêtement vous rendra seulement fou. Val' a un besoin d'autorité et le désir de prendre et d'assumer des responsabilités. Sa présence et sa puissance de travail le démontre. Il a besoin d'un but concret pour avancer. Superficiel sur les bords, et nombriliste, il veut être le centre du monde. Il est difficile de lui faire admettre qu'il n'est pas seul dans ce monde. Il peut se montrer vraiment stupide et arrogant, bien que dans le fond il ne soit pas si bête. Ni méchant d'ailleurs, c'est tout le contraire mais il manque terriblement d'empathie envers les autres. Maladroit, il se rend même pas compte que les paroles ou les actes peuvent faire mal. Et lorsqu'il le réalise enfin, c'est souvent un peu tard.
Un peu souvent dur, brutal, intolérant et impatient. Il estime que ce qu'il peut faire les autres le peuvent aussi. Il est perfectionniste et parfois maniaque, sa présence professionnelle et toute aussi forte. Surtout ne le vexer pas, il est d'une susceptibilité extrême, à la hauteur de son orgueil. Il fera preuve d'un grand sang-froid et d'un certain sadisme envers vous, étant trop rancunier pour se faire marcher dessus. C'est peut-être son humour moqueur et limite méchant sans le vouloir qui vous énervera. Cependant, c'est un homme sûr, généreux et moral avec ses amis. Enfant, il avait un caractère difficile. Jaloux, possessif, obstiné. Val' reconnait difficilement ses torts et a aisément l'esprit de contradiction. Toutefois, il a sa propre discipline et il est courageux. Il ne supporte pas la lâcheté.
Ses idéaux sont élevés, il n'a pas peur d'en parler à voix haute quitte à recevoir le mépris de la foule. Son enfance l'a rendu plus fort, il ne baisse pas facilement les bras, et la peur d'affronter une personne de plus fort ou de plus gradé que lui ne lui effleure même pas l'esprit.
Son arrogance et sa prétention, n'est qu'une jalousie envers les autres. Car, il n'a jamais eu ce qu'il voulait. Peu importe la situation de la personne, cela ne n'empêchera pas d'agir. Il n'est pas profondément mauvais. Au contraire, c'est plutôt quelqu'un de sensible, bien qui le cache sans arrêt prenant sur lui même. Très loin de rabaisser une personne pour son origine, son statut social...ect., il le fait par simple vengeance contre ceux qui ont la vie facile..
Physiquement et au niveau vestimentaire, Valérian est une personne très classe et élégante. Le fait de son éducation, il est toujours rester ainsi, n'étant pas du genre à se négliger ou même devenir vulgaire. Mais, dans les temps qui court vaut mieux ressembler a monsieur tout le monde, alors il s'adapte.
Val' à hériter des traits de son père, ces perles sont claires. Son regard semble vide, lointain et même sans émotion, cela lui donne un air ténébreux qu'on n'a envie de connaitre ou pas. Il a des lèvres fines, en apparence, c'est un garçon souriant ce qui lui donne encore plus de charme... Même son sourire spécial niais fait des ravages. Passons a ses cheveux maintenant. Court et Chatain clair. Il n'a rien de sa mère, a part peut-être son caractère, son élégance et son charme. Son père est grand, et sa mère n'étant pas petite, il n'a jamais eu de complexe au niveau de sa taille, dans la moyenne. Maintenant, il mesure prés voir plus d'un mètre soixante dix-huit.
Ϟ Car oui j'ai une vie.
Chapitre un : Le retour de Lorleen ~
Il ne fait aucun doute que je me suis mal engagé dans cette histoire. –Ce qui ne change pas de d’habitude- Voyant un mur immense finalement me barrer le chemin. Un cul-de-sac. Impossible de fuir. Et transplaner serait quelque chose de complètement inutile. Nous sommes le 5 juin 1999, et une fois de plus je me suis amusé de façon..très peu subtile. C’est idiot de jouer avec la vie ainsi. Surtout que mes chances de survie sont grandement réduites ces derniers temps. Au lieu de me tanner à rebrousser chemin avant que mon poursuivant me rattrape ici. J’esquive un bref sourire, en appréciant l’ironie de la chose. Le chasseur qui se fait chasser à son tour. Si le seigneur existe, il doit bien se marrer. Une chance que je n’y crois pas, malgré tout j’ai toujours contrôlé mon destin. Reprenant mon souffle, la première pensée que je vais avoir. –J’ai grand besoin d’une clope- Saleté moldu.
Cela me fera que du bien. Portant cette immondice à mes lèvres, entendant les pas de l’autre putois arrivé vers moi. Il ralenti, je murmure une formule pour faire frémir une flamme au bout de ma cigarette. Il se rapproche, baguette levée, menaçante. Il à la nuit pour lui, c’est toujours plus facile la nuit ou plus dangereux, la preuve en est. Si j’avais su, j’aurais tenté de faire les poches d’un fachiste du mage noir, un peu moins coriace. J’ai joué et j’ai perdu comme dirait Alec. Je tire ma clope avant de voir l’autre s’avancer dangereusement. Sans doute qu’il a décidé de faire sa loi lui-même ce soir, je suis qu’un pion sur son échiquier mortel. Je lève pour la première fois le regard vers le sien. Je sens ses lèvres vibrer jusqu’à ce que les mots lui sortent de la bouche. –Avad..- A vrai dire, la suite, jamais je l'entendrais. A croire qu’un abruti comme moi, ai le droit d’avoir un ange gardien. Ou pas… Tout ce dont je me souviens, c’est une lumière aveuglante qui l’a arrêté qui a fini par nous exploser en pleine face à tous les deux. J’ai une vague impression d’avoir repris connaissance après ce moment assourdissant ou j’ai embrassé le sol comme une merde.
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Le lendemain matin, j’étais loin de cette ruelle. Il faisait jour. J’ouvre les yeux sans crainte. C’est à partir de ce jour, que j’ai su que le camp des réfugiés n’était pas un mythe. Il est certain, que je me sentis beaucoup moins seul pendant un court instant. Ces personnes bien que je les connaisse pas m’ont certainement sauvé la vie. Sans doute je devrais être reconnaissant, mais c’est loin d’être dans ma nature. Je serais parti plus vite de ce monde qui déraille. C’est vrai que j’ai perdu un sens à ma vie lorsque j’ai perdu Alec. Si jamais ma vie vous intéresse, sachez qu’Alec est tout simplement mon grand frère. C’était certes un moldu, mais il avait décidé de m’accompagner à ces risques et périls. Il y a des chances pour qu’il fût aussi fou que moi. Je pourrais raconter comment les choses se sont passés mais à vrai dire je préfère ne pas y penser.
J’aurais pu rester ici, la sécurité c’est ce que cherchent les personnes dans ma situation. Je n’ai pas envie de faire partie du monde qui se crée. Mais, je n’ai pas envie non plus de me cacher éternellement dans un trou à rat comme un lâche. Comme je l’ai dit, je ne crois pas au destin, cependant je dois avouer pour une fois, que le destin m’a fait un signe. Un signe qui allait me décidé à partir d’ici sans prouver ma reconnaissance à mes sauveteurs. L’ange que j’ai dû attendre toute ma vie. Une jeune femme d’apparence chétive, des longs cheveux bruns qui ondulent sur sa poitrine. C’était pas n’importe qui, ce n’était pas une fille au hasard sur lequel j’aurais posé mon regard. C’est elle, ..
Valérian - « Lorleen… ».
Chapitre deux : Une histoire qui pourrait être banale ~
Lorleen… Quel étrange dessein de la retrouver ici. Au milieu de je ne sais trop ou. Le camp des né-moldus si bien protégé de tout. A mille lieux de notre première rencontre. Une longue histoire, très longue histoire. Je ne sais si elle m’a pardonné… Aussi loin que remonte mes souvenirs, elle voulait m'arraché les yeux. Et moi, ce que je voulais, c’est être avec elle. Je l’observe, restant dans ce lit. Me redressant, petit à petit pour mieux la voir. Elle semble aider les personnes de ce camp. Lorleen a toujours était beaucoup plus extraverti que moi. Gentille et généreuse. En réalité complètement mon opposé. J’avais sans doute de la crainte sur mon visage depuis la première fois depuis longtemps. Je crains moins l’extérieur, que de revoir son visage empli de haine à mon encontre. Je me décide à me relever, j’ai besoin de lui parler, de lui dire aussi pour Alec. Me rendant pas vraiment compte que le choc ne me permettait pas d’être tout de suite sur pieds. Alors, que je m’apprête à embrasser encore le sol comme le dernier des idiots. Elle se précipite me rattrapant de justesse. Comme dans un moment fatidique, je relève doucement le regard vers elle. Aucune colère, aucune rancœur n’apparait dans ses yeux. Elle avait l’air plutôt triste et désemparée. Bien qu’un sourire doux se forme en douceur sur le bout de ses lèvres. Avant de me serrer contre elle. La première chose qu’elle me dit : «Pardon Ynzo… ».
Les choses changent, j’en suis moi-même un peu perdu. Sans doute qu’il faille un début à cette histoire. Sans même cette pression politique, les événements étaient déjà complexes. Pour moi, Lorleen, et aussi Alec. Bien que ce dernier, avait un amour du risque encore plus démesuré que le mien. Et il est mort par ma faute, je l’ai emmené dans ce monde pourri. Lui, un simple moldu ou presque, car rien était vraiment simple avec lui. Je disais donc, le début de cette histoire commence à mille lieux d’ici. Dans mon pays natal –du moins je pense, les choses sont compliqués- en Bulgarie. Dans une ferme près de Sofia. J’ai vécu toute mon enfance là-bas avant de me rendre dans une école de sorcellerie. J’aimais l’époque où j’ignorer encore tout de ce que j’étais. Je n’en veux pas aux sorciers, mais je préférais ma vie moldue, enfin au début. Dans cette vieille ferme, je vivais avec mon frère de cinq ans de plus, Alec. Ainsi qu’un vieux bonhomme que l’on nommait tous deux –Grand père- Il était comme notre père, c’est lui qui s’est occupé de nous bien qu’un de nous en réalité sommes du même sang. Cet homme se nomme en réalité Einri Petrov, mais sans doute un pseudo pour éviter qu’on le retrouve. Car effectivement, ce moldu n’est qu’un vieil enfoiré, un criminel à vrai dire. Il a arrêté sa profession et il est venu s’installer discrètement ici. Je sais qu’il venait de Russie, mais sinon avec Alec on a jamais su grand-chose à part qu’on lui doit la vie. Einri est l’un de ces meurtriers qu’on paie pour massacrer des inconnus contre des lourdes sommes d’argent. –Un tueur à gage- Alec et moi on est simplement, deux pauvres gamins qu’il a enlevé à l’une de ses familles qu’il a massacré. De famille différente. Sans doute de Russie, mais qu’importe. Ce vieux dingue ne nous l’a jamais caché, il à penser égoïstement a son épouse. Pauvre femme vivant sous son gourou qui n’a jamais eu d’enfant. Est-ce qu’il aurait été sage d’en vouloir à Einri ? Alec lui s’en souviens de sa famille de sang, et il semblait ne rien regretter. Jamais je ne l’ai entendu dire le contraire. Il disait –Ce vieux con nous donne une chance d’être véritablement libre de cette société de merde-. Pour ma part, j’ai aucun souvenir de comment pouvait être ma véritable famille. Je crois que j’étais trop jeune pour en avoir une idée précise.
Alec est devenu mon frère de sang peu importe que cela ne soit que entre nous. Pour nous c’était le cas, et cela le restera. Einri vit de sa fortune qu’il a amassé de ces crimes. Pourtant il vivait de façon bien en dessous, sans doute pour ne pas attirer l’attention. Puis, il prenait plaisir à enseigner à moi et Alec l’art de la chasse et la traque. On vivait à part du monde, comme dans une bulle. On n’allait même pas l’école, découvrir comment est le reste du monde. Einri le refusait. Son épouse Anita nous enseigner le minimum à savoir. On vécut moi et Alec dans une prison plaisante pour rien au monde on serait parti. Le plaisir du meurtre envers les animaux. Le vieil homme extrémiste, nous éduqua aussi de façon à détester la plupart de nos semblables.
Cependant, en grandissant, avec Alec on avait la fâcheuse tendance à désobéir. Étant plus grand, on pouvait chasser tous seuls, entre frères. Et a s’éloigné des terres d’Einri. Un jour, on découvrit cette ferme plus pauvre que la nôtre ou vit cette famille. Celle de cette fille Lorleen…
Chapitre trois : La fin d'une famille ~
C’est ainsi qu’on s’est rencontrés la première fois avec Lorleen. Je voulais jouer les durs comme mon grand frère, mais j’avoue que je voulais connaitre cette gamine du même âge que le mien. Pendant qu’Alec part à la chasse, moi je passe mon temps avec elle. Liant une forte amitié avec la jeune fille. Alec m’avait promis de rien dire à Einri. Il n’apprécierait pas qu’on se lie à d’autres personnes. Le vieux tente de nous élever à son image, sans sentiments, juste la mort qui frémit autour de nous. C’est une vie bien étrange. Avec Alec on avait tendance à penser qu’il avait de projet bien plus grand que la chasse animale. J’étais encore un enfant d’à peine dix ans. Et je dois dire ces choses m’avaient l’air bien futiles. Sans me rendre compte que ces choses pouvaient devenir malsaines, pour nous c’était qu’un jeu.
Mes rencontres avec Lorleen furent de plus en plus fréquentes. Elle allait à l’école, et n’avait pas beaucoup d’amis à cause de sa famille que tout le monde rejette. Son père un alcoolique, un homme violent avec les autres et sa famille. Elle me disait qu’il me tuerait s’il savait. Et je lui disais fièrement que j’avais peur de rien. Lorleen malgré tout m’appris à avoir de l’empathie bien que je reste assez borné sur les bords. C’est une personne spéciale pour moi. J’avais toujours envie de la voir. Alec fini par me faire violence sinon Einri l’aurait découvert. Ma petite idylle se terminera au moment où s’est le père de Lorleen qui découvrit notre relation innocente et secrète. Fou de rage, il m’a chassé et emmener sa fille par la force, jurant de me tuer si je remets les pieds ici. Cependant, quelques jours plus tard, je suis revenu lorsqu’il n’était pas là. Et je découvris le calvaire de mon amie. Ce barbare l’a faisait souffrir, il l’a frappait. Lorleen me dit que je devais partir, rejoindre mon frère et ne plus jamais revenir. Ce que je fis à regret. Finalement, je reparti à la chasse avec mon frère. Une idée me vient à l’esprit. Et Alec fut d’accord pour m’aider. C’est ainsi que joyeusement, on se permit de fumer une clope qu’on avait soigneusement emprunté à notre grand père. Avant de nous mettre en chemin à travers le bois qui nous sépare de l’autre ferme. Armes à la main. Se mettant en poste près de la maison de Lorleen. Je fis un de ses trucs bizarre ou plutôt paranormal, dont j’avais partagé le secret avec mon frère. Fracassant la porte de la ferme par simple pensé ou désir, je savais pas trop comment cela marche. Et là, ce fut le carnage, fusils chauffant leurs canons. L’alcoolique se retrouve rapidement à terre percer comme une passoire ou presque. Moi qui m’attendait a trouver la reconnaissance de Lorleen pour l’avoir sauvée de son bourreau. Ce fut tout le contraire. Moi et Alec, on récoltera la police. Et j’avais gagné la haine de Lorleen qui me détester à présent plus que tout.
A cause de nous, de notre imprudence, de notre stupidité. Einri allait être arrêté. Cependant, j’appris plus tard qu’il s’est tué avec son épouse afin qu’on ne l’attrape jamais vivant. Faisant de nous définitivement des orphelins. Je me sentais responsable, c’était mon idée. La seule chose que je ne regretter pas c’était d’avoir mis à terre un enfoiré.
On fut séparés Alec et moi, et j’étais loin de me douter à ce moment-là que je n’allais pas le revoir avant très longtemps. Condamné comme des majeurs et enfermés dans des lieux différents. Alec avait raison avant on avait la liberté, et je l’ai gachée…
Chapitre quatre : Quand le Loup devient Agneau ~
La vie sans Lorleen, et surtout sans Alec. Je me sentais vide et perdu sans mon frère. Il me faisait souvent violence, ce n’est pas un agneau bien au contraire. Il s’était pas passé un jour ou il ne m’insulte ou ne me rabaisse. Sans parler de ses épreuves qui aurait pu mettre plusieurs fois fatales. Comme celle où il s’est amusé à m’enterrer vivant pour voir si j’allais en sortir. Que ce soit dingue, plus il me martyrise plus je m’en sortais. Et maintenant qu’il est pu là, je m’ennuie. J’ai l’impression de périr petit à petit. Il me disait toujours de ne pas faire ma mauviette à me morfondre. Justement ce que je fais petit à petit que les jours passent. Les autres ne s’approche pas trop de moi, sans doute qu’ils ont peur que quelque chose leurs pètent à la gueule ou les enflamment s’ils viennent me trouvé. Je ne sais pas pourquoi ces choses se produisent, je sais juste que je suis en colère. Au bout d’un an, j’étais seul, je pouvais pu compter sur Alec. J’aurais aucune chance de le revoir avant quelques années, le temps de sortir de cette maison de correction, j’aurais le droit à la case prison une fois que je serais majeur, peut-être qu’avec un peu de chance on se retrouvera au même endroit. Mais j’en doutais. Alec est une bête sauvage, ils lui feront pas de faveur. De plus, j’allais faire une rencontre qui allait changer une nouvelle fois ma vie. Un homme est venu me voir, un homme un peu bizarre. Il me fit des révélations sur ce que j’étais vraiment. Bien évidemment, je ne l’ai pas cru… C’était une méthode pour me faire devenir fou ? Pas très subtile.
Après, il me parla de son monde, soit disant magique. Et des ‘accidents’ que j’ai pu répéter dans cette taule. Il semblait savoir de quoi il parlait. Mais, j’avais le monde contre moi, je pensais que c’était une méthode louche pour m’interner. Finalement, il me donna le choix de venir avec lui pour rejoindre le monde auquel j’appartiens vraiment ou rester ici, bête et ignare. J’avoue avoir hésité, si je pars est ce que je reverrais Alec un jour ? Et à ma place qu’est-ce qu’il ferait lui ? Une chance de sortir de la captivité… Mon choix était fait, j’allais encore suivre un vieux papy qui a certainement craqué son string en rêvant de merlin l’enchanteur une nuit.
Et pourtant, papy n’était pas fou. Je m’en rendis compte quelques jours plus tard. Cette école de magie existe bien, cet autre monde existe bel et bien. C’était vraiment un songe étrange. Durmstrang devient ma nouvelle demeure. La première semaine la bas, je fus une découverte…Lorleen. Elle était ici aussi, dans cette école, alors elle aussi une… Elle est comme moi. Malheureusement, elle refusera toujours de m’adresser la parole, à part pour me dire qu’elle allait m’arracher les yeux et le cœur avant de les donner à dévorer a un dragon. Je décidais alors, de faire ma vie ici sans elle. Je ne risquais pas de retrouver son amitié, jamais elle me pardonnera. Au fond, je voulais juste l’aider, c’était une erreur… Maintenant, que je suis ici, j’avais peur d’oublier Alec. Je ne pouvais pas partir d’ici, ou je retournerais en prison, rentrer dans les ordres suivre les cours, c’est le deal.
Finalement je me suis attelé à la tâche. Me trouvant finalement une certaine passion pour les cours de sortilège et les potions, et au contraire un certain mépris pour tout ce qui est métamorphose. Le plus plaisant pour un type comme moi qui court après la liberté sans doute le vol sur un balai. J’ai vraiment eu du mal à m’habitué au début, mais finalement ce n’était pas si compliqué. Les choses changèrent, je comprenais ce que Lorleen appelé des amis. Me montrant moins solitaire, me liant avec certaines personnes autres que mon frère pour la première fois. C’est différent, mais Alec restera mon frère et mon meilleur ami quoiqu’il arrive. Les années passèrent, et je pense qu’au moment où l’on se retrouvera enfin sans savoir si c’était possible. Lors de ma quatrième année. Le vieil homme m’avait convoqué, celui avec qui j’ai fait un deal. Il me confia, que si je ne voulais pas retourner en cage dans le monde moldu, il fallait que je trouve ma voie dans le monde magique. Sinon il me renverrait là-bas. Sans doute qu’il se pense investi d’une mission, aider un pauvre débile d’enfant de moldu c’est bon pour son karma. Mwais. Je n’avais pas vraiment envie de sa pitié. Mais, je n’avais pas tellement le choix. Je devais jouer le jeu, prendre parti de ce nouveau monde pour en tirer avantage et peut être finir libre. Ce vieux sorcier était pas stupide, c’est pour ça que j’appliquerais tous ces conseils dans l’avenir. Je me sentais comme un agneau obéissant, si Alec était là sans doute qu’il me tabasserait de ma stupidité. Il rirait bien, autant que je ris de moi-même. Cependant Alec ne fait pas le poids contre la magie, les moldus sont impuissants. Même si pour moi, il reste quelqu’un de très fort.
Chapitre cinq : Retrouvailles ~
Voilà, déjà quelques années que j’ai laissé Durmstrang derrière moi. Nous sommes le 22 février 1995, je vais revoir pour la première fois Alec après tout ce temps. J’ai fait tout ce que les sorciers ont voulu diplômé de leur établissement, j’ai continué à travailler. Mais, pour cela j’ai dû partir en Angleterre continuer les études pour devenir guérisseur à St mangouste. J’étais quand même surveillé par un contrôleur. Si je dérape, je finirais ma peine comme mon frère. Seulement ce n’est pas arrivé. J’avais arrêté ces conneries de chasse, j’ai fait ce qu’on m’a appris pendant ces années. Me taire et attendre le retour de mon frère. Ce matin je suis sur le sol bulgare. Après douze ans de séparation, me voilà devant les murs qui retiennent mon frère. Alec a fini sa peine, par conséquence moi aussi. Je serais enfin plus surveiller. J’avais hâte de raconter tout ce qui m’était arrivé durant tout ce temps. Bien que le sorcier m’a affirmé que ce n’était pas bon de parler du monde magique aux moldus. Alec n’est pas un moldu pour moi, je n’ai pas de secret pour lui. La première chose qu’on a fait lui et moi après être retourné près de notre vieille ferme. C’est se battre à main nues, violemment sans magie ni pitié. Jusqu’à ce que l’un de nous perdre, c’est-à-dire que c’est lui qui a gagné… Comme toujours !
Après ces retrouvailles chaleureuses, je lui conte ce qui y a à raconter. Essayant tout de même de pas trop me dévalorisé. Alec me dit que j’aurais mieux fait de ne pas accepter. Je compris aisément qu’il avait de la haine envers les sorciers à ce moment-là. Sans doute que je le devrais aussi, mais pour une fois je n’étais pas tellement d’accord avec mon frère. Quoiqu’il en soit, on était content de repartir comme avant. On se décide à partir ensembles en Angleterre pour un nouveau départ. Très vite j’ai délaissé St Mangouste, abandonnant tout, influencé par Alec. Vivre l’aventure et la liberté comme dans les idéaux d’Einri. Maintenant, tous les deux adultes les choses sont bien différentes.
On est partis vivre en écosse sur un terrain payer par la fortune de Einri. Ce vieux con avait pris soin de cacher son argent dans différent pays afin que personne ne mettent la main dessus. Chose qu’il n’avait pas cacher a ses fils. Il avait raison de nous faire confiance pour cela. Avec Alec, on a commencé à braconner. Puis, après les créatures moldues, j’ai décidé d’ouvrir la voie a Alec a quelque chose de beaucoup plus intéressant. Le trafic d’animaux magiques, la chasse était devenue beaucoup plus plaisante, dangereuse et jouissive. Alec adorait. Et notre affaire finie par bien tournée.
Il est vrai qu’on se préoccupe peu du monde extérieur, mais il fut un moment où je fus bien obliger lorsque la politique changea du tout au tout. Sur cette ile j’avais abandonné le prénom de Ynzo pour Valérian, mais cela n’allait pas être trop compliqué de vérifié que je suis né-moldu. Avec Alec, on entreprit un voyage, un voyage qui allait mal terminé…
Chapitre six : Alec, mon frère, mon meilleur ami ~
Afin d’échapper au contrôle de Voldemort et la surveillance de ses soldats. Avec Alec on entreprit de jamais rester très longtemps au même endroit, voyageant plutôt dans des lieux moldus. Bien que je m’aventure parfois dans des lieux surveillés quand je suis à cours d’ingrédient pour des potions qui me sont bien utiles. Et puis, ce n’était pas très compliqué de se faire passer pour un adorateur du système près des commerçants s’ils commencent à te taper la causette.
Avec Alec on avait décidé de profiter de ce système de façon aussi à nous amuser. Un nouveau commerce a vu le jour, assez lucratif pour nous. Le trafic de sang de vampire. C’est bien plaisant de chasser ses morts vivant adorateur de sang. Avec Alec on était bien d’accord, ces créatures viennent du démon, elles n’ont rien à faire sur terre. Alors, on s’est chargé d’une mission, exterminé ses immondices. C’est ainsi que commença la meilleure chasse qu’Alec et moi aillons fait. Et qui sait on se fera peut-être un nom dans la traque aux vampires. Au départ, on se plaisait à les prendre un par un, histoire qu’on reste les chasseurs. Mine de rien ce ne sont pas des créatures simples à attraper, elles peuvent très bien se retourner contre vous. Une fois qu’on en tient un, on enchaine son corps de chaines en argent contre lesquelles ils ne peuvent rien faire. Les vidant ensuite de leur sang sans état d’âmes. Soit on les laisse crever une fois qu’on les a bien vidés ou bien on s’amuse a les enchainés devant des demeures d’adorateurs de voldemort. Une fois que le soleil se lève ils crament, c’est juste marrant à voir.
Pendant pratiquement un an on à jouer a ce petit jeu, sans soucis. Jusqu’au jour où la chance tourne. On s’est montré insouciant. On n’a pas fait preuve de prudence. Et un soir, on s’est fait avoir par ces immondices. Couchant dans un pub dans un village qui semble plutôt tranquille et sans danger. Ils ont profités qu’on soit endormi pour m’enlever Alec. Et ce fut la fin de tout, j’étais devenu comme fou. Ils ont kidnapper mon frère. Alec allait finir comme infusion pour mort vivant si je ne le retrouve pas dans l’immédiat. J’ai passé le village au peigne fin. Faisant violence certainement à des personnes innocentes. Je ne faisais pas vraiment la différence entre tous ces gens, je les connais pas, ils sont pour moi tous comme des ennemis. Un jeune garçon m’avoua qu’il s’était déjà rendu chez les vampires. Ils étaient quelques-uns dans ce village a se servir des moldus comme déjeuner. J’étais dégouté d’apprendre que ce jeune moldu se porter volontaire pour subir ça. Sans attendre, la fin de cette nuit-là, me précipitant vers les lieux. Jurant de sortir Alec de là.
J’avais chargé mon arme et celle d’Alec de balles en argent de quoi calmer ces créatures avant de les détruire de la surface de la terre. Lorsque que j’ai pénétré l’enceinte de leur repaire, ce fus un carnage de tirs. J’étais comme fou, sauvage. Ils avaient osés toucher à ma famille. Je voulais les faire souffrir. Ce ne fut pas évident, j’étais seul contre tous, mais ils étaient que deux, je pu finalement les avoir. Profitant qu’ils soient blessés pour les enchainés comme d’autres avant eux. Mais, c’était trop tard pour Alec… Je ne préférais pas voir ça ! Ce n’est pas une mort digne de lui.
Je pris même pas la peine de prendre le sang de ces immondices. Je mis simplement le feu à leur repaire. Laissant le corps de mon défunt frère cramer avec eux. J’admire le feu dévoré tout sur son passage. De mon point de vue de l’extérieur. Je suis de nouveau seul… Je pensais que tout était fini, mais je me tromper, tous les vampires ne sont pas morts. L’un d’eux n’était pas à l’intérieur, il venait d’arrivé trop tard pour ses congénères comme moi je suis arrivé tard pour Alec. J’étais prêt à l’accueillir, bien qu’encore désemparé par la disparition d’Alec. Cependant, l’immondice ne m’attaquera pas. Il était fou de haine de ce que j’avais fait. Il me dit seulement son nom, et aussi qu’au moment où je m’attendrais le moins, il se vengerait… Et jamais pu je ne vis cet infâme immondice.
Chapitre sept : Lorleen, mon amour ~
Le pardon de Lorleen, je la retrouve au moment où je perds mon frère. Elle le sait peut-être, c’est pour ça qu’elle décide me pardonner ? Après dix-huit ans de séparation, d’insultes et de haine. C’est aussi simple que ça ? Après mon départ de la taverne des immondices, je suis parti très loin pas part peur que l’autre vampire me fasse la peau comme il a promis. Je voulais me faire une raison, Alec ne pouvait pas être mort. J’ai toujours vécu avec lui, toujours… Je me suis attaqué aux biens des adorateurs de voldemort. J’ai même brulé une des maisons. Je ne sais pas vraiment pourquoi… J’ai de la haine envers ses gens. Je crois que c’est ça, ils font des manières pour du sang alors que je viens de perdre mon frère. J’ai envie de tous les cramer point final… Je me fichais bien de connaitre leur véritable idéologie. J’étais tellement en colère. J’ai détruit, massacré, tué… Sans doute en croisant le regard de Lorleen, je me suis souvenu la différence entre le bien et le mal. Et que je suis passé violemment de l’autre côté de la barrière. Je ne suis pas quelqu’un de méchant, je m’en prends habituellement aux personnes malfaisantes même si mes manières dégouterons les saint héros. Cette fois j’ai fait aucune différence, et j’ai quand même ou le droit d’être sauvé… Finalement, je suis peut-être mauvais, sans m’en rendre compte. La différence entre moi et les autres c’est que je sais que je ne veux pas l’être volontairement.
Je me redresse avec l’aide de Lorleen. Elle me dit qu’avant tout ça elle est devenue guérisseuse, et que maintenant elle aide le camp des réfugiés avec les moyens qu’elle connait. Rajoutant qu’elle est désolée pour Alec, et pour le passé. Elle voulut me faire promette d’arrêter de me comporter comme ça ou j’allais finir par crever aussi. Je préférais ne rien dire que lui mentir. Il me reste encore un vampire a massacré pour Alec. Je restais quelques semaines ici avant d’être rétabli, sans trop d’effort j’ai réussi à convaincre Lorleen de partir avec moi. Avec elle, j’en ai fini de la chasse. Pour elle, j’ai arrêté mes délires, mes massacres… Je n’ai pas l’habitude de ce genre de sentiments, je ne suis qu’un animal sans réelle éducation civilisée. Cependant elle, je l’aime…
Je voulais la sortir de cette ile, tout comme moi c’est une né-moldue, jamais elle aura sa place dans cet univers. Mais, vouloir partir serait stupide car impossible. Les frontières sont bien trop surveillées. Personne ne le peut. En attendant, je me contente de vivre cacher avec elle. Jouer au chat et à la souris avec les adorateurs de voldemort. Volant pour vivre. Les mois passent, l’année aussi, et les mois suivant… J’étais dans un autre univers avec Lorleen, je rêve de rester avec elle à jamais. Elle m’a appris deux mois plutôt qu’elle était enceinte. Quelque part j’étais content, mais de l’autre, les choses allaient devenir compliquées.
Chapitre huit : La fin d'une histoire, le début d'une autre.. ~
Sans doute que j’étais devenu trop laxiste. Je me voyais pour toujours, moi, Lorleen et notre futur enfant. La mort d’Alec ne m’aura pas servi de leçon. Le pire est à venir, et je ne me doutais pas que ce jour serait demain…
Alors, que j’ai quitté ma douce pour faire quelques ‘courses’, j’étais loin de me douter que c’était le dernier ‘je t’aime’ que je lui donnerais. Le dernier baiser, le dernier regard, le dernier..souffle. Lorsque je fus de retour, j’ai eu beau appelé son prénom sans succès. M’inquiétant au fur et à mesure des secondes, je me précipite dans les pièces de ce taudis. Je m’immobilise dans la chambre, la voyant là allongée, inerte. Craignant le pire. Je me rapproche doucement, remarquant du sang sur son haut, puis sur ses lèvres et autour de sa bouche. Elle semblait paisiblement endormie, mais c’est un sommeil sans retour. J’observe les marques violentes autour de son cou. Une ombre se redresse derrière moi. Je lui fis face. Le chasseur que je suis ne l’avait pas remarqué, c’était ce vampire qui m’avait juré vengeance. Il dit dans un murmure, qu’il m’avait prévenu, et qu’il a brisé la nuque de Lorleen.
Je sens mon corps trembler, ce n’est pas de la peur, mais une haine profonde qui demande qu’à éclater. Comment cet immondice avait osé toucher la pureté de Lorleen ! J’ai été trop souple avec ces congénères lorsqu’ils ont massacré mon frère. L’animal en moi à soif de sang bien plus que cette créature n’en n’aura jamais eu envie dans toute sa vie ou mort…qu’importe ! A ce moment-là, je me foutais bien qu’il ait plus de force que moi, j’allais lui sauter dessus. Mais, la voix de Lorleen me stoppe. Elle s’est redressée. J’avais peur pour la première fois de ma vie de voir ce que je crois. Cet enfoiré n’a pas osé faire ça… La pire chose au monde, transformée ma princesse. Il pourrait crever pour ça, et pourtant c’est vrai. Elle est devenue une immondice… Elle m’a demandé de la rejoindre que je n’avais pas à la craindre, mais qu’elle est désolé d’avoir perdu notre enfant du fait de sa transformation. Qu’elle m’aimait toujours…
Pour moi, Lorleen est morte, et cette créature ne sera jamais elle. C’est ainsi, que j’ai pris le revolver armé de balles en argent que je n’avais pas utilisé depuis la mort d’Alec, la pointant sur elle. Je voulais vraiment la faire disparaitre comme tous les autres immondices. Mais, j’en fus incapable. Je ne pu lui dire que des mots de haine en jurant la mort de la race des immondices. J’étais toujours incapable de lui tirer dessus. Restant immobile. Certainement en état de choc comme je l’ai jamais été. La laissant partir avec cet être abominable sans rien faire…
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Me voilà, reparti sur les routes d’Angleterre. Sans Alec, sans Lorleen. Seulement moi, seul comme je l’ai jamais été. Je voudrais poursuivre Lorleen et l’autre immondice. Les détruire car ils n’ont rien d’humains. Je continuerais à chasser leur race avec rage même si cela doit me perdre. Je dois réparer mes erreurs… Si j’étais resté au camp comme le voulait Lorleen de son vivant, rien de ceci ne serait arrivé. Et pour une fois je me battrais pour une bonne cause, au lieu de tuer tous ceux que j’aime…
J'ai mis une année entière avant de retrouvé la trace de Lorleen. Elle n'avait que haine et dégoût pour moi. Je pouvais pas lui en vouloir, elle est devenue un monstre par ma faute. Je savais pas si j'étais capable de la tuer, j'ai plonger dans la tuerie et la torture des vampires durant un an pour être capable d'en faire de même avec elle. Mais, encore une fois, elle su m'offrir un regard qui me stoppe. Je pouvais pas le nier, malgré que ce soit une immondice, je l'aime toujours.
Ces mots furent durs et froids. Lorleen ne s'attaque pas a moi, au lieu de cela. Elle me raconte. Tout ce qui s'est passé depuis que je l'ai laisser tombé. Comment elle a su tuer le vampire qui l'a transformé, après des mois de torturé ou il l'a abusé et prise pour un objet. Mais sa vengeance ultime sera quand je serait mort. Elle voulait me faire subir ce que je redoute le plus, me transformé moi aussi, que je me déteste moi même. C'est avec un humour morbide qu'elle avait ajouté qu'elle m'aiderait a me suicider une fois que je serais un vampire... C'est ainsi que les choses devaient se terminé. J'ai du me défendre puis me battre contre celle que j'aimais..ou plutôt que j'aime. Elle souffrait mais je voulais pas comprendre, c'est une vampire je voulait pas admettre qu'elle ne soit pas un monstre. Le résultat fut un pieu dans son coeur, avant de mourir elle avait prononce le prénom de mon frère sans avoir le temps de finir... Je ne sais toujours pas ce qu'elle voulait me dire... Cela ne devait pas avoir tant d'importance Alec et elle sont mort.. Je n'ai plus personne...