Ϟ NOM : VandenBergh signant les origines belges de son paternel. Mais, a vrai dire, il n'a pas connu ce pays, seulement l'irlande et l’Angleterre depuis des années. Ϟ PRENOM : Joann comme le fut un être cher connu par son père. Il n'a jamais vraiment su c'était, mais son père a tenu tête a sa femme pour que les choses soit ainsi. Elle n'eu que le plaisir de choisir un second prénom qui n'est guère mieux, en hommage a ses aïeuls. Ϟ AGE : 33 ans d'erreurs et de regrets, l'avenir n'en sera pas des meilleurs. Ϟ IDEOLOGIE :Anti voldemort extrémiste Ϟ MAISON : Ancien Serpentard Ϟ METIER/POSTE : Ex médicomage, ayant prit retraite anticipé. C'était pourtant son ticket de secours pour racheter ses fautes. Il voulait aider les autres seulement pour soulager son âme de poids bien trop lourd. Ϟ CARACTERE :
Ϟ RACE :Sorcier Ϟ SANG :Sang-mêlé Ϟ BAGUETTE MAGIQUE : Bois de cerisier, 23.2 cms, crin de licorne Ϟ DEMEURE : Dans le manoir de mon frère jumeau situé en Irlande. Ϟ EPOUVENTARD : Perdre sa fille Ϟ NIVEAU DE FIDÉLITÉ :Niveau 3 Ϟ AVATAR :Ian Somerhalder
Ϟ Physique & Caractère.
Derrière cette petite tête brune presque angélique, on n’imaginait pas encore ce que ce garçon pourrait devenir. Il a rêvé de pouvoir, de magie, la puissance de dominer le monde. Bien sur ce que des histoires que l’on se raconte, haïr le monde, ce n’était pas pour lui finalement. Sous ce sourire vaniteux, il avait fini par prendre en empathie avec les années. L’amour plus fort que la haine va savoir, les gens changent, y a bien une raison. Quelle que soit la sienne, il n’est pas prêt à ouvrir son cœur. Disons..que c’est trop douloureux. Son humanité est sans doute sa plus grande faiblesse, à présent il se garde bien de la montrer. Pourtant sa réelle ambition maintenant, c’est de se battre pour les oppressés… Ironie sans doute !
Jo a trop prit de ce qu’on a pu lui donner, plus ce qu’il en fallait. Les opportunités de faire le bien, il en a eu des dizaines, il n’a pas toujours saisi l’instant. Pas par manque de vaillance ou quoique ce soit d’autres conneries, il n’a pas envie d’être une personne de bien. Jouer les héros très peu pour lui. Ses actes ne sont pas pour les autres, mais bien pour lui-même. Y a que de l’égoïsme profond dans sa générosité. Il sauvera le monde peut-être, mais rien que pour lui, pour les choses et personnes auquel il tient, et surtout pour soulager sa conscience. Il ne faut pas vraiment se fier à lui, s’il veut obtenir quelque chose il est prêt à trahir n’importe qui. Comme je l’ai dit, il est égoïste et aussi imbu de lui-même, seul sa personne compte et ses proches comme sa fille. Le reste n’est qu’éphémère. Quoiqu’il en soit même s’il devient votre meilleur ami, vous resterez une carte de secours dans son jeu… Et oui, son monde est sauvage et cruel. Assez égocentrique et vaniteux pour jouer à une double identité. Etre un homme qu’il n’est pas jusqu’à le confondre a sa véritable personnalité. Parfois, on se demande même s’il joue ou non… Il devient dangereux à être sur deux tableaux. Et pourtant dans son esprit son camps est clair et précis, il ne compte certainement pas en changer. Il applique les méthodes de ces adversaires comme s’il était d’accord avec ce fait, et sait très bien exprimer leurs idées sans que cela paraisse suspect. Oui, dans l’illusion sa personnalité s’est décalqué dans son rôle, mais dans la réalité il reste bien le même.
Malgré un certain optimiste dans le pire des mondes, il a une grande part sombre, empli de haine et surtout de vengeance. Son plus grand défaut est sans doute d’être rancunier. La moindre broutille peut se transformer en guerre nucléaire. Bien qu’il faille savoir, que Joann ne fait pas de reproche. Il attend, encore, et encore..puis il se venge. Souvent de façon démesurée. Faite quelque chose de grave et je n’aimerais pas être vous…
Tentez de vous lier à lui, à travers son rôle c’est toujours possible. Mais en réalité, il est bloqué… Il donne du crédit à personne, sa confiance est une chose rare. Il compte que sur lui-même depuis des années, et cela sera difficile de le faire changer. Plutôt têtu et borné. Il change rarement d’avis, ou d’idée. A vrai dire jamais. Pragmatique, on peut dire qu’il est de la vieille école. Etre que comme Aidan le dérobe totalement de ces manières. Le jeune homme a une vision plutôt manichéenne, la vie est très simple, il y a d'un côté les méchants et de l'autre gentils. Dans ce cas, il considère qu'il fait partie des derniers, alors, il doit faire mal aux premiers. C'est la règle d'or! Qu'il s'accorde comme une forme de justice...
Il peut être aussi une personne agréable et attentionné lorsqu’on capable d’en venir jusque-là avec lui. Il ne fait pas les choses à moitié lorsqu’il est proche véritablement et sincèrement pour une personne. Jo a fait beaucoup de sacrifice dans sa vie, il est capable d’en faire beaucoup encore pour ceux qu’il veut protéger. Malgré son humour cynique, il ne faut pas le prendre au premier degré. Jo pense toujours avoir juste même lorsqu’il a tort. Reconnaitre ses erreurs est une preuve de faiblesse, jamais il s’excusera ou reconnaitra qu’il s’est trompé. Bien qu’il lui arrive dans ses actes de former une excuse qui reste gestuelle, il ne le dira pas ouvertement. Bien qu’il apprenne à se contrôler, c’est un homme plutôt susceptible et aussi impulsif. Ce qui pourrait l’induire en erreur si on le pousse de trop. Plutôt froid et hypocrite, son orgueil est démesuré. Quoiqu’il arrive, il se sent souvent très supérieur aux autres bien qu’il ne le montre pas. Il est aussi possessif, jaloux et obstiné.
Ϟ Car oui j'ai une vie.
Chapitre un : Le passé qu'on souhaite oublié..
Les enfants crient et courent sur le sol bétonné. Joyeux profitant de ce moment de répit et du beau temps. Je reste seulement étranger à tout ça. Est-ce un bien ou un mal ? Je me sens différent, et même privilégier. Je n’ai pas envie d’être avec eux. Me mêler a eu. D’une façon égocentrique, je pense que je suis supérieur. Ouais, c’est tout à fait cela, supérieur. Je me plaisais à prendre pour un prince, voir même un roi. Car eux, ils n’ont pas de pouvoir, ils n’ont pas eu ce don. Ils restent des moldus qui s’amusent à des jeux d’enfants. Ils grandiront dans l’ignorance. Alors, que moi, je serais toujours au-dessus d’eux. Quelle perte de temps, pourquoi être ici ? Je suis encore un enfant, certes, je n’ai pas envie d’apprendre le monde moldu, il est si fade et inutile. Je suis un sorcier, j’ai bientôt neuf ans. Dans quelques années je serais dans une école de magie… Je devrais déjà me préparer, au lieu de rester sur ce banc stupide… Assis dans cette cour de récréation, attendre que le temps passe… J’ai envie de m’amuser à la magie, et pas comme mon frère. Je veux ne pas m’intégrer avec eux.
Soupirant d’ennui, observant avec lassitude mon frère jumeau prendre gout à la vie de moldu. Il est comme moi pourtant, je le comprend pas. Nos parents sont tous les deux d’origines moldus. Ma mère une sorcière, et mon père il n’a pas de pouvoir. Je devrais me sentir honteux de renier les personnes comme mon paternel. Mais, pas du tout, ce n’est pas de ma faute si je suis spécial et pas eux… Mon père, je ne l’aime pas. Ce n’est pas un homme bien. C’est de sa faute si je les déteste. Je ne comprends pas Aidan, il devrait ressentir la même chose que moi. Mais, non, il faut qu’il fasse l’intéressant. Toujours à se mêler aux autres. Rire, jouer avec eux. Il est stupide. Je déteste mon frère aussi.
Je plaque mes mains sur mes oreilles, fermant les yeux. Ces rires m’énervent, j’ai envie qu’ils se taisent. Je déteste ces gamins, je déteste cette école, je déteste cette ville…cette vie… Je déteste tout. Plissant les yeux de plus en plus forts, le silence… Reste que ce doux silence. Je suis apaiser, ma colère est partie… Je détache mes mains, libérant mes tympans. J’ouvre les yeux, et d’un pas décidé, je m’avance vers eux. Vers Aidan, il rigole avec cette fille moldue. Une idiote qui ne m’aime pas… Comme beaucoup, elle me trouve bizarre… Parce que je ne parle pas, seulement pour les envoyer balader. Et puis, y a eu les accidents… Surpris de me voir proche d’eux, Jessica et Aidan s’arrête. Je la regarde droit dans les yeux, avec ce mépris. Souhaitant lui faire mal. Jusqu’à ce qu’elle soit prise par un étouffement incessant. Mon frère m’attrape par les épaules, me disant d’arrêter, il m’engueule. La fille tombe au sol, ce qui déclenche une bagarre typiquement moldu entre moi et mon jumeau.
Les jours continuent ainsi, c’est toujours la même chose. Aidan et moi on passe notre temps à se battre. C’est loin d’être terminé, ce n’est que le commencement… Une enseignante viendra nous séparés aider par le concierge. Jessica n’est pas morte, plus de peur que de mal. Viendra le jour où je pourrais l’avoir. Emmené tous les deux à l’administration. Mon père obligé d’interrompre son travail pour venir nous chercher. C’est pas la première fois, ce n’est qu’une question de temps avant qu’on soit renvoyé. Une fois dans la voiture Aidan dira comme toujours :
Aidan – « C’est ma faute… »
Il s’accusera de tous mes crimes. Même en sachant ce qui l’attend. Mon frère est né quelques secondes après moi, on est complétement à l’identique et pourtant on reste très différent. Sans cesse Aidan s’est déclaré coupable pour me couvrir, sait-il seulement que dans le cas contraire je le laisserais subir. Je n’ai pas envie de l’aider comme il le fait. Je n’ai pas besoin de son aide, je m’en fiche ! Arrivé à la maison, notre mère n’est jamais là… C’est bien le problème de cette famille. C’est une auror, c’est rare qu’on la voit, elle ignore ce qui se passe ici. Un jour les choses terminerons mal. Je jette un coup d’œil à Aidan, il aura juste mon mépris. Je m’assois sur le canapé, ne disant rien. Alors que mon père prendra des mesures qui sont pour le moins révoltante. Passant son autorité par la violence à l’encontre de mon frère. Il subira, et je ne ferais rien… Tant pis pour lui !
Chapitre deux : Frères ennemis
Frottant la plume contre le papier. Les mots s’enchainent, formant des phrases. Me rendant pas compte de mon allure soutenue, mes pensées se décrivent toutes seules. Je suis fou de cette correspondance. Je pense à elle chaque minute, chaque heure, chaque jour… Elle sait qui je suis, et je sais qui elle est… Pourtant seules ces lettres comptent. A chacun de ces envois, je pouvais sentir son parfum sur son cachet. Ce n’est pas la correspondance qui me rend fou, mais c’est elle. Lyna-Louise. Sans jamais se parler, ni se regarder… notre histoire s’est écrite, sans s’en rendre compte. Je glisse un dernier mot avant de taire ma plume. Et glisser la lettre dans une enveloppe, qui allait atterrir prochainement dans les mains de ma dulcinée. Du moins, c’est elle qui aurait dû y touché juste après moi. Cependant mon précieux courrier m’échappe des doigts. Prise par un individu sans mon accord. Je ne me lève pas du banc de la salle d’étude, juste les yeux vers lui. Lui jetant un mauvais regard, lorgnant un instant sur son blason de serpentard. Lui et moi sommes de la même maison, et pourtant les choses sont plutôt compliquer. Mon jumeau prend plaisir et voler ce qui m’appartient. Son sourire m’agace. Je me redresse d’un coup, fixant Aidan du regard.
Joann– « Rend la moi… » Aidan – « J’ai un service à te demander, frangin, oublie pas que tu m’es redevable… D’accord ? »
Je grimace un peu, alors qu’il me tend mon dû. Je fis un signe de la tête, voulant pas trop attirer l’attention. J’accepte sans discuter de l’aider. Il a raison, je lui suis redevable. Il a souffert le martyr à cause de moi pendant des années. Entre une mère absente, et un père violent. Je l’ai abandonné. J’ai compris mes erreurs, mais il fallut que le pire arrive. Notre mère a failli y passer et Aidan aussi. C’est sujet sur lequel je n’ai pas envie de revenir. Maintenant, notre père est en prison, notre mère dans le coma… Et Aidan, il est devenu borgne. C’est surtout de ma faute. Je ne mérite pas son pardon… Je ne parle jamais de ce qui s’est passé, ce que j’ai fait est mal. Je ferais tout pour changer le gamin stupide que j’étais. C’est trop tard à présent. J’ai changé, je ne souhaite que racheter mes fautes. C’est la quinzième année de ma vie, j’ai encore tout le temps pour ça. Du moins naïvement, je le crois. Aidan me rend ma lettre, j’évite de fixer le bandeau qui cache son œil mort. Il me dit dans un murmure a l’oreille de le rejoindre ce soir, quand le couvre-feu sera tombé, et que je n’ai pas intérêt à me faire prendre par un préfet. Je le laisse partir sans savoir quel méfait il compte accomplir encore… Aidan aussi à changer, il n’est plus aussi gentil et compréhensif qu’avant. Son cœur s’est assombri. Je le soupçonne fortement de pratiquer de la magie noire avec quelques autres de ces camarades. Je ne sais pas ce que je dois penser, a part que c’est ma faute. Je me rends compte que faire tout ce qu’il dit n’est pas fait pour l’aider… Qu’est-ce que j’attends pour l’aider ? L’aider à sortir de tout ça…
Le soir venue, je me suis glissé hors du dortoir et de la salle commune. Aidan n’avait pas pris la peine de m’attendre histoire de pas me facilité la tâche. Une fois face à lui, il m’avoue qu’il voulait s’en prendre à une préfète, une préfète de serdaigle précisément… Sans avoir le temps de lui dire que je ne marche pas dans ce genre de jeu, il s’élança. J’ignorais de qui il parlait jusqu’à ce que je la vois. Que je la reconnaisse… Comment a-t-il su ? Je reste immobile un instant, alors qu’il s’en prend à la jeune fille, l’entrainant dans une pièce à côté. Aidan est un obsédé, je ne devais pas réfléchir…ma décision est prise, je le laisserais pas faire ça. Je me précipite vers le lieu clos. Brandissant ma baguette vers mon propre frère jumeau.
C’est la première fois que j’osais dire son nom, que je lui parlais. J’aurais imaginé notre rencontre dans de bien meilleur lieu. Pas comme ça, il a tout gâché. J’en veux à aider, d’être aussi ignoble. Je crois comprendre, qu’il se venge… Il n’a pas envie de se réconcilier comme il le prétend.
Aidan – « Tu as l’habitude d’assassiner notre famille… Rien que pour une femelle tu es prêt à trahir ton frère. Je ne l’oublierais pas ! »
Mon frère… est cinglé. Notre famille n’existe plus vraiment. Il me rappellera sans cesse que c’est ma faute. Et je pourrais que le croire, et m’en vouloir. Si j’ai encore une chance de me repentir, cela sera pour une bonne cause. Aidan brandit sa baguette à son tour avant que les sortilèges fusent… en pleins milieu de nuit, à poudlard. Les renforts de Lyna-louise ne se firent pas attendre pour nous séparer. C’était terminé… A partir de ce jour, lié par le sang ou non, mon frère est devenu mon pire cauchemar…
Chapitre trois : Trahison
Joann – « Entre ! »
Fis-je doucement. Les yeux figés sur la fenêtre observant dehors. Le monde parait calme, et pourtant il s’agite. C’est aujourd’hui que tout se termine. Sans me retourner vers le jeune étudiant qui vient de pénétrer la pièce. J’entends son souffle, il est exténué. Il a fait aussi vite qu’il a pu. C’est un garçon bien, si jeune encore et pourtant il prend un risque si gros. Je l’ai formé, il a des sentiments de reconnaissance envers moi. J’ai été un second pour lui durant sa formation. C’est le seul qui prend le risque de me prévenir, j’en demander pas tant… Je soupire, comme si je ne prenais pas la situation au sérieux, et pourtant l’heure est grave en ce qui me concerne. Je me retourne finalement vers le brun. Les mots peines à sortir de sa bouche. Il tremble. L’angoisse, la peur… La seule chose qu’il réussit à dire :
Jeune homme – « Votre frère est avec eux, vous devez partir… Ils viennent vous arrêtez cette fois… Fuyez avant qu’il soit trop tard ! »
Je le regarde sans réagir, comme si je semble hésiter à fuir. Chose certaine, je finirais mes jours à azkaban si je reste là. Je savais que ce jour arriverais, mais je ne me suis jamais préparé. Depuis l’apparition au pouvoir de voldemort tout a changé. Je regrette de ne pas m’être battu aux côtés de l’ordre du phénix. On a tous un choix à faire, le mien fut tardif… J’ai aidé ces personnes, celles que le ministère pourchasse, aussi bien les né moldus que les sous disant criminel en fuite… Je le faisais en toute discrétion, jusqu’à ce qu’Aidan le découvre. Il me faisait chanter jusqu’à maintenant, au risque de faire peur à mon épouse Lyna-Louise et ma fille Aislinn. Ce que voulait le plus mon frère c’est me contrôler, mais il désire encore plus entrer dans les bonnes grâces du seigneur des ténèbres. Il y a rien d’étonnant à sa trahison… Il a promis de pas l’oublier lorsque j’ai renoncé à notre fraternité. Je suppose que c’est chose faite à présent… Je n’imagine pas à quel point il doit prendre son pieds, tant dis qu’il gravit les étages de saint mangouste. Je dis à l’étudiant de partir et vite, pour pas qu’il se fasse prendre, car je ne pourrais pas l’aider. A présent il ne doit compter que sur lui-même. Je retire ma tenue de médicomage. Me pressant dans le vestiaire pour me changer et passer plus inaperçu. Sortant rapidement dans les couloirs, avant de me cacher dans la chambre d’un patient. Me rendant compte que les lieux sont maintenant infestés par l’ennemi venu me chercher. Et en plus il devait avoir deux mangemort accompagné de mon frère. Je regarde avec curiosité l’étudiant indiquer un chemin contradictoire aux mangemorts. Je grimace. Ce pauvre fou. J’espérais qu’il s’en sorte sans qu’on le soupçonne.
Je devais sortir de l’hôpital sans même un dernier pot d’adieu, j’allais prendre une retraite très rapide. Seulement les sorties sont gardés par des rafleurs, j’avais quasi aucune chance de sortir. Juste peut être mon talent de comédien. Mise à part l’œil défaillant de mon frère ont se ressemble comme deux gouttes d’eau lui et moi. Il avait laissé son bandeau pour un œil de verre qui ressemble sans défaut à un vrai. Rare sont ceux qui savent à présent qu’il est borgne. J’avais mes chances. Je sors de ma cachette. Interpellant deux rafleurs, leurs gueulant dessus que le fugitif est parti par là. Il fallait croire qu’ils ne sont pas choisis pour leur intelligence car ils foncèrent. J’en profite sans hésiter pour échapper à mes assaillants. Quittant l’hôpital en toute discrétion. Restant calme jusqu’à me retrouver dans les rues moldus. Je jette ma robe de sorcier, ayant une tenue moldu en dessus. Je me fonds finalement dans la foule pour disparaitre. Abandonnant tout ce que j’ai de plus cher pour garder la liberté…
Chapitre cinq : Renaissance
Cela fait huit mois. Pas un mot pas un murmure. J’observe le monde. Je vois le monde vivre sans moi. J’oublie les parfums, les gouts, les personnes… Il me reste que des images. De ces personnes que j’ai abandonnées. Et celui que je trahi le plus est certainement moi-même. Je veux plus me voir, je me dégoute. Je me laisse mourir par ces mois d’enfer. C’est peut être mon châtiment d’avoir été mauvais a un moment de mon existence. J’ai détruit ma propre famille, car j’étais incapable d’accepter l’absence d’une mère. J’ai torturé un frère qui a fini par se venger. Et la famille que j’ai créée, Lyna-Louise, la seule femme que j’ai aimée… Je l’ai abandonné à son sort. En tant que née moldu, elle n’a pas supporté l’oppression. Qui sait ce que Aidan lui as fait, il l’a désiré autrefois parce que je l’aimais… Et ma fille Aislinn, ma petite fée. Si jeune et innocente, je l’ai trahi aussi… Je ne suis qu’un lâche qui se répète chaque jour la même chose. Je me torture. Mais, je reste là tapi dans l’ombre comme un rat. Je mérite de crever dans cette rue sale faite pour les ratés dans mon genre. Je pense que même dans l’au-delà, je ne reverrais ni Lyna ni Aislinn… Il ne fait aucun doute que je rejoindrais les abysses des enfers.
Oui, me torturé jusqu’à mon heure c’est tout ce qu’il me reste. Assis sur ce trottoir, attendant qu’un moldu généreux jette une pièce au mendiant sale que je suis. Les personnes qui m’ont connu ne verraient même pas que j’existe. Je traine dans les refuges des moldus, survivant à l’hiver dehors. Ne rien manger pendant des jours, ne pas se laver, ni se raser… Pathétique. Je m’inflige ça, j’ai pu envier de bouger, y a pas de risque que je me fasse prendre… Je laisse ma famille souffrir, et j’arrive à rester des heures immobiles. Plus le temps passera, et sans doute que la folie viendra me gagner. Finir dans le caniveau, c’est ma seule et unique punition. Je ferme les yeux, jusqu’à la tombée de la nuit. Qu’importe ce qui se passe, je reste sur mon carton, oubliant qu’un monde existe autour de moi.
Un cri strident me fait sursauter. Je m’étonne d’avoir encore des réflexes. Il fait froid. Très froid. Je me redresse depuis des jours que je ne l’ai pas fait. Marche à petit pas, comme un homme brisé par le poids de l’âge. Je sens à peine mon corps, je l’ai endolori. M’approchant des plaintes et des gémissements. Si je pouvais me voir, les cernes béantes qui creuse mon visage me ferait sans doute peur. Est-ce un signe qu’aujourd’hui, je me décide à marcher ?
Je vois dans l’ombre de cette ruelle plus loin, un homme qui agresse une jeune femme. Des passants font leurs bouts de chemins sans le voir, ou plutôt ne préfèrent pas s’en mêlés. Quel ignoble comportement, mais qui je suis pour les juger ? Je suis pire qu’eux… Je m’avance, voyant qu’il menace la demoiselle avec un couteau. Il me rappelle Aidan, lorsqu’il a sauté Lyna-louise ce fameux soir. Ou il a voulu la violée sous mes yeux. Je sentais une colère indescriptible en moi. A présent il surement du assouvir son fantasme… J’enfonce sans me rendre compte mes ongles dans ma chair, serrant le poing. Provoquant une douleur qui ne semble pas m’atteindre. Je pensais avoir perdu cette force depuis des mois. J’avance au seuil de la ruelle, ordonnant à l’agresseur de la relâcher… L’appelant même Aidan… Je délire… Ce n’est pas lui… Le type n’obéit pas. Dans un sortilège informulé, son couteau lui brule la main, il finit par le lâcher. Me fixant avec inquiétude. Il me promet de ne pas recommencer et que je ne dois pas m’énerver. Seulement, je n’avais pas envie de me calmer… Un vent violent s’empare de la ruelle le plaquant contre le mur. Je ramasse son couteau.
Joann – « Tu m’a tout pris Aidan… Tu vas mourir, je vais tous vous tuer..toi et tes petits amis sadiques… Tous ! C’est une promesse ! »
La jeune fille observatrice de la scène pousse un hurlement de terreur et de dégout. Je venais d’enfoncer la lame dans le bas de son ventre remontant jusqu’en haut. Tripes, sang et bouillis pas très appétissante sortent de son torse. S’écoulant sur le sol dans une purée gouteuse pour les rats du coin. Le vent s’arrête, l’homme git dans sa propre déchéance. Je me retourne vers la jeune femme, le regard assassin. C’est la première fois que je massacre un être humain de sang-froid. Je la rattrape avant qu’elle fuit, hésitant a son sort… Et finalement, la magie ne m’a pas abandonné. Prenant ma baguette je lui fis oublier mon existence et ce moment sordide. Ce n'étais pas Aidan, cependant son heure va bientôt venir...
Chapitre six : Retrouvailles
Cela fait pratiquement un an que notre monde s’est assombri. Je comprenais avec dégout, que la plupart des gens reprennent leurs habitudes… Comme si c’était normal de vivre cette oppression. Ils l’acceptent. Ceux qui ne sont pas touché par le problème finisse par l’oublier et accepté ces idées révoltante. Ma mère étaient une née moldue, ma femme aussi… Je ne pourrais pas fermer les yeux. Et mon frère n’a aucun honneur, devenir l’un des leurs. Il a trahi tous ceux qu’on a pu connaitre. Aidan aurait tué notre mère de ces propres mains s’il avait pu… Pourquoi était si cruel envers les siens ? On s’est battu tant de fois, cependant je pouvais ne pas croire que son cœur soit mort. J’ai tant désiré sa mort surtout dans cette ruelle. Depuis, j’ai réfléchis, il doit avoir une solution. Je dois tout essayer, lui parler… C’est mon frère, je ne peux pas le tuer, malgré tout ce qu’il a fait !
Depuis quelques semaines, j’ai quitté ce caniveau puant. Je me suis remis sur pieds. J’ai fait couler le sang pratiquement comme une nécessité. Je ne sais pas encore si je me sens coupable ou non. Sans doute que non, je ne sais pas à quel moment la mort m’a paru si..logique..et facile ! Un inconnu c’est facile, mon sang, j’ai encore trop de sentiments pour cela. Avant tout, j’aimerais trouver la voix de la raison. Est-ce que je deviens fou ? Ou trop cynique ? Elle seule pourra me guider… Elle m’a oublié durant toutes ses années, et je l’ai condamnée… Dans cette petite bourgade moldue, perdu au milieu de tout. Ce petit hospice assurant sa longévité. Ma mère, Mathilda, elle passera sa vie dans ce lit. J’avais tort, Aidan ne l’a pas trahie. Ou alors, elle est dans un trop mauvais état pour qu’on s’y intéresse. J’ai su que les aurors sont pourchassé dans tout le pays. Si elle peut m’entendre, je n’aurais pas le cœur à lui dire que tous ces collègues sont sans doute morts à présent. J’approche une chaise près de son lit, je m’assois avant de tenir sa main. Je ne savais pas quoi lui dire, on s’est jamais vraiment parler. Je n’ai pas eu le temps de lui dire à quel point je regrette, que je l’aime malgré tout… Que je ne sais pas quoi faire, si elle était là… Je suis certain qu’elle serait quoi me dire, elle serait remettre Aidan sur le droit chemin. Je serre sa main, sentant la tristesse et la culpabilité m’envahir. Mais, ce moment fut subitement interrompu.
Aidan – « Comme c’est mignon, tu sais pourquoi elle est comme ça… Tu dois le savoir vu que tu es le responsable. Je savais que tu allais venir ici un jour, tu sais te faire désirer, frangin… »
Je me redresse d’un seul coup. Il se tient dans l’encadrement de la porte. Fier de lui, le sourire au bout des lèvres. Depuis nos querelles de poudlard ont s’est jamais vraiment reparler, et la dernier fois que je l’ai vu, il m’a offert aux raffleurs. Je porte ma main sur la poche de mon jeans, prêt à dégainer ma baguette. J’aurais dû me douter que ces lieux étaient surveillés. Tous ces mois de disparition, il a quand même continué à me chercher.
Joann– « Ou sont ma femme et ma fille ? Je te jure, si tu leurs as… » Aidan – « J’ai prévenu un de mes contacts, tu veux discuter… Je te dirais tout ce que tu souhaites, une fois qu’ils t’auront enfermé. »
Je le maudit du regard. Discuter avec lui est ma pire erreur, il y a pu rien d’humain chez ce type. Il me dégoute… S’il croit que je vais me laisser attraper bien gentiment, il se trompe. Je ne dois pas trainer ici, ils vont être rapides à venir… Aidan prit en main sa baguette, prêt à m’empêcher de m’enfuir cette fois. Son erreur aura été de trop ouvrir la bouche :
Aidan – « J’ai fait une promesse a maman, dès que tu reviendrais… Je mettrais fin a ses souffrances. » Joann– « Non… Aidan..pas ça ! »
J’avais basé mes recherches de médicomage sur elle, pour pouvoir la guérir un jour. Il ne pouvait pas l’assassiner comme ça. Il n’a pas le droit. Il agite sa baguette tirant les fils jusqu’à débrancher les appareils qui la maintienne en vie. Agissant dans l’impulsion, fou de rage qu’il ai osé…
Joann - « Avada Kedavra.. ! »
Mon maléfice touche mon jumeau en pleine poitrine, ne lui laissant aucune chance. Ce fut rapide sans pouvoir rajouter le moindre mot. Gisant sur le sol… Il est mort. Je reste bouche bée, sans pouvoir bouger… Non.. Des hommes apparaissent d’un coup dans la pièce. Je les regarde un instant, reprenant mes esprits… Les rafleurs…
Chapitre Sept : Etre prêt a faire feu...
Je venais de tuer mon frère de sang-froid. Ce que je ressens… Rien. Il est mort. Il git là par terre. J’avais envie qu’il meurt au fond de moi. Je n’aurais jamais pu le sauver, il était perdu. Il fait partie d’eux. Je dois ne pas avoir de pitié pour ceux qui sont pour le système. Même si c’était mon frère… Je lève mon regard vers les deux raffleurs qui sont apparus. Maintenant, j’avais plus qu’une chance sur deux de m’en sortir vivant et surtout libre.
Joann – « Désolé, les gars je crois vous avoir appelé pour rien… C’était lui ou moi, il n’a pas supporté que j’élimine la vieille. »
Je méprise mes paroles, et pourtant j’avais ce sourire méprisable et arrogant qu’avait toujours Aidan. Je deviens lui pour sauver ma peau. Le regard d’un des raffleurs se porte sur Mathilda. Elle n’est pas encore morte, elle suffoque…. Cela dure une minute à peine avant que son corps s’éteigne définitivement. J’aurais pu me précipiter la rebrancher pour qu’elle vivre encore. Je me serais trahi, Aidan s’enfoutait… Je l’ai sacrifié contre ma liberté. Je suis désolé. Cet acte de cruauté suffit à convaincre les raffleurs que je suis Aidan. Tuer sa propre mère, je me dégoute…
Quelques heures plus tard, après quelques échanges plutôt écœurant avec les rafleurs. Comme se débarrassé du corps de mon frère et faire quelques arrestations. N’hésitant pas à me montrer encore plus brutal qu’eux que le doute ne s’émette pas à mon sujet. Il semble que je sois toujours un bon menteur. Le rôle de mon frère n’est pas difficile à tenir, je connais toutes ses réactions et ses attitudes. Pour le reste, je ne sais rien de sa vie de maintenant… Juste ce carnet que j’ai retrouvé dans sa veste, prit pendant « l’enterrement ». J’aurais fini par trouver son adresse, mais l’un des rafleurs avait eu la bonne idée de vouloir me raccompagner. Surement proche de mon frère, il me raconte des éléments de sa vie privé que je faisais semblant de comprendre. Une fois devant le manoir qui appartient à mon frère. Je me demandais si j’avais fait le bon choix en venant ici… Qui sait ce que je vais découvrir…
Je reste un moment immobile en voyant une jeune gamine de dix ans s’approcher de moi. Aislinn. L’envie me démange de la prendre dans mes bras, de la serrer fort et de pleurer combien elle m’avait manqué. Elle est vivante. Aidan a dû obtenir sa tutelle après ma disparition. Mais, je ne ferais rien de telle. Si ma fille sait que je ne suis pas Aidan, je la mettrais en danger. Elle ne doit jamais savoir… Je jouerais le rôle de mon frère même avec elle. Elle est protégée ici. C’est mieux ainsi… S’il a la garde de ma fille, qu’est devenue ma femme… ? Aislinn passe juste a côté de moi, m’ignorant. Elle doit haïr mon frère, cela allait être difficile de supporter le regard méprisant de ma propre enfant… Je voulais entendre sa voir après tous ces mots, je dis la première chose qui me vient :
Joann – « Ton père est mort… Je l’ai tué, je préfère te le dire avant que tu l’apprennes par les médias. Une bonne chose de faite, c’était qu’un lâche. » Aislinn – « …tu lui arriveras jamais à la cheville, crève en enfer. Ta pétasse t’attend… »
Je la vois partir en courant apercevant ses larmes. Quel père ignoble je suis pour lui faire ça… Je peux la consoler, je suis impuissant. Je regrette ce jeu, mais, si je veux protéger Aislinn je dois continuer. Je regarde une jeune femme s’approcher de moi. Elle a sans doute trop oser le sexy que cela en devient vulgaire. Sans que j’ai le temps de dire quoique ce soit, elle viole me lèvres… Sans doute la « pétasse » dont parlais ma fille. J'avais peine a croire que mon frère ce soit lier a une femme... Je l'ai connu a toujours courir partout... Autre chose que j'avais pas envisager dans mon plan. Cependant, même en la jouant à la Aidan, il sera pas compliquer de me débarrassé de cette fille. Seulement j'avais pas prévu qu'elle soit pas la seule a décorer son carnet.
J'ai l'impression d'être changer mais en réalité, je suis toujours le moment. Cela fait maintenant trois ans que je joue les comédiens. Prenant garde a mes attitudes, et refoulant le moindre de mes dégoûts. J'ai pas de crainte a me salir les mains, parfaire l'illusion... Je suis devenu mon frère. Ignoble, sale, sadique, insouciant, pervers... Seule la présence de Aislinn me dit que j'ai fais le bon choix. Même si elle me déteste. Elle mérite d'avoir une vie normal, tout ce que j'aurais eu à lui offrir c'est la fuite. Toujours se cacher... Qui pourrait supporter ça, ce n'est qu'une enfant... Qu'importe si mes actes seront un jour jugé, je plaindrais coupable car j'aime ma fille. Plus personne ne peut me séparer d'elle. Sauf un jour les années... Je n'y pense pas. Un jour elle devra savoir...
Je veux un avenir meilleur pour elle, j'ai plus que tout envie de la protéger...mais aussi..venger ma famille. Ils m'ont tout prit... Lyna-Louise, elle n'est plus qu'un souvenir de mon esprit. Après toutes ses années, je ne sais pas..elle vit dans mon coeur, mais dans la réalité. Je suis sans doute fou de croire qu'elle est encore vivante. J'ignore ce qu'elle est devenue. Pour elle j'ai envie de me battre contre ces gens... Ces mangemorts. J'en suis un malgré moi par le biais de mon frère. Même si je les imite depuis des années, je souhaite plus que tout leur perte. Je me suis même liés d'amitié avec certains, et pourtant je n'hésiterais pas à les trahir... Pour Lyna, pour Mathilda, pour Aislinn.. et tous les autres. Je joue a un jeu dangereux, un double jeu... Je suis bien placé pour ça, et j'ai la force de continuer. L'ordre du phénix n'est pas pour moi, ils finiront bouffer un par un...Leur méthode n'est pas assez agressive. Il faut du changement... Je compte bien participé a ce combat là, c'est déjà fait... Je suis avec eux..!
Ϟ Le moldu qui veille en moi.
Ϟ Double compte ? (Si oui de qui) : hm..un anti-suceur de sang confirmé x) Ϟ Un dernier petit mot d'amour ? : J'en donne qu'à moi même x)
Dernière édition par Joann VandenBergh le Lun 25 Fév - 0:05, édité 1 fois
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Sujet: Re: Joann VandenBergh Mar 21 Aoû - 20:54
Toi je t'aime déjà tellement Je te veux et crois-moi je t'aurai, peu importe le perso J'aime la personnalité de ce perso et son histoire est juste superbe
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Sujet: Re: Joann VandenBergh Mar 21 Aoû - 21:15
merci beaucoup tu es adorable <33 Ravi que ça te plaise *-*
pour ce qui est de m'avoir haha on verra x)
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Sujet: Re: Joann VandenBergh Mer 22 Aoû - 0:49
Hmmm là, je pense que Val peut oublier Ciara. x)
Re-bienvenue sinon joli coeur <3
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Sujet: Re: Joann VandenBergh Mer 22 Aoû - 7:52
Hannn! Mais non il peut pas l'oublier éè Vilaine >< Je sais que Jo est trop parfait mais quand même xD
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Sujet: Re: Joann VandenBergh Mer 22 Aoû - 10:05
Pauvre Val si vite délaissé
J'avoue que Jo a beaucoup d'atouts, mais n'allons pas jusqu'à le dire parfait sinon toutes les filles vont vouloir me le piquer
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Sujet: Re: Joann VandenBergh Mer 22 Aoû - 17:12
Rebienvenue!
J AIME ton nom!
Je dois te faire le speech habituel? Non, tu le connais maintenant!
PS: Reserve moi un lien!
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Sujet: Re: Joann VandenBergh Mer 22 Aoû - 19:58
Félicitation, tu es validé(e) !
Ton personnage rejoint les sorciers. Maintenant il te reste quelques petites choses à faire, tu dois tout d'abord aller recenser ton avatar. Ensuite, tu peux faire une demande de liens & de rp'pour commencer à participer aux forums. Mais n'oublie pas qu'il y a aussi la Chat Box qui est un bon moyen de faire connaissance avec les autres membres ! Si tu le souhaites tu peux faire des scénarios. Enfin n'hésite pas à jeter un petit coup d’œil à la boutique ou bien aux recrutements. Bon voyage parmi nous !
Sujet: Joann VandenBergh 
Mar 21 Aoû - 20:33
Je te veux et crois-moi je t'aurai, peu importe le perso 
J'aime la personnalité de ce perso et son histoire est juste superbe 
