It's my life...Faire un résumé de mon histoire prendra du temps, mais il serait temps d’écrire une page de l’histoire Sorcière, avant que ne sombrent les générations. Né d’une mère sorcière, descendante de la famille de Salazar Serpentard, elle en fit de moi l’héritier. Mon père ne devrait pas même être nommé, et à l’encontre de mes principes son nom figurera dans ce registre. Tom Elvis Jedusor m’a donné son nom. C’est tout ce que l’on retiendra de ce moldu. Comme nous le remarquerons tout au long de ce chapitre, le nom moldu ne prendra pas de majuscule, car ils ne méritent pas la lettre haute. Reprenons. Je n’ai jamais connu le couple qu’ils ont formé, et je ne comprendrai certainement jamais l’amour qu’aura porté Mérope Gaunt, héritière du Serpent, à un vulgaire homme sans pouvoir. J’ai ainsi passé mon enfance dans un orphelinat. Là bas, j’ai pu commencer mon règne, mais si peu aimé et adulé à cette époque. J’avais l’occasion d’exercer une pression sur quelques uns des plus faibles et déjà je trouvais la différence qui me hantait. J’avais des pouvoirs, sans savoir à l’époque la nature de ceux-ci, mais je pouvais obtenir ce que je souhaitais des pensionnaires les plus faibles. C’est en 1938, si je ne me trompe pas, que Dumbledore est venu me rendre visite. La première visite depuis mon arrivée dans ces lieux emplis de moldus. C’est là où j’ai pu connaître ma nature. J’étais un sorcier et une place m’attendait à Poudlard. Méfiant tout d’abord, je demandai au professeur une démonstration et, émerveillé sans rien laissait paraître, je sus directement que Poudlard serait un lieu merveilleux, un foyer que je n’avais pas eu. Alors, âgé de onze ans, je fis mon entrée à Poudlard en septembre. Le Choixpeau me dirigea vers Serpentard, et une grande fierté vécut en moi à cet instant. Mes études jusqu’en sixième année se passèrent naturellement, et je trouvais bien en Poudlard un foyer sans pour autant trouver une famille. D’ailleurs, je ne voulais pas de famille. Je n’avais pas même d’amis, juste des personnes sous mes ordres, comme aujourd’hui dirons nous. Les professeurs étaient proches de moi, et même si je n’avais pas de privilège, cela m’arrangeait. Je savais également parler fourchelang, qui me permettait de communiquer avec les serpents, or cette faculté sera vue ultérieurement, car elle ne me servait pas encore. Mais cette année, pour la première fois, j’avais d’autres ambitions que retourner à l’orphelinat. Ayant ouvert la Chambre des Secrets, tué Mimi grâce au Basilic, apprivoisé par le Fourchelang, je ne pouvais rester au collège pendant les vacances d’été. Mimi était une sang de bourbe, et sa mort ne pouvait que faire pleurer que les personnes non dignes de leur sang. La colère s’emparait peu à peu de moi, et cela me permit de réfléchir à un plan de secours si le mot est exact. J’arrivai ainsi à faire accuser ce vieux balourd de Hagrid et sa stupide araignée Aragog. Cet été là, je partis à la recherche de ma mère durant l’été. En effet, j’avais appris que le sang sorcier coulait d’elle et non de mon père. C’est pourquoi j’ai changé de nom. Porter celui d’un moldu me mettait dans une rage impossible à contenir. Grâce à de nombreuses recherches, je sus que Mérope Gaunt était la seule descendante de Serpentard en personne. Morte, elle faisait de moi le descendant unique de Salazar, le seul qui avait le pouvoir d’ouvrir la chambre des secrets et dompter les serpents. J’ai appris en même que mes origines la faculté obtenue de Salazar, celle de parler aux serpents.
Durant cet été, j’ai commis un autre meurtre, celui de mon père, pour avoir laissé ma mère mourir, mais aussi pour devoir porter son nom et pour son sang. Les grands parents y passèrent aussi et c’est mon oncle, alors père de ma mère, qui fut accuser. J’avais l’art de faire accuser les gens à ma place et cela me réussit toujours.
Lorsque je revins à Poudlard pour ma septième année, j’étais des plus proches avec le professeur Slughorn alors maître des potions. Participant à ses soirées régulièrement, je pouvais les poser des questions sur la magie noire dont les réponses ne se trouvaient pas à la bibliothèque. J’appris ainsi comment former des horcruxes et séparer son âme. A la fin de l’année, aspics en poche, je demandai le poste de défense contre les forces du mal qui me fut refusé. J’étais trop jeune disaient-ils. Enrageant au fond de moi, je pris un poste chez Barjow et Beurk. Les ventes grimpèrent et il fut désolé de me voir le quitter. Je restai dans l’ombre un long moment, et redemandai le poste, pensant que cette fois serait la bonne, Dumbledore directeur. Il refusa. Une rage s’éprit une nouvelle fois de moi et mes pouvoirs me permirent de maudire ce poste.
Après ce refus, je consacrai mon temps à monter une armée, les horcruxes étant déjà créés. Les mangemorts étaient sous mes ordres. Mon pouvoir et ma gloire augmentés, alors qu’une prophétie fut entendu à moitié par Rogue. Je ne dirai pas qu’elle me faisait peur mais pouvant me nuire, je décidai de tuer la famille Potter qui correspondait à cette prophétie. Les parents moururent, le fils survécut et je disparus. Je n’étais pas mort, mais pas au mieux de ma forme. J’arrivai alors à retrouver un semblant de vie onze années plus tard, en vivant notamment dans le corps de Quirell. Je voulais la pierre philosophale. Hélas, elle m’échappa à cause de Harry Potter. Ce gamin ! Je me retrouvai sans corps, mais mes horcruxes me sauvèrent. Je me réfugiai dans des coins isolés et Peter Pettigrow, seul à me chercher, me retrouva et m’aida à reprendre un corps à moi et ceci à part entière. Un corps. Grâce au sang de ce Harry Potter. Il m’aura bien servi à quelque chose …
L’année suivante je consacrai mes projets à retrouver la prophétie. Ne pouvant me rendre au ministère, il me fallait quelqu’un . Harry était la personne qu’il me fallait, puisque je pouvais contrôler son esprit par l’intermédiaire de ses rêves. Mais cet imbécile de Malefoy brisa la boule de cristal et je ne pus avoir cette prophétie. De plus, je dus me battre contre Dumbledore, venu protégé cet idiot de Harry et relever ainsi mon retour. Bon. Chose faite est faite. Néanmoins, cela me permit d’apprendre de nouvelles choses, dont l’existence des reliques de la mort qui pouvait me faire maître de la mort. Quoi de plus merveilleux ? Mon intelligence et ma ruse m’aidèrent franchement. Drago possédait la fameuse baguette de Sureau, qui avait jadis appartenu à Dumbledore mais qui était mort à présent. Un obstacle de moins ! Je tuai alors Drago et obtins la relique la plus précieuse. Cette année là, je me battis une dernière fois contre Harry, ce héros déchu. Mort, il ne pouvait rester un geste symbolique et je décidai d’arranger sa mort, en disant qu’il partit lâchement par peur. Ainsi, tout rayon de soleil était brisé. Harry était mort et j’avais le champ libre. Je pus prendre le poste de Ministre de la Magie, Rogue à mes côtés. Oui, il avait désormais toute ma confiance et c’était une personne de moins à surveiller constamment. Les autres eurent des postes qui me permettaient de contrôler absolument tout. L’ordre du Phénix ne pouvait rien contre moi et ne peut toujours rien. Je peux m’atteler à la quête de l’immortalité sans problème. D’ailleurs, c’est grâce à Minerva McGonagall que mes chercheurs ont eu une idée. Après avoir tué sa famille, le petit dans le ventre de sa mère était vivant, aussi je l’en sortis et nous gardons prisonnier au ministère. J’ai de grands projets et il pourrait m’être d’une utilité précieuse. De plus, il a contraint la vieille dame à se mettre sous mes ordres. Un bon point pour mon armée.
Je finirai sur un point qui m'énerve et, avouons-le, me fait peur : La mortalité. Harry et le vieillard ont su détruire les horcruxes. Tous ! Il n'en reste pas un seul ... Et mon âme est bien trop déchirée pour l'être encore. Pourtant, ce n'est pas l'envie qu'il me manque. Mais cela peut être dangereux, et je pense que cela ne marcherait pas. J'ai tué trop de gens et je ne regrette rien, sauf quelques bouts d'âme susceptibles d'être à nouveau découpés.
Je crois avoir fait le tour de tout ce qu’il y avait à dire sur moi jusqu’à aujourd’hui. D’autres éléments s’ajouterons certainement, mais la personne chargée de les écrire et de les publier s’en chargera elle-même.
PS : J’ai un problème x) En regardant les dates, Voldy a 16 ans lorsqu’il ouvre la chambre donc il devrait être en sixième année. Or quand je cherche c’est en cinquième qu’il a ouvert …
PS 2 : Les horcruxes sont-ils détruits ? Même ceux d’avant le tome 7 (genre le journal ? )
PS 3 : Rogue a toujours été du côté de Voldy & non pas de Dumbledore donc x) ?