Toutes mes salutations à vous, je me présente, Pandore Sunset Hastings. Je suis âgée de 16 ans. Je suis un(e) sang-mêlée. Mon statut est actuellement 3 et je suis fière de dire que je suis initiative. Je suis actuellement en sixième année, dans la maison des Gryffondor. Plus tard j'aimerai être ministre de la coopération magique et mon avatar est celui de Barbara Palvin. Si je devais vous donner quelques unes de mes qualités et défaut, ce seraient ceux-ci que je citerai
Douce
Aimable
Têtue
Violente
Passionnée
Torturée. Ma plus grande crainte ? Et bien la dernière fois que j'ai rencontré un épouventard il s'est transformé en la grande faucheuse, ayant mon visage. Vous voulez en savoir plus sur moi ? Et bien pour ça, vous allez devoir lire la suite !

Caractère et physique

Pandore est l’héritière d’une famille issue de l’ancienne noblesse. Malgré le fait que le nom et les titres n’aient pas été conservés, les valeurs de la famille Hastings ont traversées les âges et les générations. Ainsi pendant plusieurs années la jeune fille a été élevée de façon à la fois stricte et aimante, apprenant à respecter les autres et à s’affirmer, à tenir ses engagements et accepter les autres en faisant toujours preuve de douceur et de compréhension. De plus la politesse et la modestie ont toujours été des principes fondamentaux dans l’éducation de la jeune anglaise. A première vue la belle peut donc sembler timide, voir quelque peu effacée, mais pour elle montrer ses sentiments est une forme de vulnérabilité. Arborant souvent une moue indifférente ou un sourire énigmatique Pandore est généralement qualifiée de beauté froide, limite un peu effrayante. Pourtant ses grands yeux bleus sont toujours pétillants et plein de tendresse. En effet, lorsqu’on est amené à la connaitre, la jeune fille s’avère être quelqu’un de joyeux, affectueux et toujours prête à relever de nouveau défi. Ayant un certain mépris pour les règlements, il n’est pas rare de la voir se balader en pleine nuit dans les couloirs du château, d’aller gambader à la lisière de la forêt interdite ou encore de grimper jusque sur le toit du château. L’adrénaline que lui procure un jeu de cache-cache avec le concierge ou encore une bonne chute libre en balai à toujours eu un effet grisant sur la belle, lui apportant quand même souvent pas mal de problèmes et de nombreuses fractures. Comme vous l’aurez compris, ni le « danger », ni la douleur ne l’effrayent vraiment, seule la mort provoque chez elle une réaction de prudence. Bien que la brunette soit toujours propre sur elle, maquillée et plus ou moins coiffée elle cultive tout de même un côté garçon manqué qui peut en surprendre plus d’un. Il ne faut pas oublier que Pandore est une vraie tête de mule, quand elle veut quelque chose rien ne pourra lui faire changer d’avis. En aucun cas elle ne fera de caprice, ni n’insistera lourdement mais au final elle obtiendra ce qu’elle désir, sachez-le. De plus, lorsque quelque chose lui tient à cœur, elle peut en parler avec passion pendant des heures, ne tarissant jamais d’exemples ou d’arguments. Certain disaient pouvoir rester assis à l’écouter seulement parler tant elle était attendrissante lorsqu’elle se perdait dans ses histoires, les vivant presque à chaque fois.
C’est de cette manière qu’on aurait pu facilement définir la lionne il y a encore quelques mois de cela. Cependant les récents événements de sa vie l’ont profondément affectée. Aujourd’hui il semblerait que Pandore soit victime d’une totale bipolarité. A un moment son caractère de « base » peut ne rien avoir de différent et à un autre elle peut entrer dans des colères noires, et faire preuve d’une grande violence, allant jusqu’à briser des objets, frapper des gens ou bien même se mutiler. Ce qui bien sur ne lui était jamais arrivé auparavant. De plus Pandore est sujette à des crises d’angoisses fréquentes qui la paralysent ou la réveillent en pleine nuit après de terrifiants cauchemars. Aussi, elle alterne les phases de suractivité et de presque léthargie, restant assise les yeux dans le vague pendant parfois des heures, ne pouvant contenir sa douleur. Alors qu’avant elle avait foi en l’Homme, a ce jour pour elle personne ne mérite plus sa confiance. Malgré tout elle à beaucoup de mal à se détacher de ses anciens amis, car dans ses moments de lucidité, ils sont d’une aide importante. Cependant un léger écart s’est creusé entre eux car la belle ne veut plus souffrir de la perte de quelqu’un et encore moins qu’on la regrette. Quoi qu’il en soit elle s’est juré de ne pas perdre son temps avec l’amour tant que son objectif ne serait pas atteint car voilà ce à quoi on pourrait résumer la belle à ce jour : la vengeance. Pour Pandore rien ne pourra faire changer les choses si ce n’est elle, et n’ayant plus rien à perdre son corps et son âme sont dévoués à sa tache. Néanmoins si elle se sort sans dommage de cette histoire, une personne aimante devra prendre soin d’elle car la folie autodestructrice qui l’anime ne sera pas facile à calmer…

It's my life...

ACTE UN. On raconte que c’est dans le grand nord loin encore après Saint-Pétersbourg, lorsque les premières traces de sorciers ont été notifiées, que la branche maternelle de la jeune Hastings à vu le jour. Bien évidemment le nom n’était pas le même à cette époque et l’on se nommait Krassiv. Avec les hivers et les décennies, la famille de sang-pur migrait petit à petit vers le sud et ses grandes villes. S’enrichissant au passage, lorsque les Krassiv s’installèrent à Moscou sa renommée dans la région n’était plus à faire. De l’argent, des femmes très belles et des hommes imposants, tout les ingrédients pour la renommé et la gloire. De plus le don qu’avait la famille à fabriquer des décoctions apportant autant de solutions qu’il y avait de problèmes effrayait autant qu’il fascinait. Vous l’auriez donc compris, le business de cette famille de sorcier résidait dans la vente de potion. Cette entreprise perdura pendant des décennies encore… Cependant avec les événements du monde moldu la famille dû quitter la mère patrie dans les années 1917 pour s’installer en France. Elle y resta jusque l’année 1938 où elle migra enfin pour l’Angleterre. Depuis cette date, la famille Krassiv ne se déplaça plus qu’à l’intérieur du pays.
Quant au destin de la partie Hastings il est beaucoup plus simple. De toute son histoire il n’a jamais été noté qu’elle ait vécu en dehors de la région qu’elle dirigeait. Au fil du temps elle perdit ses titres et ses terres mais garda toujours une certaine renommée. Contrairement à la majorité de lignée de sang-pur, les Hastings n’accordaient pas vraiment d’importance à la pureté c’est donc pour cette raison que malgré le fait que toutes les naissances aient étés sorcières, on trouve quelques moldus dans le lignage.
Comme bon nombre de sorciers, c’est sur les bancs de Poudlard que la belle Alexandra Krassiva rencontra celui qui deviendrait son futur mari : Marlon Hastings.

ACTE DEUX. « Une petite sœur ? Jamais ! Jamais ! Jamais ! » Une porte claqua en on entendit rapidement les sanglots d’un petit garçon s’élever depuis la pièce voisine. Avec un soupire Alexandra se leva de son fauteuil et alla rejoindre son fils dans sa chambre. Après avoir doucement ouvert la porte, elle s’agenouilla devant l’enfant. « Lothar cesse donc de pleurer. Même si ton père et moi avons un autre enfant tu seras toujours notre petit prince. » « Pour de vrai ? » « Promis !» L’enfant essuya ses yeux et tendis son petit doigt à sa mère. Avec un doux rire celle-ci tendis le sien à son tour. Le pacte du petit doigt avait toujours eux quelque chose de sacré dans la famille. « Je pourrai en faire ma servante au moins ? » Alexandra eu un nouvel éclat de rire et embrassa son fils avant de quitter la pièce. Depuis cinq ans le petit avait l’habitude d’être le centre de toutes les attentions et cela lui plaisait bien, alors l’arrivée d’une petite sœur n’était pas du tout dans ses plans ! A tous les coups elle allait lui piquer ses jouets, sa chambre et tout l’amour des parents. Ca n’allait pas du tout lui plaire, pas du tout !
Quelques mois plus tard, le grand jour arriva. Alors que Marlon et Alexandra se réjouissait d’enfin accueillir leur fille, Lothar boudait comme prévu. Cependant il consenti tout de même à suivre ses parents à l’hôpital sans faire de caprice. Au bout de quelques heures on appela enfin le père et son fils pour qu’il puisse enfin découvrir la nouvelle fille de la famille. La tête basse, Lothar n’osait regarder le petit être qu’il affirmait déjà détester. Cependant Marlon le poussa en avant, l’obligeant à observer le nourrisson. C’est alors que le cœur du petit garçon fondit. Il s’assit sur le lit de sa mère et pris délicatement la fillette dans ses bras, lui caressant le visage du bout du doigt. « Bonjour mon petit soleil.» Marlon s’approcha de sa femme, un sourire sur les lèvres. Pandore avait réussis en quelques secondes à conquérir le cœur de son frère et les parents étaient à présent convaincus que les deux seraient invincibles face à l’adversité.

ACTE TROIS. « Crapaud ! Ramène toi, t’as reçu quelque chose. » On entendit des pas précipités dévaler l’escalier. Une porte s’ouvrit et Lothar reçu un coussin sur l’arrière de la tête. « Donne moi ça le moche ! » L’adolescent se leva et couru vers sa sœur, qu’il attrapa par la taille et balança sur son épaule avant de la faire tournoyer « Arrête ça ! Lothar arrête ! » « Qu’est-ce que ça devient ennuyeux une sœur quand ça grandit… » « Donne moi ma lettre ! Allez ! » « Quelle lettre ? » Pandore tambourina contre le dos de son frère qui éclata de rire. Il déposa la fillette sur le sol et lui tandis ce qu’elle attendait tant. « Je vais aller à Poudlard avec toi alors ? Pour de vrai ? » « Oui mon soleil. » Lothar embrassa sa sœur sur le front. Malgré l’enthousiasme de sa sœur, lui n’était pas si serein. Il se passait des choses étranges dans le monde des sorciers et la brunette n’avait été préservée que parce qu’elle était encore trop petite pour comprendre. Mais une fois à Poudlard toute la réalité du monde se déverserait sur elle… Et sa petite sœur était bien trop innocente pour accepter d’un seul coup la cruauté du monde. Lothar se jura alors intérieurement que rien ni personne ne ferait du mal à son soleil.

Plusieurs années passèrent et malgré le fait que l’enfant ait tout découvert de l’engagement de ses parents au sein de l’Ordre du Phoenix et de son frère avec l’AD, jamais elle ne s’engagea dans une quelconque action. Lothar y était formellement opposé. Cependant, et pour que Pandore respecte cette règle, il lui avait promis qu’il ferait en sorte qu’elle rentre dans l’une des organisations lorsqu’elle serait majeure si la situation ne s’était pas améliorée. Rapidement les espoirs de Lothar se trouvèrent brisés lors de la Bataille de Poudlard à laquelle il participa avec ses parents. Pandore avait heureusement été mise à l’abri. Mais cette longue nuit eut de terribles conséquences. Au petit matin, la jeune fille pu enfin retrouver son frère. Morte de peur, elle s’effondra dans ses bras. Pourtant, elle sentait que quelque chose n’allait pas… Elle leva les yeux vers son frère. Pour la première fois, elle le voyait pleurer. Son cœur se mis à battre fort, ses mains à trembler… Avant qu’elle n’ait pu dire un mot, Lothar pris la parole : « On a perdu… » « Maman ? Papa ? » « … Ils sont… Papa a été tué. Maman capturée… » Pandore s’effondra alors. Elle n’avait plus que son frère sur qui compter à présent. « Jure-moi qu’on les vengera… »

ACTE QUATRE. Cela faisait quelques années déjà que les enfants Hastings avaient appris à se débrouiller sans leurs parents. Depuis la tragique nuit, ils n’avaient plus eu de nouvelles de leur mère. Malgré la douleur, avec le temps les deux avaient réussis à se reconstruire. En quittant Poudlard, Lothar avait officialisé son entrée dans l’Ordre afin de poursuivre la tache entreprise par ses parents, et par respect Pandore ne trahis pas la promesse qu’elle avait fait à son ainé. Elle ne rejoindrait l’AD que lors de son entrée en septième année. Déjà qu’elle avait été cataloguée 3, si en plus le ministère avait découvert qu’elle faisait partie de l’organisation personne n’aurait donné bien cher de sa peau… Même si la vie était difficile, Pandore conservait sa joie de vivre et tout ce qui faisait que les gens l’aimaient tant. Une battante cette fille, une vraie lionne comme disait certain. Pourtant, une nouvelle fois le destin allait s’acharner sur la belle…

Une nuit d’été, Lothar et Pandore profitait des vacances de la jeune fille pour passer du temps ensemble. Le garçon avait même refusé des missions pour rester avec celle qu’il appelait son soleil. Aujourd’hui plus que jamais le frère et la sœur étaient liés à la vie, à la mort. La rue était déserte, les éclats de rire de la Gryffondor s’élevaient en cascade tandis que son frère continuait de lui conter ses mésaventures passés. L’un et l’autre était heureux à ce moment présent. Le monde pouvait exploser, ensemble ils surmonteraient toutes les épreuves. Soudain, un craquement retenti. Lothar se crispa tandis que Pandore sentit son cœur se serrer. Quelque chose d’étrange se passait. Et en une fraction de seconde un éclair traversa la rue. La belle se jeta sur le sol alors que son frère se relevait tant bien que mal. « Expelliarmus ! » « Joue pas les héroïnes ! Dégage de là, rentre à la maison ! » « Pas sans toi. » « Bouge ! » « Lothar ! » Grâce au cri de sa sœur, le jeune homme réussis à éviter un sors qui fit s’exploser le mur derrière lui. L’ancien Serpentard attrapa la brunette par le poignet et détala à vive allure. « Il faut prévenir l’Ordre. » « Je vais les retenir, va chercher de l’aide. » En une fraction de seconde Pandore serra son frère dans ses bras et disparut dans une autre rue. Jamais elle n’avait couru aussi vite. Ses poumons brulaient, sa tête lui tournait et au fond de son estomac elle sentait qu’elle allait bientôt vomir. Mais la vie de Lothar était en jeu. Bientôt elle arriva dans l’un des lieux où elle savait pouvoir trouver de l’aide. « Lothar… Embuscade… » « C’est trop tard gamine. » « Non ! Il faut y aller ! Lothar a besoin d’aide ! » Après plusieurs minutes de négociation, la belle réussis enfin à entrainer derrière elle plusieurs membres. Grâce au transplanage ils arrivèrent bien plus rapidement sur place. « Nom d’une chouette, Hastings tient encore debout ! » Le cœur de Pandore s’emplit de fierté. Personne ne réussirait à tuer son frère, personne. Pourtant, au même moment un éclair dévia et frappa le jeune homme. Pandore poussa un hurlement. Autour d’elle la bataille continuait, mais elle s’en fichait. Elle se jeta au cou de son frère. « Lothar ! Lothar tu m’entends ? » Le jeune homme attrapa la main de sa petite sœur. Les larmes coulaient sur le joli visage de la lionne. « Non pas toi, me laisse pas, s’il te plait. » A présent le visage de l’ainé de tordait de douleur. Le sortilège qu’on lui avait lancé était atroce et non annulable : au prix d’une atroce douleur, il faisait s’arrêter le cœur de battre. « Lothar… » Le jeune homme ouvrit les yeux « Mon petit soleil… Ne fait pas de bêtises… Je t’aime » « Je t’aime aussi grand frère. » Un sourire s’afficha sur le visage du garçon alors qu’il rendait son dernier soupir. Pandore éclata en sanglot alors que la bataille prenait fin au même moment. « Je suis désolée gamine… » Mais rien n’atteignait la belle, aucun mot de traversa le mur de douleur qui s’était érigé autour d’elle. A partir d’aujourd’hui elle était totalement seule. Personne n’avait rien fait pour éviter ça, personne n’avait agi pour changer les choses. Ses parents étaient morts à cause du Lord Noir et son frère avait péri par la lenteur de l’Ordre. Personne ne méritait sa confiance. Il lui fallait autre chose. C’est ainsi, qu’aveuglée par son chagrin, Pandore rejoignit les Initiatives lors de son entrée en septième année…