Invité Invité Sujet: Gabrielle Flemming - Les contes de fée existent-ils encore ? Jeu 27 Déc - 20:09 Gabrielle Angela Flemming
« L’ange est le musicien du silence de Dieu »
Info sur le joueur ? Passe ta souris ici ! Okay, okay les peoples, peut être que vous ne me connaissez par irl, mais ig je suis une célébrité ! Et oui je suis
votre perverse favorite ! Vous n'y croyez pas que je sois venue ici, hein ? Pour cela vous devez remercier
moi-même, je m’aime, je m’adore . Sinon que dois-je vous dire ? Du haut de mes
16 printemps , je pense que le forum est
une tuerie . Est-ce que j'ai un autre compte compte ? Et bien je
Angel et Alar’ . Et vu que je suis une superstar j'ai l'honneur de vous annoncer que
je vais aime, mais chut, c’est un secret .
VIDEOToutes mes salutations à vous, je me présente, Gabrielle A. Flemming . Je suis âgée de 16ans . Je suis une sorcière de sang mêlé [/b]. Mon statut est actuellement niveau 2 et je suis fière de dire que je suis neutre . Je suis actuellement en 6ème , dans la maison des Gryffondor . Plus tard j'aimerai être Médicomage et mon avatar est celui de Natalie Portman . Si je devais vous donner quelques-unes de mes qualités et défaut, ce seraient ceux-ci que je citerai Douce Intelligente Curieuse Agile Solitaire Impulsive Franche . Ma plus grande crainte ? Et bien la dernière fois que j'ai rencontré un épouventard il s'est transformé en de l’eau . Vous voulez en savoir plus sur moi ? Et bien pour ça, vous allez devoir lire la suite !
Caractère et physique 1ere rencontre : effleurement d’épaule et chute de livres.
« Je ne faisais pas vraiment attention où je mettais les pieds, plutôt occupé à rire et à regarder les jolies filles qui gloussaient sur mon passage. Mais quelque chose me rentra dedans, et si moi je réussis à garder l’équilibre, ce ne fut pas le cas de la petite chose qui m’avait bousculé. Ou peut-être était-ce moi ? Cela n’avait plus vraiment d’importance. Je me laissais entraîner à la suite de mes copains, jetant tout de même un regard en arrière. C’était une jeune fille portant l’uniforme des Gryffondor, aux cheveux d’un caramel si doux qu’on pourrait les caresser pendant des heures. Je ne vis pas son visage et j’aurai du revenir sur mes pas et l’aider à ramasser ses livres. Mais ils m’entraînent déjà et elle disparaît au détour d’un couloir. Je hausse les épaules et je l’oubliais tout en souriant à la belle Juliette. »
2e rencontre : Dragées Surprises de Bertie Crochue et main légère
« J’étais dans la salle commune lorsque je la reconnue. Voir ses cheveux briller à la lueur du feu de bois raviva en moi les souvenirs d’hier. Elle était dans ma maison et je ne l’avais jamais remarquée. Le nez plongée dans un livre bien plus gros que son maigre corps, elle semblait distante et solitaire, les autres ne la remarquaient pas non plus. Avait-elle des amis ? Sans même y réfléchir à deux fois, je me lançais à sa rencontre. Et si je voyais son visage pour la première fois, ce ne fut pas le cas pour elle puisqu’elle m’appela par mon nom de famille, me demandant ce que je lui voulais. Surpris, je me sentis également gêné de l’avoir accosté de la sorte sans penser à ce que j’allais lui dire. M’excuser serait une bonne chose … mais ce n’est pas ce que je fis. Son ton neutre, distant, avec une pointe glaciale m’avait un peu piqué au vif. Je lui dis qu’elle devait faire attention, qu’elle devait sortir de ses bouquins aux risques de blesser quelqu’un, et s'en suivit d'une réflexion dont je n'étais pas fière, la comparant à un vulgaire rat de bibliothèque, isolée, sans amie. Il en fallait bien peu pour qu’elle s’enflamme et pour que notre discours s’envenime. Je découvris alors une petite boule de feu, tout à fait charmante et surtout très susceptible. Je me suis retrouvé avec des dizaines de dragées dans le caleçon et avec en bonus une trace rouge sur la joue. »
3e rencontre : Entrainement et reconnaissance
« Chaque fois que nous nous croisions, les regards noirs sortaient leurs éclairs et cherchaient à foudroyer l’autre. Parfois, je voyais ses doigts titiller sa baguette. Vraiment soupe au lait. Une vive tension régnait entre nous et ce n’était pas à moi de faire le premier pas. Ou plutôt si, mais je n’en avais guère l’envie face à une telle furie. Et quelle ne fut pas ma surprise lorsque je la vis entrer sur le terrain pour les sélections de l’équipe. Elle se présentait au poste de poursuiveur et c’était une chance puisque j’étais moi aussi poursuiveur. Et je suis surpris par l’expression que prit son visage, il y avait une note de défi, de hargne et d’envie de vaincre, cette volonté de fer que rien ni personne ne pouvait arrêter. Elle était le roseau qui se pliait mais jamais ne se rompt. J’étais impressionné et c’est avec plaisir que je la vis jouer, et nos échanges de balle furent plutôt habiles, en symbiose, juste parfait. Quand tout cela prit fin et qu’elle fut acceptée au sein de l’équipe, je fis mes excuses … et elle les accepta. Et c’est à cet instant que je remarquais la douceur de sa voix et de ses traits, une gentillesse débordante qui se cachait derrière la solitude et le rat de bibliothèque. »
4e rencontre : devoir de métamorphose et début d’amitié
« Le lendemain, nous nous retrouvons ensemble à faire un devoir. Elle était prête à le faire seule, mais je me suis imposé. Et alors que je croyais qu’elle aimait cette solitude, je vis ses lèvres se fendre en un large sourire. Non, définitivement, cette fille était timide, impulsive, peu bavarde, mais pas aussi antisociale que cela. »
C’était donc le récit du meilleur ami de Gabrielle. Il va de sa première impression jusqu’à la découverte profonde de son âme. Et pourtant, il y a tant de choses qu’il ignore comme sa peur de l’eau. Incapable de nager, Gabi se noierait en moins de trois secondes. C’est pourquoi elle ne s’approche jamais du lac. Mais ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est la compétition. Poursuiveuse, elle a la rage de vaincre et l’en empêcher serait se mettre une furie sur le dos. Le vol, une façon de libérer son esprit, de tout oublier et de virevolter dans le ciel infini. Et puis, il y a son point faible. Jouez-lui un petit air de musique et elle ne résistera pas. La mélodie qui s’enchaîne, les doigts qui volent sur le clavier entraîne son esprit dans une danse des plus exquises. Parfois, elle chantonne un peu et on découvre alors une voix cristalline et pure, presque envoûtante. Il lui arrive parfois de grimper sur les toits et de sautiller sur le muret qui la sépare du vide, de tourner et de danser tel une gymnaste sur sa poutre. L’agilité, c’est son truc. Sa souplesse est telle qu’on pourrait la comparer à un félin, bien que parfois elle manque de grâce et de tact.
It's my life... Du haut de sa tour, une jeune fille est assise sur le rebord de sa fenêtre, les jambes se balançant dans le vide sans que la moindre trace de peur ne vienne défigurer son doux visage. Ses cheveux se balancent au grès d'une brise légère qui fait naître en elle quelque frisson. Du haut de sa tour, la jeune fille ressemble à cette princesse moldue enfermée et attendant qu'un prince charmant vienne la délivrer. Mais ces histoires sont bonnes pour les petites filles. Est-ce que les princes existent encore dans ce monde où l'obscurité semble avoir pris le dessus ? Gabrielle n'y croit plus vraiment.
Enfant, sa mère adorait l'habiller de jolies robes, comme une petite poupée qu'elle exhibait ensuite fièrement aux autres mamans. Elle était sa petite « princesse ». Et Gabrielle riait aux éclats, illuminant sa petite bouille d'ange. Pour ce qui est de ses prénoms, son père était issu d'une famille moldue très pieuse et il avait gardé quelques traces de son éducation religieuse. Gabrielle veut dire force de Dieu en hébreux, et c'est aussi l'un des archanges qui annonça à la vierge qu'elle aura un enfant issu de Dieu, d'où son deuxième prénom Angela. Pour le Flemming, n'y voyait pas le lien avec le célèbre inventeur de la pénicilline, mais qui assure à tous ses origines mêlées. Quand elle eut grandi et qu'elle sut se ternir sur ses petites jambes, son père, Mickaël, l'emmena faire une balade en balai. Mme Flemming ne fut jamais mise au courant de cette aventure mais le doute s'est installé quand elle commença à demander un balai pour son anniversaire. Les deux parents étaient incapables de la tenir en place et encore moins quand elle eut son fameux balai. C'était un spécial enfant, qui ne volait pas bien haut ni très vite, mais cela suffit pour calmer les ardeurs de leur petite ange … du moins pendant quelques temps.
Et puis, les jours sombres approchaient. Des jours effrayants et Gabrielle voyait bien les regards inquiets de ses parents surtout que la rentrée approchait pour leur précieux trésor. Était-il nécessaire de l'inscrire à Poudlard ? La question resta longtemps dans leurs esprits sans qu'ils ne sachent que faire. Et la lettre arriva. Il était trop tard, Gabrielle l'avait déchirée et explosait de joie d'aller enfin à Poudlard, l'école où avaient étudié ses parents. Ils lui en avaient tant parlé et le grand jour était enfin arrivé. Il n'avait pas le droit de décevoir leur enfant, pas sur Poudlard.
Gabrielle avait déjà été au chemin de traverse, elle connaissait les rues par cœur, mais là, c'était un grand jour et elle voulait acheter tout le nécessaire pour réussir sa scolarité et être la meilleure sorcière. Et puis, elle allait peut-être même rencontrer l'élu. Elle était tellement excitée mais ce ne fut pas vraiment comme elle l'avait cru. L'endroit était enchanteur, magique et époustouflant, le choixpeau l'a même répartie à Gryffondor, la maison de ses parents. Mais l'ambiance était toute autre, sombre et tendue. Des querelles éclataient entre les élèves et jamais elle ne pensait que la guerre entre les Serpentard et Gryffondors soit si importante. Plusieurs fois, elle fut attaquée par un groupe, il l'avait pris en grippe et comptaient bien faire d'elle leur souffre-douleur. Mais il y avait toujours des gens plus âgés de sa maison pour veiller sur elle, même lorsqu’elle entra en deuxième année et que Rogue prit la place de Dumbledore.
Gabrielle aimait bien ce vieil homme, et voir cette chauve-souris à sa place était un spectacle écœurant. Ses parents avaient hésité à la réinscrire, mais sous la pression, ils n'eurent pas le choix. Mickaël était surveillé au ministère et s'il voulait garder sa famille en vie, il devait agir en bon sorcier. Mais l'année ne fut pas de tout repos pour Gabi. Plus de défense contre les forces du mal mais plutôt l’apprentissage des forces du mal. Les frères Carrow voulurent apprendre aux plus grand l’usage du doloris sur les plus jeunes, entre autre les premières et deuxièmes années. Jamais elle ne pensait souffrir autant, se fut le pire moment de toute sa vie. Et elle pensait encore à Harry Potter qui allait tous les sauver. Gabrielle était bien naïve à cette époque. Mais l’année suivante, tout allait changer.
Harry Potter était mort et l’espoir avec lui. Gabrielle fut triste mais aussi en colère envers elle-même pour avoir cru au prince charmant qui allait tous les sauver du grand méchant Voldemort. Les contes de fée n’existent pas. Lorsqu’elle retourna à Poudlard, Gabrielle avait changé. Plus mûre et entrant dans une période d’adolescence, elle dévoila un caractère de feu. Ses mains étaient connues pour être légères et foudroyantes, et ses coups de poings dévastateurs. La furie, c’était ainsi qu’on la surnommait parfois. Mais il fallait juste la titiller pour voir cette tornade, la plus part du temps elle reste seule, dans ses livres parfois discutant avec quelques camarades. Beaucoup de gens l’adore, il est vrai que c’est une fille très nature, franche, directe, et tout à fait charmante. Et c’était sans oublier cette beauté qu’elle développait petit à petit. Mais elle avait toujours au fond des yeux une lueur terne de résignation. Le prince ne viendra jamais.
Et puis trois ans passèrent, elle entamait sa sixième année. Poursuiveuse, elle défendait son équipe avec hargne. Gagner était son objectif et rien ni personne ne se dresserai sur son chemin. En développant cet esprit, Gabrielle chercha aussi à se défendre, s’entraîner et se battre. Non pas contre une personne en particulier, ni contre un camp, mais pour elle. Oui, l’égoïsme prenait peu à peu possession de son cœur, et dans un tel univers, cela devenait nécessaire. On ne peut faire confiance à personne, et elle ne faisait confiance à personne … ou presque. La répartie, elle connaît, tout comme la vengeance et l’art de faire mal. Œil pour œil, dent pour dent. Ceux qui avaient osé l’humilier n’osaient plus la regarder en face. Cruelle ? Oh oui, mais pas par pur plaisir malsain. Juste avec ceux qui lui cherchaient des noises. Il reste un peu de douceur et de gentillesse en elle, mais bien caché pour que personne ne le voit et ne l’exploite. La solitude reste sa meilleure amie et son meilleur bouclier.
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Dernière édition par Gabrielle A. Flemming le Ven 28 Déc - 13:17, édité 1 fois