It's my life...Sans aucun doute, on pourrait figer le temps et dire « quelle belle image de carte postale ». Même si, cette image nous fera ne pas ressentir cette brise légère. Cette odeur salée de l’eau, on ne pourra que l’imaginer. Elle est là la mer, si calme, pure et douce. Bordant la plage, sereinement. Les cumulus sont partis en voyage, laissant place au dieu solaire. Oui, merveilleux… Un moment qui pourrait faire rêver. Sauf que les songes n’ont pas leur place sur ce terrain. Nous ne sommes pas sur une de ces iles paradisiaque ou il fait bon de se balader au bord des plages. Si l’ont regarde au loin de plus près, de beaucoup prés. Vous la voyez à présent, telle une poupée de porcelaine. Cette fille allongée dans le sable fin. Sa position n’a rien de paisible, non, elle souffre. Pourquoi ? Regarde sa main plaquée sur son flanc gauche, ce liquide métallique et poisseux qui coule entre ses doigts abondamment. Ouvre grand les yeux, l’idiote à retirer une lame tranchante de ses entrailles. Le poignard git plus loin, ensanglanté. De nombreuses entailles sur ses bras puis ses mollets. Elle s’est battue ? On l’a attaqué ? Qui peut le savoir à part elle… Elle git ainsi, sans le moindre mot douloureux aux bords de ses lèvres. Les rayons du soleil lui brulent les paupières, les lèvres, sa peau s’assèche et brule. Dans ce foutu pays où il ne fait jamais beau, pourquoi faut-il qu’il soit radieux et chaud aujourd’hui ? Pourquoi ?... Sa respiration se fait de plus en plus faible, sa main se relâche et glisse contre le sol lentement. Une fatalité, son sang se mêle avec le sable fin. Si près de son monde, c’est là qu’elle doit mourir ? Puis, y a cet homme plus loin, lui aussi ne bouge plus, il semble aussi mort qu’elle. Est-ce une sorte de rituel a mort qui les a mener ainsi ? He ben, je vais tout vous raconter avant qu’ils ne meurent ou pas…
Je me présente, Je m’appelle Mordrewlig mais tout le monde m’appelle Drew. Détail dont on se fout c’est moins horrible, plus prononçable, plus court et plus simple. La vérité, c’est que cette fille qui est entrain de mourir, c’est moi. J’aimerais dire en un seul mot ce qui s’est passé, seulement, c’est bien plus compliqué que cela. Il va falloir que je commence par le début de l’histoire, en espérant que je ne claque pas entre temps. Cela commence à des milliers de kilomètres d’ici, à plusieurs miles de profondeur. Dans le grand océan pacifique, en son joyau vit mon peuple. Peu importe ce qui disent les légendes, nous régnons dans les profondeurs inexploré par les humains. Mon père est un seigneur de notre époque et de notre monde, un homme important, respecté et craint de tous. Il est le protecteur et le conseiller du plus important dignitaire de la famille royale des sirènes. Notre Roi. Depuis des générations, mon père a forgé une réputation de fer à la protection du royaume. Forgeant les meilleurs soldats et les meilleurs gardes du corps royaux. Tous de sa propre lignée. Il va bientôt avoir 432 ans, ce n’est pas rien. Mes frères de 300 ans et plus se disputent déjà son héritage. Tous rêves de pouvoir gouter à la puissance et au pouvoir. Moi, et bien moi, je suis la dernière de… Je ne serais vous dire le nombre de mes frères et sœurs. Sachez seulement, qu’on est conditionné au plus jeune âge pour devenir des protecteurs et des tueurs. Mon paternel est si admirable, si fort, si puissant… Je l’admire, sans l’avoir connu pendant une seule seconde. Je le crains comme tous, son pouvoir est illimité, on dit par chez moi que même les dieux l’envie. Les requins et autre prédateurs de notre monde lui voue fidélité. Il forgé une armée de sa famille et de ses alliés les plus monstrueux. Des étoiles dans les yeux, enfant je rêvais de pouvoir faire chavirer un bateau avec lui et ses soldats. Ou encore mener l’un de ses puissants requins jusqu’à une plage. Mais, en ce temps-là, le moment n’était pas encore venu. Je devais passer l’épreuve. Celle qui prouve qu’on peut être un défendeur du royaume, digne de prêter serment devant le roi. Une fois, cette épreuve passé, je pourrais jouer dans la cour des grands. Pour le moment je ne suis même pas un têtard.
Ma tutrice m’apprend seulement ce que je dois savoir avant de commencer l’épreuve de passage. Car lorsque j’atteindrais l’âge de dix ans, elle ne pourra plus m’aider. L’épreuve commence a dix ans et dure 50 ans. Elle consiste à se rendre chez les humains. Vivre avec eux pendant 50 ans, survivre et les détruire. Tu dois faire le plus de victime avec subtilité, tu dois démontrer ta puissance et ton ambition sans jamais, non jamais, devenir un véritable humain. L’erreur est arrivé à plus d’un d’entre nous, ils se sont laissés avoir par les émotions humaines. Ceux-là, sont bannis à tous jamais du monde des océans s’ils ne sont pas tués immédiatement. C’était mon tour, je suis la petite dernière, j’ai dix ans. Si j’ai une petite sœur ou un petit frère je le serais qu’à mon retour. Et lorsque je reviendrais qui sait, mon père ne sera peut-être plus seigneur des armées, l’un de mes frères aura pris sa place. On raconte que la vie d’une sirène s’arrête à 500 ans… La mienne ne fait que commencer, de têtard je veux devenir requin, faut-il encore que je réussi l’épreuve. C’est moins facile que je l’avais imaginé lorsque j’étais en sureté dans les profondeurs de notre peuple.
Mon premier jour sur la terre fut le plus éprouvant de tous. J’avais l’apparence d’une humaine, mais, aussi ses faiblesses. J’avais l’impression que l’aura de Poséidon m’avait abandonnée. Que pouvais-je faire sans le don des océans. Marcher était difficile dans un premier temps, marcher sur le sol dur et rocheux me faisait souffrir. Mes écailles que je chérissais se sont envolées, emportant aussi ma force. Que me reste t il a part un corps si fragile et enfantin ? Je me souvenais des leçons de ma tutrice, j’ai 24h pour m’affaiblir, ensuite je deviendrais aussi sèche qu’une feuille morte et je mourrais. Ma seule chance de survie dans ce monde était l’eau. Salé ou douce, elle n’est pas seule raison de vivre chaque jour, et je devrais me battre pour l’obtenir chaque jour durant. Débuter sans rien, sans guide était le plus difficile. Mais, d’une certaine manière, j’étais béni des dieux de l’océan. Mes sœurs m’arracheraient les écailles si elles savaient l’aide que j’ai eu. Dix jours à errer, mais dix jours de pluie qui m’ont aidé à parcourir avec force ce long chemin, l’eau des cieux m’a guidé au fond des terres infernal des mortels. C’est là, que j’ai rencontré ma chance. Morpheus. C’est un banni, je me rappelle du grand procès. Il a été chassé, banni des terres océaniques, et condamné à mort s’il revenait. Morpheus est l’un de mes frères, cependant il a bafoué notre code et nos rites. Il a voué amour pour une humaine. Mon peuple à attirer cette dernière à la noyade pour le punir. Cependant, il n’a pas changé, il préférer prendre refuge chez les humains. J’étais dégoutée et révoltée que ce sale traitre me tende la main. Je refusais de le suivre, mais, je n’avais pas le choix de le suivre, il est habituer au monde des mortels, en plus d’être un homme fort.
Avec les années, je m’habitue, j’avais gardé refuge chez mon frère alors que j’aurais pu m’enfuir y a déjà des années. Il avait espérais me faire rompre le code, renoncer à l’épreuve. Il fut seulement déçu. Malgré, nos désaccords, je vécu avec lui quelques années. Lui qui avait survécu à l’épreuve y a 5 ans, il m’apprit ce qu’il savait. Morpheus travail comme soigneur pour animaux chez les humains. Dans une espèce d’endroit où on enferme les créatures. Je venais souvent avec lui, c’est là-bas, que je découvrais sa façon de survivre. C’est un parc aquatique. En revenant ici le soir, il avait toute l’occasion de nager parmi les animaux marins. Prenait plaisir à rejoindre, les lamantins, les requins ou encore les dauphins. Pouvant chanter comme je pouvais le faire avant au fin fond des océans parmi les poissons divers et variés. Lorsque, j’ai atteint mes quatorze ans, je me sentais prête à sortir de l’ombre. Morpheus m’avait déjà bien mise en garde contre les dangers de ce monde. Il m’a appris à les éviter et aussi à me battre comme une humaine et manier les armes comme une humaine.
Mes pas m’avaient mené jusqu’aux murs qui traite de cette conférence. Je pouvais lire sur l’affiche, chasseur de prime. Cependant, je ne prenais pas la peine de pénétrer le bâtiment, une mineure de ce monde se ferait recalé. Quelques gouttes glissèrent sur mon bras, la pluie fait son arrivée pour mon plus grand bonheur. Je remarque cet homme, grand brun à l’air plutôt ténébreux mais si jeune qu’il parait presque enfantin. Je ne sais pour qu’elle raison, mon aura me disait le suivre. Je sentais qu’une première épreuve allait venir à moi, une épreuve digne d’une sirène. Discrètement, je le suis sans qu’il s’en rendre compte, même si parfois il se retourne. Mais, cela ne vient pas de moi, non, il est méfiant pour autre chose. Cet humain a quelque chose à cacher. Cette traque s’arrêtera dans une ruelle sombre et isolé de tout. Lieu inquiétant. Des hommes en noirs apparaissent autour de lui. Une femme et deux hommes. Je fixe la scène, en voyant la baguette de la femme se lever, je me souviens des paroles de Morpheus. Quoique tu fasses Drew, ne t’approche jamais des sorciers, et surtout pas des mangemorts. Des mangemorts, ce sont eux… Ils font du mal au jeune garçon. Je me fiche de ce que pense mon frère, les sorciers me font pas peur. Je sortais de ma cachette, m’approchant pas à pas d’eux en toute tranquillité. Ils me remarquèrent assez vite. L’un de ces hommes à l’air menaçant prête un pas vers moi, il me prenait sans doute pour une moldue qu’il pouvait abattre facilement. Les sorciers connaissent mal le pouvoir des sirènes, c’est limite s’ils ont conscience de notre existence. La pluie glaciale me donne une force supplémentaire. Ma voix transperce les ténèbres avant qu’il me jette le moindre sortilège. L’envoutant avec mon chant en quelques secondes, il s’en retourne contre ses collègues les tuant net d’un avada kedavra. J’arrête de chanter en fixant l’homme brun au sol. Est-il mort ? Le sorcier mangemort, reprenait vite ses esprits, prêt me donner le même sort qu’à ces collègues. Je ferme les yeux. Par Poséidon, je me concentre faisant un vide immense. Je draine l’eau qui se trouve dans l’organisme de cet homme. Jusqu’à son cerveau, bientôt, il ne bouge plus. J’ouvre les yeux, l’eau prend possession de chacune des facultés de son cerveau. Le voilà qui ne pouvait même plus parler, sauf comme un bébé le ferait. Je venais de détruire son ensemble cérébral, ce qui lui sert à parler, à marcher, à penser, à suivre un libre arbitre. Le voilà devenu un parfait légume dont on ne sait quoi en faire dans les hospices. Sans le moindre remords, pitié ou peine pour lui, je le regarde s’étendre sur le sol comme une merde. Puis, je saute au-dessus de lui. Je devais peut être finir ma première journée de meurtres sur terre par ce joli brun. Dommage s’ils l’ont tué avant moi…
M’approchant du garçon, je m’aperçois qu’il est encore en vie. Il me saisit vivement le poignet me menaçant avec sa baguette, me reprenant contre lui dans une position peu inconfortablement. Après des menaces ridicules, il me demande :
«
Qu’est-ce que tu es ? » Dans un petit sourire amusée, je lui répond. «
Tu es un chasseur de prime n’est-ce pas ! On dirait que tu as de gros soucis avec ces trois-là, tu me dois la vie. Tu m’appartiens maintenant, ou tu meurs… » Il me relâche en me menaçant toujours de sa baguette. «
Va te faire voir sale gamine ! » Il croyait pouvoir me résister et survivre alors qu’avec toute cette pluie, je peux manipuler l’eau à volonté. «
Je veux être un chasseur, apprends-moi, et nous serons quittes. » Il répliqua plusieurs fois, au risque de m’agacer. Une fois que je n’avais rien besoin d’apprendre apparemment, et ensuite que j’étais trop jeune. Mais, au bout du compte il baissa sa baguette, et devait avouer que sans ma présence, il serait sans doute mort. Il accepte alors à ses risques et périls mes caprices.
Il s’appelle Lionel, c’est un sorcier et aussi un chasseur de prime. Il est ce qu’on appelle chez eux un né moldu. Il m’apprit à chasser de façon bien plus subtile, approfondissant mes connaissances dans le combat et les armes. Au bout du compte avec les années j’ai commencé à bien l’aimer cet humain. Même si je ne comprends pas encore ce que Morpheus trouve de si bien en eux. En plus, y a ce petit côté agaçant qui revient sans cesse chez Lionel. Il croit devoir me protéger parce que je suis une sirène, l’idiot. Comme si je ne pouvais pas me défendre toute seule, je suis bien plus dangereuse que n’importe qui… Qu’il ose dire le contraire et je lui ferais bouffer ses tripes. Sans doute que j’aurais dû mieux écouter Morpheus et Lionel, car il est vrai que les sorciers convoite les sirènes. Etrange objet de collection pour les sorciers les plus morbides, d’autres veulent seulement trouvé la source de notre pouvoir pour l’exploiter. Lionel m’a sorti d’un mauvais pas cette fois-là, devenant lui aussi une cible. Il a réussi à me faire sortir de cette prison, on s’est enfui pendant plusieurs jours. Ils nous traquent… Sans relâches. Jusqu’à ce moment fatidique où ils ont pu nous retrouver. Tout ça à cause de ce foutu loup. Il nous surprit dans la nuit, il a mordu Lionel et m’a griffé à plusieurs reprises, nous affaiblissant. J’utilise ce qu’il me restait de force pour noyer le loup garou avec l’aide d’une simple flaque d’eau. Mais, je fus surprise pour nos traqueurs et l’un d’eux me poignarda. Lionel eut le réflexe de m’attraper et transplaner près de la mer, encore basse, trop loin pour que je puisse me régénérer de mes blessures. L’aube se lève à peine. Nos ennemis nous avait vite rejoins et l’un d’eux frappe Lionel d’un maléfice vert, le sortilège de la mort, il git plus loin raide mort. Quant à moi, je sens mes blessures m’emporter j’eus seulement la force de retirer la lame qui me transperce.
Et voilà, nous arrivons là où je voulais en venir, tout ça pour arriver à crever sur cette foutu plage. Ceux qui voulaient me capturer ont tenté de me soigner sans succès. Il me laissait mourir à petit feu pendant que plus loin ils se disputent sans doute pour savoir comment ils vont annoncer cela à leur maitre. Mes paupières se ferment petit à petit. Le soleil à fit son apparition en haut. Par Poséidon j’ai échoué, l’épreuve aura duré si peu de temps pour moi. Je suis une honte pour mon sang… Pourtant, une chaleur saisissante me réveille. La marée est remontée, l’eau est venue se hissé jusqu’au bout de mes doigts. Mon regard se tourne vers l’immensité de la mer. Depuis 7 ans, je n’avais pas vu, si belle, j’étais enfermé dans les terres arides des hommes.
Une autre vague, vient se glisser cette fois touchant une plus grande partie de mon corps. L’eau pénètre en moi, me guérissant de mes plaies en quelques secondes. Ma guérison sera totale lorsque je plongerais dans les eaux. J’avais la force de me redresser, et me lever. Je fixe au loin ceux qui se disputent, mes ennemis. Malheureusement, il me remarque, comprenant qu’ils ont bien foiré et que je ne devais pas retourner dans l’eau. Cependant, je me mise à courir le plus rapidement possible avant de sauter dans l’eau lorsque ce fut assez profond de justesse avant que des sortilèges de fusent. Mes jambes disparaissent pour laisser place à une queue de poisson. Ma peau devient plus livide et pure, parsemé d’écailles par endroit sur mes avant-bras mon cou et autour de mon bassin. Mes doigts se palment. Ils ont tués Lionel et ils ont tentés de me tuer aussi. Ma rage est telle que la beauté passe à l’horreur. Ma peau prend la couleur d’un bleuté féroce, une crête écailleuses se forme dans mon dos. Des longues griffes mortelles se forment à la place des ongles, mon visage prend la forme d’une animal enragé déforment mes traits qui n’ont plus rien de semblables à celui des hommes. Mes dents se multiplient telle une mâchoire miniature d’un requin. Je veux les tuer.
Ces sorciers avait courus dans l’espoir de pouvoir m’arrêter avec un sortilège jusqu’à tremper les pieds dans l’eau. Ma fureur est telle que l’eau j’agite dangereusement, les vagues frappant les rochers jusqu’à les dévorer avec férocité. Les vagues s’agrandirent, emportant les sorciers avant qu’ils ne fuient. Un précieux ami avait répondu à mon appel, je m’accroche à la nageoire du requin lorsqu’il vient dévorer avec cruauté ces êtres infâmes sous mon ordre. Les réduisant en charpies, leurs restes qui écument les flots nourriront les poissons.
L’eau reprit son calme, ma colère s’apaise. Mes traits reprirent leur beauté. Je retourne vers la plage, reprenant mes jambes humaines. Debout, je cours, a droit à gauche, tournant sur moi-même. Je tombe à genoux. Qu’est-ce que j’ai fait… Lionel.. Il… Son corps n’est plus là…. Pour la première fois, je comprenais ce que la douleur voulait dire, pourquoi elle faisait mal… Une larme coule le long de ma joue. Je ne devrais pas, c’est contraire au code… Tout ça, c’est de ma faute, plus jamais je le reverrais. Son corps a dû être emporté par la tempête. Il n’était pas obligé de venir me sauver, il l’a portant fait… Cette fois, on est vraiment quitte… A ma grande déception, on me prendra pu à trouver de la sympathie à un humain.
Cela fait trois ans que j’ai quitté Morpheus. Je me décide à retourner auprès de lui. Je l’aidais à présent à soigner les animaux comme stagiaire pour le parc. Ce qui devenait ma couverture en tant qu’humaine. Les gens du parc m’apprécient autant que Morpheus, personne ne sait ce que je suis. En contrepartie, je continue le combat de Lionel, comme chasseur. Sauf qu’à présent pas seulement l’or des primes m’intéresse, si je peux buter un ou deux mangemorts de tant en tant pour venger mon ami, je suis satisfaite…