Je me balladais dans le Chemin de Traverse, c'était très tôt le matin. L'air était frais et le soleil n'apparaissaît pas encore, caché par les nuages. Avant hier, j'ai appris que j'avais un admirateur. Mais pourquoi donc ? Je n'avais fais aucun exploit ? Je n'avais sauvé personne et n'était jamais apparu à la une du journal. Cet admirateur me faisait un peu peur... J'ai mené l'enquête hier pour savoir si ce n'était pas inventé. J'ai trouvé plusieurs mots écris de sa main, enfin c'est ce que je pense, et ils ont l'air convaincant. L'un d'eux disait :
Chère Parkinson, vous êtes un modèle pour moi ! Je ne peux qu'admirer ce que vous avez fait, c'était... Je n'est pas les mots... Ma plume avait envie de dire des choses aujourd'hui et j'ai directement pensé à vous. J'ai trouvé votre adresse en allant au Ministère, j'ai demandé plusieurs informations sur vous. Je vous aime Pansy ! J'aimerai que nous vivions ensemble jusqu'à la fin des temps !
Votre plus grand admirateur.
Ce mot était écris sur un morceau de parchemin arraché, je l'avais retrouvé dans ma boite aux lettres au Ministère de la Magie. Ces petits mots me faisait réellement peur, car j'avais l'impression que cet admirateur était amoureux de moi. Ce que je ne voulais pas c'était le rencontrer.
Je passe le Chaudron Baveur, je courre presque. J'ai l'impression d'être observé. Je dépassse à vive allure tout ces magasins magnifiques du Chemin de Traverse. Toujours cette foule qui me ralentis, que cela est stressant. Je croise les doigts pour m'emballer pour rien. Je tourne à droite en direction d'une ruelle ou quelques personnes pleurent, je marche droit devant moi puis prends la gauche. Plus personne. Je souffle, m'assoie par terre et écoute. Plus aucun bruit, pas même le sifflement d'un oiseau. Pansy recommenca à respirer normalement quand soudain...
Bonjour Mlle, que faites vous assise dans l'Allée des Embrumes ?- Qui... qui êtes vous ?Il était grand, vêtu d'une cape et parlait d'un ton si glacial que Pansy en frissonna.
Moi ? Vous devriez plutôt vous abstenir et être polie avec moi Mlle Pansy Parkinson !Comment savez-vous mon nom ? Et qui êtes vous ?(place sa main dans le poche de son jean et en sort sa baguette, pointe l'inconnu avec cette dernière)
Je ne vous ferai aucun mal, pas à vous en tout cas...Vous ne répondez pas à mes questions.Je suis inconnu à vos yeux comme au monde entier, ma chère sachez-le. Peut-être quand vous montrant ceci, vous comprendrez !Il sorta une photo de Pansy, assise dans le Chaudron Baveur avec...
Où avez-vous eu ça ?Quelque part...Rendez le moi !Et pourquoi ? Je m'amuse cela ne se voit pas ?Que voulez vous en échange de cette photo ?Un baiser ne serait pas de refus !Pansy claque l'inconnu avec la main qui ne tenait pas la baguette, qu'est-ce qu'il était froid.
Je ne vous connais pas, mais je peux vous dire que vous ne manquez pas de culôt.Il ne vallait mieux rien dire ma jolie.L'inconnu montra une scène à la jeune Pansy, l'inconnu montrait la photo à tout le monde sur le Chemin de Traverse.
Non ! Cela me couterait ma vie !Toujours pas de baiser ?Jamais !Alors un peu de ridicule, revient demain ici à la même heure et je te rendrais la photo.L'inconnu avait transplané. Pansy sortit son mirroir et vit sa petite tête ressortir d'un déguisement rond et vert... Un canard ? C'était ça le ridicule ? Toute une journée déguisé en canard ? Pansy n'avait donc pas de chance. Pas question de bouger d'ou elle était. Elle espérait ne rencontrer personne. Dans son sac, elle avait pris des sandwich pour manger à midi, elle en avait deux. Elle pourra donc manger ce soir.
Heureusement que je travaille pas aujourd'hui.La journée se passa sans problème, seul deux ou trois personnes passèrent et rièrent lorsqu'ils la virent,, mais Pansy ne les connaissait pas et s'en fichait. Elle eut froid toute la nuit et ne dorma que deux heures, elle voulait retrouvé son lit. Le lendemain matin, l'inconnu arriva et lui demanda :
Bien dormi, Mademoiselle ?Tu as assez rigoler comme ça, rend moi la photo et vas t-en !J'ai quelque chose à te monter avant.L'inconnu sortit la gazette, à la une se trouvait une photo : un canard vert avec une tête d'humain sur le ventre était allongé et autour se trouvait une foule qui rigolait sans jamais s'arrêter.
Comment as-tu pu osé ?C'est mon métier, voilà la photo. À bientôt !Adieu !Le déguisement avait disparu, mais Pansy se sentait humilié. Si ça tombe des gens qu'elle connaissait allait voir l'article et se moquait d'elle. Peut être peut être pas...