Hayley est née dans une famille tout ce qu’il y a de plus normale, une famille moldue. Née en Amérique et ses débuts furent paisibles. Son père a été assassiné par un sorcier lors de ses 5 ans et cela a signé son retour en Angleterre, pays d’origine de sa mère. Eillen Prescott (sa mère) s'éloigna d’elle car elle ne pouvait accepté que sa fille soit une sorcière, un être comme ceux qui ont tué son mari. Elle ne lui a pourtant jamais fait de reproches à ce sujet pendant les six années qui ont suivi. Elle a juste cumulé les expériences sans avenir. Hayley a reçu sa lettre pour Poudlard et dans le même temps, sa mère eut un second enfant de 11 ans son cadet : un petit angelot blond du nom de Gabriel. A Poudlard, elle a été envoyée chez les Serpentards et elle s'est montrée à la hauteur de ce l'on attendait d'elle. Les reproches de sa mère l’ont poussés vers les extrémités les plus sombres de sa personnalité. Manipulatrice, elle n’a pourtant pas su anticiper néanmoins. Ses illusions ont volé en éclats quand elle a compris que son statut de sang primerait sur le fait qu'elle est une pro-Voldemort convaincue. Elle a fui Poudlard et s'est réfugiée chez elle où elle se trouva face aux corps sans vie de sa mère et son frère. Elle a tenté de se venger de l'auteur de ce crime atroce et a failli le tuer. Elle a alors été prise par ces Mangemorts qui en ont fait leur pantin, leur catin. Brûlée à l'intérieur, elle s’est totalement éteinte et soumise.
Et puis, elle a enfin entrevu la lumière. Elle a compris qu’elle se fourvoyait à s’obstiner à idolâtrer Lord Voldemort, qu’elle trahissait ses parents et son frère. Elle a compris son erreur mais elle ne peut racheter ses crimes qu’en faisant couler le sang des vrais coupables. Si l’ODP est trop passive, elle a choisi de lutter activement en créant son propre groupe. Elle le dirige du mieux qu’elle peut en comptant sur quelques précieux soutiens. Enceinte, elle a du passer le flambeau mais jamais trop et aujourd’hui, elle comprend que son avenir repose dans une alliance avec l’ODP mais aussi dans une radicalisation de leurs efforts : il faut exterminer la vermine, ceux qui sont au sommet et non les innocents ou presque innocents. Elle étend sa toile doucement…