Archives Demande de don

Don souhaité : Le don d'animagi

Description rapide de votre perso (Age, camps, profession, maison) : Selina, 16 ans. Jeune élève de Serdaigle, c'est une jeune femme assez réservée qui préfère s'adonner à la pratique de la magie noire plutôt que de se faire des amis. Mais voila, qui aurait cru que l'un amènerait l'autre? Devenue la curiosité tant pour le camp de Voldemort et que pour les gentils, tous tentent de la rallier à leur camp. Et elle qui désirait tant rester neutre, préférant demeurer en dehors de toute cette histoire, c'était bien sa veine.

Qu'est ce que ce don vous apportera en Rp : Ce don lui apporterait la discrétion pour se rendre dans des lieux interdits tels que la forêt interdit. Ben oui, où exercer la magie noire si ce n'est dans un lieu où personne ne pourrait la surprendre? Elle pourrait aussi passer incognito la nuit, afin de se rendre dans la réserve de Poudlard, ou même pour aller "emprunter" des ingrédients dans la salle de Potion. Ses potions requièrent certains ingrédients bien spéciaux qu'elle ne pourrait demander de vive voix à un professeur. Ah oui, précisons que l'animagus de Selina serait une chouette blanche, de la même race qu'Hedwige.
Et puis, dans le cas où la jeune femme rejoindrait le camp de l'AD - ce n'est qu'une hypothèse- les pro Voldemort refuseront qu'une sorcière adepte et maîtrisant parfaitement la magie noire soit du coté de leurs ennemis. Ils voudront certainement se débarrasser d'elle plutôt que de la voir servir le Bien. D'où cette capacité à pouvoir fuir à tir d'aile.

Rp ou vous utilisez votre don :

Selina se leva subitement. Il était l’heure. Sortant promptement de son lit douillet, elle agrippa une bourse pourpre, plaça son traversin de sorte qu’on pourrait encore la croire dans son lit, et marcha à pas de loup vers la sortie des dortoirs. Tout cela, aussi silencieusement que possible.

La sorcière ne devait pas se faire prendre, ou il lui en couterait cher. Des retenues, l’interdiction de quitter l’enceinte du château, voire pire. Entre renvoyée. Bon, la dernière hypothèse était peu probable. Le directeur l’aimait bien, elle le savait. Certainement pour son côté un peu… Bad witch. Mais tout de même… elle risquait quand même de se retrouver à devoir s’expliquer devant des personnes du ministère. Et ça, il en était hors de question. Tout le monde savait ce qu’il advenait des sorciers et sorcières qui durent répondre de leurs actes ainsi. Soit ils furent envoyés à Azkaban, soit ils disparurent de manière inexpliquée. Et l’une dans l’autre, aucune des deux possibilités ne lui donnait particulièrement envie. La jolie blonde jeta un regard en arrière, afin de s’assurer que personne ne l’avait entendue, puis quitta les lieux.

La Salle commune était encore chaude. Le feu de la cheminée s’était éteint il y a peu. Selina soupira. Elle ne maîtrisait son pouvoir d’animagi que depuis peu. Et malgré sa capacité impressionnante pour enregistrer tout ce qu’elle entendait ou apprenait, la jeune Serdaigle avait le trac. Imaginons que ça foire ? Qu’elle se retrouve à devoir fuir comme une voleuse, à la vue de tous, car sa transformation n’aurait pas fonctionné ?

Selina balaya d’un revers de mains ces idées noires. Bien sûr que non, son projet n’échouera pas. Elle s’était trop exercée pour cela. Et puis elle avait vraiment envie de se procurer cet ouvrage. « Les grandes Noirceurs de la Magie »… Ce simple titre déclenchait en elle un sentiment d’excitation intense - une sorte de poussée d’adrénaline comme si s’imprégner du savoir de ce manuel représentait pour elle un saut de plus d’une vingtaine de mètres dans le vide, avec pour seul soutien un élastique. La magie noire était un interdit qui la rendait de plus en plus addict. Comme une drogue… Et elle aimait ça. Se savoir différente. Etre en possession de connaissances dont peu de personnes disposaient.

Jetant un regard derrière le tableau afin de s’assurer que personne ne rodait dans les couloirs, la sorcière s’échappa de la salle commune, avant de se diriger vers les toilettes des filles. Elle devait rapidement se métamorphoser afin de ne pas se faire repérer. Ni une, ni deux, la voilà près du grand lavabo, s’apprêtant à changer de forme.
Fermant les yeux, elle laissa la magie l’imprégner entièrement avant de s’abandonner complètement à elle.

Soudain, son corps entama sa métamorphose. Sa taille se réduisit tandis que sa peau se recouvrit de belles plumes ivoires. Ses bras firent alors place à des ailes et la couleur azurée de ses yeux se substitua à l’or. Une belle et majestueuse chouette faisait place à l’endroit même où se trouvait Selina quelques secondes auparavant. Ouvrant grand ses ailes, comme pour se contempler, elle fut satisfaite du résultat et manqua de peu de hululer de plaisir. Sa métamorphose s’était déroulée à merveille, ce qui ne l’étonna guère, finalement.

Prenant son envol, le bel animal agrippa la bourse pourpre posée sur le carrelage des sanitaires, avant de s’envoler droit vers le quatrième étage. Il ne lui fallut pas plus de cinq minutes pour s’engouffrer dans la réserve, passant au travers des barreaux de la porte. Toute lumière éteinte, il ne lui serait pas ardu de passer inaperçue. Et l’absence de luminosité ne lui posant aucun problème grâce à la nyctalopie, elle pourrait faire ses recherches incognito.

Ainsi, de ses yeux perçants, la superbe chouette inspecta chaque étagère, chaque titre à la recherche de sa bible. Et elle la trouva. Reprenant alors forme humaine, la sorcière empoigna avec délicatesse le livre tant désiré. Sa couverture, ébène aux bordures dorées, ne laissait présager rien de bon. Ce qui fit sourire Selina. Ses intensions ne l’étaient pas. Cela tombait bien.
Plaçant l’ouvrage dans le sac en velours, l’intruse reprit sa forme animale, et quitta fissa les lieux. Ni vu, ni connu.

On accepte ta demande Sélina à la suite condition que tu rectifie une erreur dans ton rp^^ Les animagi n'ont pas besoin de retirer leur habit pour leur transformation, ils gardent leurs habit et accessoires.

Ah bon? J'étais persuadée qu'ils se retrouvaient nus suite à leur transformation. Mais tant mieux si c'est pas le cas. Ça m'arrange! ^^ je vais changer ca tout de suite. Et merci pour l'accord!

Don souhaité : Animagus

Animal désiré Panthère noire

Description rapide de votre perso (Age, camps, profession, maison) : Lauryn Hanna Christensen, élève de Poufsouffle âgé de 17 ans qui n'a pas froid aux yeux, en 7ème année et qui refuse de prendre réelle partie entre l'A.D et les siffleurs. Cette guerre, elle ne s'y sens pas impliquer, mais protégeras toujours ceux qu'elle aimes, qu'ils soit du bon ou du mauvais côtés, contre les méchants comme les gentils. C'est une joueuse aux yeux de biche, une séductrice mais qui pourtant, n'iras jamais dans la disgrâce, tout ce qu'elle souhaite, prise entre les deux camps, c'est d'avoir simplement un moyen de passer inaperçu si les choses dégénèrent, bien que ce n'ai pas le genre de fille à fuir.

Qu'est ce que ce don vous apportera en Rp : Simplement pour pouvoir décrocher du monde, se sentir libre, être elle-même, d'une certaine manière. Rien de plus et rien de moins.

Rp ou vous utilisez votre don :
Enfin, la journée est terminé! j'ai tellement eu de mal à me concentrer aujourd'hui! Je n'avais qu'une seule chose en tête, un seul moment en tête, et je déteste ça... tout en adorant! L'effleurement de sa main sur la mienne, dans un geste qui pour une fois n'étais pas calculer de sa part, m'avais fais sourire toute la journée! Mais j'avais besoin de changer d'air... et je sais, que si je ne trouve pas un moyen de le faire, j'allais finir par devenir folle!

Et heureusement, j'avais trouvé! Je sais que si je garde toute mes émotions en moi, j'allais finir par craquer, et depuis l'été dernier, une seule chose m'avais permis de m'aider, de m'évader. C'est en lisant un livre de métamorphose, ma matière favorite, que l'idée me vint... je savais que c'était risqué, mais qui ne risque rien n'a rien. La métamorphose humaine, c'est quelque chose qui demande beaucoup de savoir faire et de vouloir, mais j'étais déterminé, je sais que c'est grâce à ça que je pourrai me libérer, évacuer tout mon stress, et pouvoir rester celle que je suis devenue. Personne ne me verra craquer, et c'est grâce à ce don que cela sera possible. J'ai travailler plusieurs mois pour y arriver, mais c'est aujourd'hui que j'allais enfin le faire pour bon!

J'attendis que tous soit coucher, avant de me lever et quitter le dortoir de Poufsouffle en douce, pour sortir dans la cours du château... j'eue quand même du mal à m'y rendre sans difficulté, mais j'y suis parvenue! Me cachant derrière un grand chêne, je repris mon souffle, comme j'ai du courir pour ne pas être vue. Je regardai la forêt, et une fois calmer, pris de bonne inspiration pour me concentrer... mais avant que je puisse faire quoi que ce soir, j'entendis des voix qui s'approchaient... Merde! Vite vite vite.... je sentis alors mon corps changer, diminuer de forme, sentant le bout de mon nez s'allonger, des poils pousser, ma vue changer...j'avais réussi, je le savais... montant rapidement dans le grand chêne, je me perchai sur un arbre, regardant les deux élèves, deux siffleurs, s'approcher en parlant un peu trop fort de plan qu'ils avaient pour s'en prendre à l'A.D... Je l'ai regardai passé sans qu'il ne me voit, vivre la pénombre... puis une fois qu'ils furent disparu, sauta d'un bon au sol. Leo devrais dire à ses compatriotes d'êtres plus discrèt... mais là, le plus important, c'est que j'avais réussi! Et d'un bon, libre d'aller dépenser mon énergie et mes émotions, je m'engouffrai à la course dans la forêt, enfin libre...

Helloooow ma belle,

Alors, je suis vraiment désolée mais pour le moment ton don est refusé. Rien ne t'empêche de réintroduire une demande si tu y tiens donc je vais te dire les arguments qui ont influencé notre décision Archives Demande de don 1340846181

* Alors ton rp ne développe pas vraiment l'impact qu'a ce pouvoir sur son existence, à quel point il lui est utile dans sa vie. En quoi influence-t-il son parcours, lui ouvre-t-il des horizons? Pourquoi a-t-elle eu besoin de développer ce pouvoir dans sa vie personnelle?

* Quelles sont les implications que cela a sur son existence? Est-ce que ça a bouleversé sa façon d'être ou est-elle restée la même?

Je t'explique un peu notre démarche pour le test afin que tu cernes mieux nos attentes. On demande un rp test pour comprendre l'importance du don, l'impact que cela a sur sa vie bref pour éviter que trop de monde n'ait de pouvoirs et ce, dans le but d'augmenter ses atouts personnels. On désire éviter que les membres n'aient des pouvoirs qui ne fassent que décoration. L'intérêt d'un pouvoir est d'aider dans la réalisation d'un objectif personnel, doit avoir une source dans l'histoire du personnage. Par exemple, dans HP : chaque Maraudeur est devenu animagus pour pouvoir aider Remus dans ses transformations, pour pouvoir le soutenir.

Bref, si tu tiens à ce don, développe plus ton rp, fais nous comprendre qu'il est essentiel pour Lauryn Archives Demande de don 1340846181

Bon courage ma belle calin2

Bon alors je viens faire une demande de don, mais pour mon prochain perso, comme ça selon la réponse je pourrais faire ma fiche pendant mon absence ^^

Don souhaité : Voyante
Description rapide de votre perso : Kylian est une ancienne serdaigle de 27 ans. Elle est issue d'une petite famille moldue, pas des plus aisées, mais plutôt heureuse. Bon je vous passe un peu son histoire pour arriver directement au temps présent. En raison de son statut de né moldu, elle vit principalement dans le monde moldu, rejoignant de temps en temps le monde magique essentiellement pour l'Ordre du Phoenix, mais elle a plutôt tendance à considérer que son moldue actuel est le monde moldu. Elle rêve de voyager, mais elle sait qu'elle ne le peut, donc elle le fait à travers les livres. Elle est d'ailleurs bibliothécaire dans une petite ville d'Irlande qui est devenue un peu son antre. Membre de l'Ordre du Phoenix grâce à Sanders, elle essaie tant bien que mal de se montrer digne de cela, même si depuis quelques temps, à cause de son ventre de femme enceinte elle ne peut guère participer aux missions, mais soit ! Elle vit tant bien que mal sa vie et voit toujours le bons côté des choses !
Qu'est ce que ce don vous apportera en Rp :
→ Kylian n'aurait pas conscience de ce don, pour elle ce ne sont que des cauchemar dont elle ne saisit pas nécessairement le sens.
→ Elle lutte tout de même contre cela, lorsque les cauchemars se font de manière clairs, elle essaie de sauver les personnes et de changer leur destin.
→ Elle peut aussi lire dans les cartes, mais c'est de manière imprécises, jamais elle ne quitte pour autant son jeu de tarots.
→ Cela me permet d'avoir un lien avec Joann //SBAFF//
→ Le ministère sait qu'elle a ce don et la recherche pour cette raison. La mèche a été vendue par son ancienne prof de divination qui autrefois utiliser à des fins lucratifs Kylian sans qu'elle s'en rende compte.
→ Ce don permettra aussi de marquer le lien avec Sanders, elle sais qu'il est emprisonné, où, etc. Ce qui pourrait aider l'Ordre à le délivrer. Je compte en fait qu'elle prenne petit à petit conscience de son don et essaie de le maitriser pour l'Ordre.
→ Suite à la compréhension de ce don, je la vois bien continuer à sauver des inconnus et avec encore plus de ferveurs qu'au début. Ainsi que de chercher dans l'histoire de sa famille de qui elle aurait pu hérité son don, etc.
Rp ou vous utilisez votre don :

"Merde, merde et encore merde"
Donner des coups de pieds dans la roue de ma voiture ne changera rien. Elle n'avancera pas plus vite, elle ne sera pas non plus en état de marche pour autant. Néanmoins je ne peux m'empécher de bourrer la roue d'avant d'une nouvelle séries de coups de pieds furieux tendit qu'un soupir s'échappe de mes lèves. J'aurais dû écouter mon petit frère qui m'avait conseillé d'essayer de prendre un portoloin en me déguisant. Pas envie de jouer à ce jeu. Je tiens trop à ma liberté. Je n'ai plus rien à faire à part attendre. Le voiture grince de protestation quand je prend place sur le capot. Furieuse je lui donne un petit coup.

"Toi, tu n'es pas en état de râler !"
Y a plus qu'à espérer que mon frère va faire vite. Je veux pouvoir lui dire adieu avant. Dire qu'il y a quelques heures j'étais en train de prendre tranquillement de boire du jus de fruit dans le service en porcelaine de maman en regardant Docteur Who avec mon frère.

Quelques heures plus tôt

"EXTERMINEEEEEEER"
Je sursaute. Il n'y a plus que la lumière de la télé qui éclaire faiblement la pièce. Docteur Who a été remplacé par une pub pour du dentifrice. Une jeune femme au sourire rayonnant est en train de me sourire de toutes ses dents blanches et éclatantes. Un sourire très probablement cannibale. Je regarde à nouveau la peluche de Daleck qui est dans mes bras. C'est lui qui m'a tiré de cet étrange songe. Un sentiment de malaise règne en moi, ce sentiment qui me dit que ce n'est pas qu'un songe. La charmante jeune femme au sourire terrifiant est remplacé par une bande des gamins tous beaux, tous intelligents et tous blonds aux yeux bleus.

Retour au présent

Maintenant je me dis que c'est vrai. Que cela va vraiment arriver. Grand-mère va mourir seule. Je m'allonge sur le parebrise et ferme les yeux pour m'empécher de pleurer. Les images de mon cauchemars reviennent. Sombre, flous et en même temps je saisissais chacun des détails étrangement. Elle est seule. Voilà la seule chose que je vois. La solitude qui lui pèse quand elle rend son dernier souffle. Ses doigts qui se recourbent sur des photos de famille. Seule. J'ai pris ma voiture, j'ai dû dépasser une bonne dizaine de fois la limitation de vitesse et elle est tombée en panne. Sans raison. J'ai juré après un réparateur qui m'a raccroché au nez. Mon frère est mon seul espoir maintenant, même si je sais que c'est trop tard. On ne peut pas lutter contre le destin. Tout ceux que j'ai essayé de sauver, tout ceux que j'ai essayé d'aider à échapper à leur destin, j'ai échoué, irrémédiablement échoué et quand je pensais réussir cela n'était que pour découvrir un nouveau cheminement du destin auquel je n'avais pas eut accés par mes songes.

Je frappe ma peluche Daleck. J'ai besoin de mon kit de secours en cas de tristesse. Sauf qu'il est bien sagement au fond d'un placard chez Sanders. Le psy a peut-être raison, faudrait pas que je me sente coupable de pas pouvoir faire changer mes cauchemars. Après tout ce n'est que des cauchemars n'est-ce pas ? Pas un stupide don ou de troisième œil comme s'évertuait à me dire mon ancienne professeur de divination. Ce sont simplement des cauchemars dont la seule manière de lutter c'est d'essayer de faire ce que mon inconscient veut que je fasse, voilà tout. Ce ne sont pas des visions.

Je laisse échapper un soupir rassuré. Je tiens à ma petite mini jaune poussin, l'idée qu'il puisse lui arriver quelque chose me terrifie. Mon frère pose une main rassurante sur mon genou avant de partir à toute allure sur la route ne me laissant même pas le temps d'attacher ma ceinture. Bien qu'on file à toute allure je sais que c'est trop tard. Même pas besoin d'interroger les cartes. Mes cauchemars se sont toujours révélés véridiques. Triste réalité... Peut-être que Mme Treawlney avait raison finalement. Non. Moi ? Avoir un don de ce genre ? Impossible.

Pourtant ma grand-mère ne cessait de répéter : on croit uniquement ce qu’on veut ou qu’on craint. Les désirs ou les peurs guident l’esprit de l’homme, bien plus qu’on pourrait le penser.

Don souhaité : Occlumencie
Description rapide de votre perso (Age, camps, profession, maison) : Alastair est un sorcier de sang mêlé de 26 ans appartenant à la famille Doyle, descendant des Gryffondor. C'est un joyeux luron qui ne tient pas en place et qui peut tout de même être calme. Il est extravagant, gentil, sociable, bisexuel (oui j'ai fait exprès de mettre les deux à la suite xD), intelligent, impatient, courageux voir téméraire, attentionné, exaspérant, drôle, décalé... Enfin bref un type étrange qui est fasciné par les potions mais surtout par les baguettes. Il se bat contre Voldemort, membre de l'ordre du phénix, mais il fournit tout de même l'Offensive en baguette et en potion de temps en temps. Il se dit un être libre. Surtout il se croit investi d'une mission ; détourner l'attention de Voldemort sur lui, pour permettre sa chute.
Qu'est ce que ce don vous apportera en Rp :
C'est une des bases du personnage d'Alastair. Il est extraverti mais secret. Et puis c'est une grande part de sa vie : il devait se cacher, ne pas dire qui il était, parce que ça attirait les jaloux, et puis aussi parce que cela ne servait à rien de se vanter. Mais depuis qu'il est petit, son père voulait se faire bouclier du monde en orientant l'attention de Voldemort sur lui. Il n'a jamais eu le temps de réaliser son plan et du coup est retombé dans l'importance du secret. Ainsi Al ne devait jamais dire qui était réellement ses ancêtres. Al déteste qu'on fouille dans ses pensées, dans ses souvenirs et dans toute sa vie. Il dit ce qu'il a envie de dire et fait ce qu'il a envie de faire. Il est pour lui hors de question qu'on pénètre son esprit. Il n'a céder qu'une fois, pour mettre son plan à exécution.
Rp ou vous utilisez votre don :

Papa n'arrêtait pas de me dire que je devais fermer mon esprit, mais j'en avais marre de toutes ces conneries moi ! Pourquoi on ne pourrait pas dire qui on est tout simplement hein ? Blabla ça attirerait les jaloux, et puis tout le monde voudrait savoir quels étaient les secrets de Godric Gryffondor, quels étaient ses trésors, les a-t-on toujours ? Ils voudraient nous les voler... Nous voler quoi ? On a rien ! Papa m'a dit que je me trompais, qu'on avait le trésor dans nos gènes, et que nous possédions quelques petites bricoles ayant appartenu au mage, comme un petit collier avec un pendentif représentant le lion, serti de rubis, pendant à une chaîne en argent. Tout cela vaudrait beaucoup de gallions d'or mais il veut pas les vendre et surtout pas qu'on les vende. En tout cas on ne doit pas le dire et c'est tout. J'avais envie de hurler fièrement qui j'étais au monde entier et non me terrer comme un pleutre.

Mais paradoxalement je comprenais aussi ce que disait mon père. Cela pouvait être dangereux. Après tout, certains sorciers sont accusés à tort d'être des mangemorts parce qu'ils sont de la même famille que certains vrais mangemorts, et ils se font refuser l'entrée dans des boutiques, ou un verre dans des bars, on les regarde mal parce que une partie de leur famille a fait quelque chose de mal. J'attirerais la convoitise... Alors j'attendais sagement mon père dans la salle d'entraînement du manoir. Elle n'était pas très grande, recouverte de tapis. Mon père, pourtant pas spécialement intéresser par les moldus, adorait les arts martiaux et le combat sans baguette. Il disait qu'un jour s'il n'avait plus de baguette, au moins il serait capable de se défendre. Papa entra et me souris. J'en avais un peu marre de ces leçons mais c'était une sorte de combat et ça me plaisait !

-" Prêt ?"

Je hochais la tête. Je n'étais jamais prêt de toutes façons. J'avais dix ans, je commençais tout juste. Il prit possession de mon esprit en un rien de temps. En ces temps là je ne résistais pas très longtemps. Il a recommencer un nombre incalculable de fois, jusqu'à ce que j'arrive à le repousser légèrement, c'est à dire même pas deux secondes. Oui mes progrès dans cette matière n'était pas très fulgurant. Autant j'avais très rapidement appris à lire, autant l'occlumencie... Ce qui était également tout à fait normal, c'est une technique puissante qui ne s'apprend qu'avec beaucoup d'entraînement et une bonne puissance magique. A dix ans, c'était impossible. Mais dans ma famille on avait toujours fait ça. Et puis mon père me disait qu'au moins j'y arriverais assez jeune. Vers treize ans je commençais à le repousser sérieusement mais il parvenait toujours à passer mes défenses. Il ne voulait qu'une chose :

-" Tu dois y arriver sans y penser. Tu dois pouvoir être un mystère à tout moment. Ensuite je t'apprendrais la légilimencie."

Sorte de tradition. Mais ça avait l'air plus drôle que l'occlumencie. A quatorze ans, il ne parvenait plus à rentrer dans ma tête sauf quand il me prenait par surprise, ce qu'il ne manquait pas de faire, ou quand j'étais fatigué. Je me souviens d'un petit déjeuné où je mâchonnais un toast, il a débarqué et m'a fait perdre le contrôle de mon esprit à un point que je me suis réveillé me noyant dans mon bol de thé. L'année d'après je n'avais pas progressé d'un pouce, sans doute que j'en avais marre. Sorte de crise d'adolescence. Et puis je digérais pas le coup du thé. C'est à seize ans que je suis devenu très bon occlumens, mais pourtant il ne se montrait jamais satisfait. Il parvenait toujours à me prendre par surprise et cela m'énervait. Néanmoins j'étais content, je savais mes secrets à l'abris et je parvenais à le repousser dés les premières secondes de ses intrusions réussis. Cependant il me sermonnait gentiment :

-" Quelques secondes suffisent. Il faut un rien pour que tu t'écroules ensuite, je suis loin d'être le meilleur !"

J'ai réussi à satisfaire mon père peu après la résurrection de Voldemort. Enfin plus rien ne rentrait. Jamais. Je n'étais plus qu'un mur de flamme. Le plus drôle dans cette histoire, c'est que réussir à être un bon occlumens aurait du me satisfaire mais je n'avais fait ça presque que pour apprendre la légilimencie et l'ironie de la chose, c'est que mon père n'a jamais eu le temps de le faire. Il avait à peine commencé qu'il est mort. Il est mort. L'occlumencie, c'est sa part de lui en moi. C'est lui qui m'a fait comme ça. Alors maintenant je poursuis ma route, restant le mystère que je suis, dévoilant ce que je dois dévoiler. Mes secrets vont à ceux à qui ils doivent aller, même à Voldemort...

Ton don est validé beau goss mais cela aurait été plus fun que tu le postes sous Al loool

*Oui oui j'avoue que j'ai une sale langue XD*

Pitchoune, ton don est lui aussi validé ♥

Don souhaité : Animagus (Pygargue à tête Blanche)
Description rapide de votre perso : 27 ans, assistant-professeur de Métamorphose et espion pour l'Ordre du phénix
Qu'est ce que ce don vous apportera en Rp : Permettre le format Hybride de mon personnage (À voir fiche et Rp ci-dessous) ainsi que l'espionnage pour mon rôle dans l'ODP
Rp ou vous utilisez votre don :

Devenir Animagus n'est rien de bien évident croyez-moi ! Et puis, avec tout ce qui se passe dernièrement dans le monde magique, avec l'ascension soudaine de la popularité du survenant et ses années à Poudlard, il y avait apparemment d'autres chats à fouettés. Mais Minerva fut d'un soutien inestimable pour moi, m'aidant dans mes études. Elle me nomma même adjoint de métamorphose, vue ma passion pour la matière. De plus, cela me permettrait de m'y focusser davantage, au lieu de devoir faire tout le sale boulot des autres professeurs. Rogue surtout, qui s'en donnait à coeur joie. J'étais en retrait par contre, pour le moment du moins. Devenir Animagus lorsque l'on est loup, est loin d'être une tâche aussi évidente que pour quelqu'un d'humain qui souhaite le devenir. Déjà, les lunes m'affaiblissaient, je ne pouvais risquer de trop travailler sur mon autre métamorphose, au cas où le loup prendrait un trop grand contrôle. Les risques sont là : Être trop faible ainsi que tenter de faire entrer en moi une autre vie animale pouvait faire en sorte que le loup, se sentant menacé, tente de prendre un contrôle complet : soit, je risquais d'être loup à jamais. Le risque était énorme, mais les avantages pouvaient aussi l'être, si tout ce que nous prévoyons pouvaient fonctionner.

Cela me pris donc des années d'efforts, malgré mon niveau de compétence magique élevée. Et vous savez quand je parvins à me métamorphoser pour la première fois, volontairement, en un magnifique oiseau de proie? La nuit où le fameux Potter décida de fuir... Je suis à 100% dans sa cause, mais fuir lâchement, abandonnant tous ceux qui croyaient en lui, il ne mérite pas mon respect. En 1998, j'avais alors 23 ans, je vis pleinement la prise au pouvoir de Lord Voldemort, ce qui créa tout un chaos dans le monde magique qui nous entourent. Déjà que le monde ne tournait pas rond alors, les traces du Lord ayant déjà fait son effet avant la fuite de Potter, comme par exemple le fait que McGo était emprisonné par le Lord... Il instaura alors de nouvelles règles, comme celle qu'aucun enfant né-moldu ne pourrait venir étudier à Poudlard, ou encore ce fameux test que nous devions passer pour nous donner une note sur notre niveau de fidélité... Trois, étant le niveau le plus faible, en passant obligatoirement le test, je fus plus que surpris d'apprendre que j'étais de niveau 2. McGonnagal m'expliqua qu'étant donner que tous les loups-garous ont juré fidélité au Lord, ma nature m'a fait, comment dire... déjouer le test. J'ai eu alors une idée pour la suite des choses, pour mon avenir, pour une fois que je trouvais quelque chose de positif à ma nature... mais avant toute chose, je devais premièrement vivre ma première nuit de pleine lune avec mes nouvelles facultés...

Enfermé dans ma cage, dans les cachots de Poudlard, les poignets et les chevilles menottés, dans une cage fermée à double-tour, en plus de magiquement, je fixai l'ouverture qui me permettait de voir la lune, attendant l'heure de cette malédiction maudite, l'appelle de ma mère la lune. Sentant mes muscles se tendirent, mes os se distendirent, la douleur causé par la métamorphose non voulu, je fermai les yeux, murmurant quelques formules, me remettant entièrement à l'animal en moi, celui que j'avais créé, celui que j'avais voulu. Je sens mon corps complet se mettre à trembler, j'avais l'impression qu'on marachait les os un par un... C'était le rythme habituel, à chaque transformation... tout ce que j'espérais, c'est d'avoir un certain contrôle sur moi-même une fois loup...

Mais personne n'aurait pu prévoir au contraire ce qui allait se passer, alors que personne n'avait tenté l'expérience. Je sens des changements en moi, mais rien de comparable à ce que j'avais l'habitude de vivre. Je sens ma mâchoire changer, mes dents s'allonger, mes épaules s'élargirent... je sens également les griffes me transpercer le bout des doigts, mes cheveux s'allonger et la fameuse queue de loup apparaitre... J'ouvris les yeux, surpris de me retrouver toujours debout, une fois les tremblements partient... et surpris aussi d'avoir conscience d'être debout. Je regardai mes mains, alors que j'avais toujours une certaine forme humaine... mais avec des griffes acérés. J'avais bel et bien la queue de loup et une mâchoire destructrices, mais outre une carrure beaucoup plus large et certains endroits plus poilus, les cheveux un peu plus long et les yeux jaunes... j'étais devenu mi-homme mi-loup... J'avais un odorat ultra développé, ainsi qu'une ouïe phénoménale et la capacité de voir dans le noir. J'étais plus fort... et plus impulsif surtout, moi qui est plutôt de nature posé et calme. Mais j'étais toujours conscient et la plupart du temps, maitre de mes actions... voilà comment l'animagus en moi me permettais de devenir, les soirs de pleine lune... J'étais devenue un hybride...

Hmm je ne sais pas s'il fallait recenser mon don & surtout si cela se fait ici mais je préfère demander le recensement du don de fourchelang (:
Merci d'avance ^^

je te fais ça =)

Don souhaité : Occlumencie
Description rapide de votre perso (Age, camps, profession, maison) :
Joann est un sorcier de sang mêlé, né d’un père moldu et une mère née-moldue. Enfant, il n’avait une grande opinion des moldus à cause son père. Un alcoolique violent. Même si à présent tout a changé à ses yeux. Les erreurs de son paternel ne lui font pu haïr les moldus bien au contraire. Jo’ est devenu un sympathisant des moldus, et de la vie en général. Plutôt brillant, il est devenu médicomage. Marié, une femme né moldue, puis sa fille Aislinn. Il n’y avait pas tellement d’ombre au tableau. Mise à part son frère Jumeau, Aidan. Un homme méprisable, et anti-moldu à souhait. Il n’était même pas invité au mariage. En réalité, Jo l’a chassé de sa vie sans s’en soucier. Lorsque le monde a changé, que Voldemort a fait sa place. Aidan à porter des preuves de la traitrise de son frère. C’est ainsi, que Joann est devenu un hors la loi. Mais, dans le temps présent, le médicomage a remédier à ce problème. A la mort de son frère, Joann à prit sa place pour devenir un mangemort dévouer à la cause de Voldemort. Pourtant l’homme de 31 ans, n’est pas ce qu’il parait être. Un mage noire tortionnaire sans la moindre humanité ? Non, en réalité, Joann est un membre de l’offensive groupe extrémiste anti mangemort. Il compte faire gagner la guerre par le sang et la souffrance. Jouant les espions pour l’offensive.
Qu'est-ce que ce don vous apportera en Rp :
L’occlumencie va tout simplement devenir un élément vital, et indispensable à Joann pour pouvoir survivre. En effet, plus il avance dans le cercle des mangemort, plus son but premier est de se rapprocher de Lord Voldemort. Hors personne ignore que cet être infâme, est un legimens très doué. Pouvoir dissimuler ses pensées deviendra sans nul doute un élément indispensable à son espionnage. (et lui éviter une mort horrible quoi s’il est découvert xD)
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La porte se referme brutalement, un léger écho percute les murs du manoir. L’elfe de maison à l’air si sournois m’indique de le suivre. D’un pas plutôt lourd, je le suis. Traversant un long couloir. Comme si je ne connaissais pas le chemin, j’ai besoin de me faire accompagner. Qu’importe, je n’avais pas tellement à juger. Les manières des sangs purs sont toujours si spéciales. La créature s’arrête brusquement, se tournant vers moi. Il m’invite à entrer. Je le regarde à peine, pénétrant dans le petit salon que je connais si bien. Une femme assise sur un vieux fauteuil. Elle est un peu plus vieille que moi. Elle ne dit rien, buvant son thé en toute tranquillité. Je racle la gorge, comme pour indiquer ma présence, mais elle le savait déjà. Une voix calme retenti :

- Je sais, que tu es là Joann ! Ne reste pas planter là, assis toi ! Tu veux du thé ?

Je reste figé un bref instant. Joann… Je m’avance, me plaçant face à elle.

Je n’aime guère ce ton qu’elle emploi. Pourtant, je la connais plutôt bien. Lorsque j’étais encore moi-même, souvent elle voulait me voir. Les choses auraient dû changer. Depuis, la mort de mon frère. Je ne croyais pas qu’il est pu être proche d’elle. Certes, c’est la meilleure amie d’Alba. Mais, pourtant. Elle me demande de venir sous le nom de mon frère, comme si c’était encore moi. Après tout, durant mon absence, les choses ont dû changer. Elle s’est tout simplement trompée, c’est ainsi avec des jumeaux parfaits… Je m’assois gentiment, même si peu un peu stresser. Elle verse une seconde tasse avant que je lui dise que je n’aime pas cela. Elle me sourit amusée, et me tend la tasse. Je la prends, pour ne pas paraitre impoli. Evitant de la regarder dans les yeux. Elle toujours cette façon de me dévisager qui me dérange, je n’avais pas le souvenir qu’elle ait pu faire cela avec mon frère. Elle se mise à rire gaiement. Je reste un peu perplexe, alors que j’allais ouvrir la bouche pour lui demander des explications de ma présence. Elle me coupe dans mon élan.

- Tu me déçois, tu as oublié tout ce que je t’ai appris Joann. Non, je ne me suis pas trompée. Tu as vraiment l’intention de le boire pour me prouver le contraire. Tss… Tu vas sérieusement tu planter, tu sais ce que c’est ça !

Elle avait déposé sa tasse sur le bord de la table basse. Remontant sa manche de sorcière. Elle me fixe tandis que je la regarde faire. Dévoilant cette marque peinte par la magie, encré dans sa peau. Cette tête de mort crachant un serpent. Je grimace. Le symbole de Voldemort. Son sourire s’agrandit à mon jette de recul, renversant un peu la tasse. Lâchant un couinement douloureux sous la brulure. Comment peut-elle savoir ?

- Je le sais, parce que tu es idiot ! Tu veux vraiment faire croire à tous que tu es Aidan. Écoute-moi, bien, ton frère à lancer un pari sur ta tête ! Il juré de te faire enfermé, et en échange on lui a promis la marque des ténèbres. A cause de ta stupidité, tous croient qu’il a réussi. Tes pensées seront un vrai régal pour le Maitre. Tu veux un conseil, pars très loin.. Ou, je pourrais t’aider dans le cas contraire !

Elle parait presque en colère, me dévisageant toujours de cette manière malsaine. Plus, je l’écoute plus, je sais qu’elle a raison. Plus, je sais que j’allais me planter. Voldemort est un legimen de talent. Je ne pourrais jamais lui faire croire que je suis Aidan, que je suis un rafleur, et que mon seul désir est de le servir. Bien sûr que nous, je n’en suis pas capable. Il pourra lire toutes mes pensées comme elle le fait si bien. Pourquoi, elle veut m’aider ? Elle est de son côté.

- Tu as juste à me faire confiance Joann ! Rappelle-toi, des cours d’occlumencie. Je t’ai appris ce que je sais, pense à ta fille ! Si tu es découvert, n’imagine pas quel malheur il lui arrivera… Comme Lyna !

Elle eut un fin sourire à ce moment-là, puis elle se pince les lèvres. Je n’y prête pas tellement attention. Elle fait tout pour m’aider. Je n’aurais pas d’autres chances. Car, je suis seul. Il y a tellement d’ennemis autour de la vie de mon frère. Je ne peux pas faire un pas sans croiser l’un d’eux. Je soupire en reprenant mes esprits. Je suis seul, à présent. Je dois protéger Aislinn, la préserver d’un sort qui gâchera son enfance a tous jamais. Même si la disparition de ces parents l’affectera, cela pourrait être bien pire.

Elle décroche un sourire amusé. Alors que la porte se referme brusquement, par le claquement des doigts de l’elfe. Elle verrouille. Je ne me relève pas, jetant un coup d’œil à la sang pure. Elle ricane. La jeune femme se redresse, faisant quelques pas.

Je lui jette un mauvais regard, alors qu’elle me tourne délibérément le dos. Qu’elle ose toucher à Ais’, et je la tuerais. Je savais que tout ceci n’était qu’un piège. Que peut ont attendre de plus d’une mangemort ? Je comprends un peu mieux sa disparition après mon mariage. Elle s’amuse à compter les secondes, comme un compte à rebours. Il avait des risques quoique je puisse choisir. Alors…

Fit-elle en sifflant dans un ricanement…

Un jour, deux jours, quatre, six, une semaine sans doute plus. Je ne sais plus très bien. Je sais seulement que je fatigue. Assis par terre, je me sens plus la force de lui résister. Elle est debout en face de moi, et me donne un coup dans le pied pour que je me relève. Cela, fait trop longtemps que je suis ici. J’aimerais revoir Aislinn, elle me donne du courage. Ici, je n’en ai aucun. Je fixe cette femme qui me parait être un bourreau avec le temps. Pourtant cette enseignement qu’elle me force à avoir, allait me sauver la vie. Je suis trop stresser, je m’inquiète trop, je pense trop… Je n’arrive pas tellement à me concentre. Je réussi pourtant à la chasser, pendant quelques minutes du moins. Elle est si violente. Elle me songe au scalpel, je déteste ça. J’ai horreur de ça, qu’on puisse savoir ce que j’ai dans la tête. Elle me vole mes souvenirs avec Lyna-Louise. Elle est tellement sauvage, et cruelle. Plus elle se moque de Lyna, plus l’envie de lui résister augmente. Mais, à présent, je suis épuisé. Ce n’est plus un enseignement, mais de la torture. Ces semaines-là, ne furent pas tellement un échec. Plutôt une entré en matière plutôt douloureuse et amère. J’ai pu la repoussé, des secondes puis des minutes… Avec de la malice, et un jeu d’acteur, je pourrais sans doute convaincre les autres. Jusqu’à ce que je devienne meilleur. Jusqu’à ce que je n’ai plus besoin d’elle. Jusqu’à ce que plus personne ne me reconnaisse.

Elle m’avait laissé partir. Ce ne fut qu’un instant, quelques heures. Invention d’un mensonge trop beau pour Alba, et tout le reste. Personne ne devait savoir ce qu’on pouvait faire. Elle m’a promis de m’apprendre, et de jamais dévoiler mes véritables raisons en échange de… peu importe. Je laisse pendant ce temps, mon esprit se reposer en plénitude.

Un mois passe, elle me garde plus pour elle. Les entrainements sont devenus quasiment normaux. Je sais vider mon esprit pour repousser sa violence. Le fait qu’adolescent, elle m’en avait déjà enseigné les bases m’avaient finalement aidé. Même si cela a eu du mal à revenir, je n’étais jamais travailleur en ce temps-là. J’avais pris cela à la légère. SI seulement j’avais été moins con, un ennemi ne connaitrait pas mon secret. La jolie sang pure, n’avait pas fait que cela, elle m’a appris à être ce que je ne suis pas. Un mangemort. Sans elle, je n’en serais pas là ou j’en suis. Le calme, dans mon esprit, la sérénité, le pouvoir de cacher la vérité. Je ne l’ai pas acquis aussi facilement. Le peu que j’ai pu apprendre, m’a évité le pire. Depuis toutes ces années à servir de mangemort, j’ai pu m’en sortir tout en laissant certaine pensée filtrer mais qui n’avait aucun danger pour mon jeu. Celui que je joue depuis quelques mois, depuis que j’ai rejoint l’offensive…

Don accordé avec plaisir ♥

Don souhaité : Legimens et Occlumens
Description rapide de votre perso (Age, camps, profession, maison) : Kath est une mangemorte, une ancienne serpentard sang pure, aussi riche que crésus et qui du coup se prélasse dans un manoir sans travailler. Elle est totalement pour Voldemort et aime la position de supériorité que la société lui offre à présent. Cependant elle n'avait pas prévu Joann dans sa vie parfaite... Alors voilà, il est la seule épine, la seule exception.
Qu'est ce que ce don vous apportera en Rp : D'abord c'est elle qui a appris l'occlumencie à Joann donc c'est essentiel. En plus c'est une femme qui adore la torture psychologique et elle peut ainsi faire ce qu'elle veut de l'esprit de ses victimes sans risquer que cela se retourne contre elle. C'est une femme qui aime bien contrôler son petit monde et surtout Joann, du coup la légilimencie lui permettra de savoir tout ce qu'elle veut. Certes maintenant Joann lui est quasiment inaccessible, mais si elle forçait... Elle n'y arriverait pas, cependant elle aime se convaincre qu'elle pourrait le mettre à genoux, le détruire. Parce que si elle n'a plus accès à son esprit, elle connait tout de même son secret. Bref cela l'aide à se sentir protéger et à grandir son orgueil, à torturer les autres, en résumé, à faire tourner son petit monde.
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J'avale une gorgée de thé, calmement. Le liquide brûlant coule dans ma gorge alors qu'il s'avance en se croyant tout simplement protégé. Quel petit imbécile ! Je pourrais le broyer. Lord Voldemort le broya. Mon coeur se serre, mon coeur proteste, et ma fierté est mise à mal. Je repose la tasse de thé dans sa coupelle avant que mes mains ne tremblent. Il ne verra jamais mon trouble. Il ne peut pas. Il ne peut plus. Il a eut sa chance. C'est la mienne maintenant.

-" Je sais, que tu es là Joann ! Ne reste pas planter là, assis toi ! Tu veux du thé ?"

Il vient vers mois et ses pensées s'affolent. Il ne peut rien me cacher. Rien. Je lis dans son esprit aussi clairement que dans l'eau de roche. Il est transparent. Si transparent. Et si pathétique. Pfff.

-" Aidan. Moi, c’est Aidan !
- Comme tu veux, assis !"

S'il se raccroche à cette stupide idée, grand bien lui fasse. Mon coeur bat un peu plus vite quand je le regarde et je le réprimande silencieusement. A faire tout ce boucan je n'entendrais plus les pensées de Joann. Il me fait sourire à penser à son frère et j'avale une autre gorgée de thé qui me laisse un goût amer sur la langue. Il croit que je me suis trompé. Quand bien même aurais-je cru la rumeur, quand bien même moi je me serais laisser abusée et que je n'aurais pas sonder son esprit, quand bien même... Je savais faire la différence. Je n'aurais pas dû savoir la faire, mais voilà je le connaissais tellement bien. Il m'avait refusé le droit de le connaître mieux, il m'avait rejeté. Soit, je m'en étais remise. Je lui tend une tasse de thé, lisant dans son esprit qu'il n'en veut pas. Mais il accepte. Il veut parler. Il n'a pas à parler. Alors je le coupe.

-" Tu me déçois, tu as oublié tout ce que je t’ai appris Joann. Non, je ne me suis pas trompée. Tu as vraiment l’intention de le boire pour me prouver le contraire. Tss… Tu vas sérieusement tu planter, tu sais ce que c’est ça !"

Oui, et Voldemort va te tuer imbécile. Crétin. Je le regarde sans rien ajouter et pose ma tasse sur le rebord de la table. Je le regarde droit dans les yeux, relevant doucement ma manche alors qu'il ne cesse de se poser des questions, de se demander comment je peux le savoir. N'importe qui l'ayant bien connu, comme cet abruti de petit Dolohov, le reconnaîtrait simplement en le regardant. Certes, Voldemort n'est pas dans ce cas, les mangemorts ne sont pas dans ce cas, mais qu'il ne demande pas à ceux qui l'ont connu vraiment d'ignorer. Surtout pas à moi. Surtout pas à moi qui peut lire dans ses pensées. Quel homme stupide. Le tissus de ma manche s'effaçant doucement, il laisse apparaître la marque des ténèbres sur mon bras blanc. J'entend son dégoût plus que je ne le vois et je ricane légèrement. Il se brûle avec le thé qu'il renverse. Comment pouvais-tu croire que je n'étais pas des leurs ? Tu es décidément un être stupide Joann VandenBergh. A croire que je le suis également de...

-" Je le sais, parce que tu es idiot ! Tu veux vraiment faire croire à tous que tu es Aidan. Écoute-moi, bien, ton frère à lancer un pari sur ta tête ! Il juré de te faire enfermé, et en échange on lui a promis la marque des ténèbres. A cause de ta stupidité, tous croient qu’il a réussi. Tes pensées seront un vrai régal pour le Maitre. Tu veux un conseil, pars très loin.. Ou, je pourrais t’aider dans le cas contraire !"

Je ne veux pas qu'il meurt. Oh il mériterait cent fois de crever et de pourrir six pieds sous terre pour m'avoir trahi, pour l'avoir choisie elle alors qu'elle ne valait certainement pas mieux que moi, cette née moldue dont j'ai eu l'immense plaisir de raccourcir la vie... Mais voilà, mon coeur est capricieux. Alors si je suis loin à présent de lui céder mon être, je l'aime malgré moi toujours. Mais maintenant je vais changer la donne. Je ne vais plus m'abandonner à lui comme je l'aurais fait quand je n'étais qu'une adolescente naïve, mais je vais le dominer. Oui je vais l'aider, l'aider à vivre un peu plus, mais en contrepartie... Un frisson me grise. Je vois dans ses pensées qu'il sait qu'il n'y arrivera pas sans moi et cela me procure un plaisir immense. J'ai l'ascendant sur lui. Je le dévisage avec amusement, mais l'amertume et la colère s'y dispute également. Je m'en suis remise, mais je n'ai pas pardonné.

-" Tu as juste à me faire confiance Joann ! Rappelle-toi, des cours d’occlumencie. Je t’ai appris ce que je sais, pense à ta fille ! Si tu es découvert, n’imagine pas quel malheur il lui arrivera… Comme Lyna !"

Je joue avec ses sentiments et cela me grise. Je le manipule à ma guise et même s'il en est un peu conscient il ne peut pas l'éviter. Si j'avais su faire cela alors que j'étais à Poudlard... Je pince les lèvres en le regardant. Dire que je l'ai toujours protégé... Je bois à nouveau une gorgée de thé, finissant ma tasse. Le breuvage dans ma bouche est délicieux et je me perd dans sa dégustation rien qu'un instant.

-" Je les pas oublier, mais c’est bien trop difficile… Je ne suis pas assez doué pour cela, je…
- Ferme là, un peu Jo… Bien sûr que tu l’es ! Tu as réussi à me fermer une fois ton esprit, tu te souviens ! Tu ne partiras pas d’ici, avant d’être parfait !"

Je le regarde, amusée. La porte se ferme autour de nous pour nous laisser seuls. Je ricane doucement. Ce que je vais faire va changer la donne. Avant je n'étais qu'une ombre d'un passé trop regretté par cet être misérable que j'ai en face de moi, maintenant je serais une constante et ce qu'il le veuille ou non. Je ne vais pas le laisser s'en tirer comme ça. Je lui avoue soudainement :

-" De toi et Aidan, tu as toujours été mon préféré. Alba préférait l’autre… Elle a eu tort ! Je veux ne pas te laisser mourir. Tu vas faire absolument ce que je te dis de faire mon chéri, si tu veux pas qu’un jour mes amis s’amuse avec ta fille. Alors, maintenant, je vais savoir tous tes secrets. A moins que tu résiste ? Tu acceptes ?... Ou je dis dire au Maitre que tu es un faux, peut-être qu’il me permettra de te garder en animal de compagnie."

Je reste pensive. Un animal de compagnie. Voilà qui serait sans conteste agréable. Il serait de plus à sa juste place, en tant que traître et que presque né moldu. Mais Voldemort risquerait de le tuer, et je préférais qu'il n'en fasse rien. Je trahirais peut être ce en quoi je crois mais je ne laisserais pas non plus Joann s'élever contre moi ou contre mon maître. Je vais mettre une laisse autour de son cou et il n'aboiera comme le chien qu'il est que quand je lui en donnerai la permission. Alors voilà, je vais l'aider, mais en contrepartie il sera à moi. Je lui tourne le dos et me met à décompter les seconde, sachant pertinemment qu'il n'a d'autre choix que celui d'accepter. Joann va se plier à ma volonté. Je frémis à cette pensée et alors sa voix s'élève :

-" J’accepte ! A la condition qu’il n’arrive jamais rien à Aislinn.
- Ne t’en fais pas, ce n’est pas elle qui m’intéresse ! Cette journée va être très longue pour toi, puis les jours suivant, et ceux d’après…"

Oh oui, la môme est le cadet de mes soucis. Joaan a accepté. Je le regarde droit dans les yeux. Autant commencer maintenant. Et je ne vais pas être une gentille fille.

***

Il est tombé à terre, encore une fois. Cela fait déjà des jours et des jours et il s'étale pitoyablement sur le sol. Je le domine complètement. Mes incursions sont violentes et sans pitié. Je me refuse à lui offrir la douceur. Le fait de violer son esprit me procure un immense sentiment de satisfaction. Il est à moi. Je lui donne un coup de pied dans le ventre pour le pousser à se relever. Il n'est qu'une larve. J'ai éplucher ses souvenirs et ses pensées avec la délicatesse d'un bûcheron. Il me déteste d'être ainsi et de voir ce qu'il est. Moi je rejette ma colère sur lui. Il a payé maintenant... Et les jours passent encore. Il s'améliore petit à petit. Cela me frustre de sentir de moins en moins ses pensées, de ne plus pouvoir le mettre à genoux en violant son esprit. Il réussit... Je me renferme de plus en plus et enfin le laisse partir. Cela fait plus d'un mois maintenant. Quand je l'estime prêt je sens un grand vide se créer en moi. Voilà, c'est fait. Il s'en va... Un sourire naît sur mes lèvres. Il s'en va, mais maintenant il m'appartient. Maintenant il ne peut que m'obéir et je ne serais pas assez gentille pour ne pas profiter de cela...

***

Le maître me regarde droit dans les yeux et je reconnais tout de suite l'intrusion dans mon esprit. Heureusement je ne suis pas seulement legimens, mais également occlumens et aussitôt qu'il entre, je balaye d'un coup tous les souvenirs ayant traits à Joann, à ma trahison et à l'entraînement impitoyable que je lui ai fait subir. Le Lord paraît satisfait. On ne cache pas ses pensées à son maître, mais voilà, je lui en ai soustraite. Joann me paiera cela, je le promet, et je profiterais de sa soumission pour cela. Voldemort prend parole alors qu'intérieurement je me détend : j'ai réussi à cacher ce que j'avais à cacher.

-" Je veux que tu ailles voir au département des Mystères, je suis certain qu'un traître s'y cache. Je ne pense pas qu'il soit occlumens, ou alors bien médiocre mais en tant que spécialiste tu devrais t'en sortir non ?
- Oui maître."

Je m'incline et m'en vais, laissant derrière moi celui de qui j'ai protégé cet imbécile.

Ton don est accepté *-*

Don souhaité : Empathie

Description rapide de votre perso (Age, camps, profession, maison) :
Kira est un jeune élève de Serdaigle, âgée de quinze ans, et donc en 5ème année. Il ne prend aucun parti pour les camps qui l’entoure sur les conseils bienveillants de son paternel, mais surtout à cause de son handicap. Ce dernier reste caché, c’est un secret tabou pour le bien des autres et surtout celui du serdaigle. En son fort intérieur, Kira prendrait parti pour l’ordre du phénix.

Qu'est-ce que ce don vous apportera en Rp :
Mon rp ou il découvre ce pouvoir vous éclaira bien plus sur mon idée. L’empathie est en très grande partie responsable de son handicap. Mais, dans un autre sens Kira s’en servira à un avantage qui lui plait. Malgré sa nature prétentieuse, il ne comprenait pas très bien le relationnel humain. Et encore avec ce don, il lui arrive d’avoir maladroitement comme un idiot. Cependant, lorsqu’il comprend un sentiment, il ne peut pas vouloir s’empêcher d’aider les autres. Malgré sa promesse de s’engager dans aucun combat. Connaitre des sentiments n’est pas aisé à tous, cela va dans le sens contraire de son caractère qu’il peut montrer au quotidien. Ce qui au fond, le fera grandir bien plus qu’il l’imagine sans doute…

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Il y a des moments, dire la vérité n’est pas la meilleure solution. Les révélations peuvent être terribles et irréversible. Je n’aurais pas cru que des mots qui couplent des phrases, puis une histoire puissent faire si mal. Ces secrets. Tellement de secrets, et de révélations. Jusqu’au fond de mon âme, je n’avais pas su dire les mots… Ce que je pense. Non, il m’avait choqué. Mon propre père. Mes parents croient que c’est bien, d’avoir dit les choses. J’ai du mal à saisir le bien. Puis, Calice avait eu cette idée absurde… Je me sens stupide. Je lui ai promis de rien dire. Depuis, je me sens mal. Rien n’allait. Et ce matin encore. J’eu peine à me lever, maman gronde, on allait être en retard. Alors, j’ai bougé mes fesses de mon lit, seulement, elle ne m’avait pas engueulé. Elle était en bas dans la cuisine. Un sourire amusée, elle me fit cette remarque que pour une fois, je me suis lever comme un grand. Tout ceci était trop étrange pour un garçon de mon âge. Je voulu en parler à ma sœur jumelle. Mais Calice, m’envoya baladé. Elle semble en colère, sans doute à cause du sortilège, il n’a pas du marché. Je ne sais pas vraiment ce qui m’a pris à ce moment-là, je lui ai tiré les cheveux. J’étais agacé moi aussi. Heureusement, Maman calme le jeu rapidement. Elle nous rapidement dans la voiture une fois préparés. Ce n’est pas toujours évident pour Maman, la pauvre. Calice et moi, on passe notre temps à se disputer pour un rien. Ma mère, dit que c’est de notre âge de se chamailler comme des bébés. Seulement nous ne sommes plus des bébés comme elle dit, je vais bientôt avoir huit ans quand même, en même temps que ma sœur. On arrive rapidement aux champs. En ce dimanche, c’était la fête au village. Calice, ne voulait pas venir. C’est normal, elle n’a pas d’amis. Je ne comprends pas pourquoi elle n’aime pas les moldus, ce sont nos voisins et la plupart d’entre eux sont gentils. Ma sœur, allait passé la journée à faire la tête, pendant qu’on allait s’amuser. Papa n’est pas là, il travaille aujourd’hui, donc, elle ne pouvait pas restée à la maison. Je ne sais pas pourquoi sa mauvaise humeur m’atteint autant ce matin, j’étais aussi sur les nerfs. Jusqu’à ce qu’on sorte de la voiture. Je rejoins directement ma copine, Alice. C’est ma meilleure amie, et aussi ma petite amie, je dois l’avouer. Ma colère était partie, je faisais un bisou sur la joue d’Alice.

Maman me laissé partir jouer avec Alice. Elle avait l’habitude. On est de la même école, et la même classe. Inséparables. Beaucoup de personne nous nommer ainsi. M’enfin, si je pouvais profiter de la fête pour être avec mon amoureuse. Car, à l’école, ce n’était pas vraiment pareil. Les autres garçons, ne me parlent pas tellement malgré mes efforts. Ils disent tous le temps que je ressemble à une fille, alors, je devrais aller jouer avec les filles. Mais, lorsque je suis avec Alice, je m’en fous qu’ils m’insultent. Seulement, Alice n’était pas forcément plus gentille avec moi. Cependant, elle voulait toujours que je sois avec elle, même si parfois elle se moque. Je m’enfichais un peu, je l’aime moi.

Je me suis éloigné des sons de la fête avec ma jolie blondinette. Main dans la main. Je vois au loin ma sœur qui tape le pied contre un arbre. Elle est toujours énervée. Je me sens irrité en la fixant. Les battements de mon cœur battent plus vite, je sens une chaleur désagréable me bruler la gorge. Je serre le poing, écrasant la main d’Alice sans m’en rende compte. Elle me frappe subitement, se plaignant d’avoir mal. Je fini par la lâcher à force qu’elle me tape. Mais, dans l’agacement, et cette colère inconnue, je la pousse violemment. Mon amie tombe sur le sol. Je me rends compte de ce que je viens de faire. Seulement, au lieu de se plaindre et s’en prendre à moi, elle crie en se relevant d’un coup. Pointant du doigt derrière moi. Je ressens un étourdissement à ce moment-là. Seulement les grognements féroces, me font faire volte-face. Un chien. Un grand chien, si grand et tout noir. Il est enragé. Alice lui lance des cailloux qui augmentent sa rage. Je recule, serrant les poings. Mais Alice, caché derrière moi me pousse. Nouvel étourdissement. Mes battements de mon cœur s’accélère de en plus. Comme prit d’un galop furieux. J’ai mal. Très mal. Ma poitrine me fait souffrir. Je serre les dents. Alice crie, Je ressens l’envie de la frapper, qu’elle se taise. L’animal prit de l’élan sur ses pattes arrière. Prêt à bondir. Je fini par relâcher mon regard de ses dents acérés et grondante malgré moi. Ma colère disparue d’un seul coup. Mon corps est devenu faible, m’évanouissant subitement. Le chien a bondit, au moment où les battements de mon cœur se sont arrêter. M’écrasant sur le sol comme une poupée au regard vide. Le dernier son que je pus entendre, c’est le cri de Maman en prononçant mon nom puis celui de mon amie.

Des voix, des mouvements. De nombreuses voix, et de nombreux mouvements. Lorsque finalement, le silence se fasse à nouveau. Aux bouts de quelques temps, j’ouvre les paupières. Retrouve maman près du lit. Oui, j’étais dans une espèce de chambre, dans ce qui ressemble à un lit d’hôpital. Elle me rassure en observant mon regard semi paniqué. Elle me rassure, me disant qu’on se trouve à l’hôpital des sorciers, à St Mangouste. Je ne comprenais pas pourquoi j’étais là ? J’avais juste du faire une mauvaise chute ? Ou le soleil m’a trop tapé sur la tête ? Ma mère me sourit, elle me fait croire que tout va bien. Pourtant, son cœur et son visage ne dise pas la même chose. En elle, elle pleure, elle est terriblement inquiète. C’est grave. Très grave. Des larmes finissent par couler le long de mes joues. Je la ressens cette douleur. Je ne sais pas comment, elle me voit pleurer sans raison. Son cœur pleure encore plus, me serrant fort dans ses bras. Seulement, la vérité est difficile à savoir. Encore plus difficile que de savoir les secrets de mon père. Celui-ci est un lourd fardeau, que les adultes étaient obligés de m’avouer.

Mon père était intervenu. Il a bien onze de plus que maman, c’est un chef médicomage et un chercheur reconnu. Deux autres de ses collègues étaient là aussi. Il leur avait laissé la parole. Papa aussi avait trop de peine. Le plus jeune d’entre eux prit la parole. Il m’explique alors des choses que j’avais encore du mal à saisir à mon âge. Mon cœur est malade, très malade. Une maladie irréversible dont les remèdes ne sont pas encore connus. Seulement, ceci n’aurait pas dû m’empêcher de vivre. Il explique, que je me suis pas évanoui, mon cœur s’est subitement arrêter de battre pendant plusieurs secondes. Puis, il avait redémarré. J’avais eu de la chance cette fois, car ceci pourrait recommencer. La cause de ceci, la magie. Le flux des émotions ont trop troublé mon système. Ils ont fini par comprendre mes symptômes. Seulement, un peu trop d’émotion pourrait faire s’arrêter mon cœur pour de bon. Je sur réagis aux émotions des autres, mon père prit la parole pour la première fois. Mon papa c’est le genre d’homme à être une armoire à glace, toujours a contrôler ses émotions et ses sentiments. Ce qui fait de lui un homme froid. Il me dit qu’il allait m’apprendre à gérer mon cœur et les émotions. Seulement, je serais toute ma vie plus faible que les autres. Il allait être difficile pour moi, plus que n’importe qui d’apprendre à maitriser la magie car mon cœur pourrait déraper à nouveau. Je fixe alors maman, lui demandant comment va Alice… La dernière fois, y avait ce grand chien noir… Son cœur était toujours aussi triste. Elle me dit que tout allait bien, je savais qu’elle mentait. Je su plus tard, que Alice était morte. Elle avait fait une mauvaise chute et s’est brisé le cou en tombant. Seulement cet horrible accident a eu un coupable. Ce chien. Qui fut piquer pour les bonnes consciences.

Don souhaité : Legilimen
Description rapide de votre perso (Age, camps, profession, maison) : Elijah Carrow, sorcier de sang pur d'une famille de mangemort reconnu, 24 ans à ce jour. Schizophrène diagnostiquer, psychopathe à ses heures, boucher en passe-temps. Fidèle mangemort qui par contre, travail à contrer le Lord, croyant sincèrement que son temps est révolue et que la jeunesse à plus à apporter qu'un vieillard qui a fait son temps.
Qu'est ce que ce don vous apportera en Rp : Elijah a développer se don à la sortie de poudlard, un an après avoir commencer à entendre cette voix dans sa tête. Il voulait, au départ, pouvoir faire sentir cette intrusion aux autres, montrer à quel point il est désagréable de ne pas être seule dans sa tête. Mais au fil du temps, ce don lui sert également a avoir les informations qu'ils désirent, à être plus fort que ses proies, et c'est un outil très important à son art de la manipulation.

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Je l’entends, elle m’obsède. Elle me hurle à l’oreille, elle m’en donne la migraine. Je voudrais parfois être seul, mais elle me refuse ce droit. Je ne suis jamais libre. Jamais. Personne ne peut comprendre ce que je peux ressentir, personne ne peut avoir la moindre idée de comment je peux avoir l’impression d’être enchainé, hors de mon contrôle. Ne pas être seul dans ma tête, ne pas pouvoir réfléchir en paix. Être toujours en combat perpétuelle, ne jamais être en accord. Argumenter, me défendre, elle me met en colère, me sors de mes gonds, me fait devenir plus dangereux encore. Je suis jeune pour devenir fou, je refuse! Ou du moins, si c’est comme ça, utilisons les choses à mon avantage.

Tournant autour de ma proie, ma baguette à la main, laissant cette dernière rouler gentiment entre mes doigts. Je regardai le pauvre homme, enfin homme… je n’étais même pas sûr de pouvoir appeler ça un homme. Le bruit de mes pas raisonne en écho dans la ruelle sombre, lugubre et humide qui fait office de scène de spectacle à ses bestioles les rats qui nous regarde avec curiosité. Ce… personnage devant moi, s’appelle Ashford. Il est jeune, et tellement laid. Fils du docteur qui a fait l’évaluation psychiatrique sur ma personne. Il se croit bon. Il se croit fort. Depuis que j’ai gentiment remercié son père pour ses si bons services, il avait pris sa place au département de Sainte-Mangouste. Dommage, personne n’avait compris mon acte alors, voyant cela comme de la barbarie. Je l’ai dit, personne ne peut me comprendre…

-Qu’attendez-vous de moi…

L’homme parle d’une voix faible, à la fois exténué et apeuré. Je ne pus retenir un sourire narquois, continuant de tourner autour de lui. La pitié ne m’affecte pas, elle ne m’atteint pas. Je suis un cœur de pierre dans une boite de fer. Je ne ressens aucun remord, simplement qu’une certaine lassitude. Je dois admettre que j’avais fait une erreur, ce fameux jour à Sainte-Mangouste. J’avais quelque peu mal réfléchis à ce que je devais faire. Mais j’avais toujours un plan b sous la main, c’est ce que l’on appelle, savoir s’adapter à toute situation. Puis, la voix, cette petite voix de jeune fille, d’une petite gamine de 5 ans, qui jouait et rejouais toujours dans ma tête, se refit entendre. ** Pourquoi ne pas abréger ses souffrances, Elijah…**

-La ferme!

On aurait presque pu croire que je parlais à l’homme, à genou au sol, les mains liés derrières le dos, le sang coulant le long de son visage, sur ses bras et son dos, mais non… Lorsque je ne faisais pas réellement attention, il m’arrivait à parler à voix autre, d’envoyer chier mon interlocutrice… et les gens me prenait pour le pire des fous. Qu’ils le croient! Aussi bien continuer dans cette voie! Je m’arrête finalement face à lui, plongeant mon regard dans le sien, restant toujours aussi calme, ignorant cette petite ingrate qui décida de venir me déranger dans un moment pareil. Je m’approchai de deux pas, m’accroupissant pour être à la hauteur de ma proie. Je souris toujours, puis j’haussai un sourcil.

-Ne me dis pas que tu es si lent d’esprit mon ami… Tu sais très bien ce que je veux…

L’homme me cracha au visage, un mélange de sang et de salive… plus du sang d’ailleurs. Avec lenteur, je me relevai, j’essuyant à l’aide de deux doigts, puis regardant le liquide y couler, j’amenai finalement mes doigts à mes lèvres, léchant son sang, se liquide si précieux… puis j’inspirai un coup, avant de le regarder.

-Tu sais que j’aurai ses informations que tu ne le veuille ou non, de gré ou de force… ce serait beaucoup moins douloureux si tu te montrais coopérant.

-Vas bruler en enfer!

-Mmm… mauvais choix.

L’agrippant alors violement par la mâchoire, je l’obligeai à se relever, créant en lui des douleurs surhumaine, alors qu’avant tout ce cirque, c’était après lui avoir brisé certains os qui faisait en sorte qu’il se devait de rester à genou. Maintenant debout, sur la pointe des pieds, je plongeai mon regard dans le sien, puis lentement, mon esprit s’insinua dans sa tête, comme un deuxième être, l’obligeant à ne plus être maitre de ses pensées, de ne plus être seul… lui faire ressentir cette intrusion, que moi je ressens encore et encore, et toujours. Cherchant l’information qui me manquais, il ne me fallut que quelques secondes pour la trouver : l’élément qui me fera enfin reprendre le contrôle sur moi, qui empêchera cette pétasse de pouvoir me parler… cette information-là, elle est là, et je l’ai, enfin! Je relâchai alors la mâchoire de Ashford, qui tomba lourdement au sol en criant de douleur.

-Du sang de vampire…

**Rien ne te garantit que cela fonctionnera**Elle n’a pas tort c’est un essai, c’est une théorie de ce cher Antonin. Mais si cette théorie s’avéraient exact… De plus, le sang de vampire montrait déjà des « pouvoirs » que le sang humain ne donnait pas, et les gens payais une fortune pour s’en procurer il devait donc bien y avoir une raison pour tout ceci… Satisfait, plus que satisfait même, je regardai l’homme au sol avec une lueur de victoire dans les yeux.

-Et bien, merci pour l’information.

Le lendemain, le corps du jeune Ashford fut retrouvé dans une poubelle, la tête tournée dans un axe surhumain, des plaies béantes sur le corps… et quelques jours plus tard, ce fut le carnage à Stonehedge.

Ow, on a oublie de le dire, mais le don est bien entendu accepté :)

Don souhaité : Occulmen
Description rapide de votre perso : Je pense que j'ai plus vraiment à vous la présenter hein ^^
Qu'est ce que ce don vous apportera en Rp : Elle est en ce moment dans une situation plutôt difficile avec les mangemorts. Ce don lui permettra plusieurs choses, notamment d'être soit disant toujours fidèle à Voldemort , tout en pouvant rejoignant l'offensive, aimer Valerian et s'assurer que sa fille soit hors de la portée de Luka. Grâce à ce don, cela lui permet donc de fuir les problèmes et cela ne fait que renforcer son rôle d'actrice, car elle passe son temps à jouer la comédie, alors si elle peut aussi cacher ses pensées ^^ De plus cela peut être interessant, car elle le maîtrise pas totalement et lui accorde plus une faiblesse dans les situations critiques qu'une vraie force
Rp ou vous utilisez votre don :

Fuir. S’échapper. Disparaitre. Cacher. N’être plus rien. Le vide. Le silence. Tromper. Mentir. Chasser. Fin de l’histoire. Ce n’est pas une muraille. Il y a toujours des brèches dans les murailles. Ce n’est pas non plus un vide. On peut sauter par-dessus le vide. Une illusion, une tromperie, voilà ce qu’il y a dans mon esprit. Des pensées qui ne sont pas les miennes, des pensées d’une autre, qui ne m’appartiennent pas. L’autre. Elle n’existe pas. Si elle existait cela serait une forme de schizophrénie je pense. Je suis là, assise devant cet homme, charmante, souriante, je croise et décroise les jambes. Lentement, cela le trouble, pas besoin d’être légimen pour cela, je le lis dans ses yeux. Il tire nerveusement sur son col, dit qu’il fait tout à coup très chaud, je souris, simplement, parfaitement sereine. Il plonge son regard dans le mien. Il ne sait dans lequel il doit plonger. Dans l’ambre des forêts ou bien dans le bleu de l’océan.

Je suis désolé de faire cela à une…

Mangemorte. Va s’y. Prononce le mot. Il n’ose pas. Son regard va vers ma marque que je me suis remise à brandir avec la fierté de l’imbécile qui a un pouvoir qu’il ne mérite pas. Toujours souriante, toujours charmante, même si j’aimerai arracher les dents de ce sale type une à une, puis les remettre à leur place de manière manuelle et tout à fait tout aussi douloureuse. Voir plus. Soit disant complice je me permet de poser ma main sur son genoux, je me penche légèrement, révélant la naissance de mes seins. Il déglutit. Trop simple.

Ne vous inquiétez pas… Je comprends parfaitement. Allez-y. J’ai toute confiance en vous, faites votre travail.

Il hoche de la tête. Plonge son regard dans le mien. J’ai l’air détendue, j’ouvre soit disant mon esprit. Des pensées déferlent. Pas d’armure, pas de murailles, pas de vides. Rien de tout cela. Une parfaite illusion d’une parfaite pensée collaboratrice. La tromperie se joue. Je cache tout. Je cache Valerian, je cache Hayley, je les cache tous. Je cache ce qui doit être caché. Ils ne deviennent plus que des cadavres, des monstres à éliminer. Tout mon amour devient une barrière de haine. Parfaite illusion. Mon esprit est fermé à ce qu’il ne doit pas savoir. Lui le viole, il le fouille, il cherche, mais il n’y a que cette parfaite illusion. Puis il se retire. Enfin. Légèrement étourdie je m’accroche au fauteuil. Bloquer l’esprit n’est pas quelque chose qui me vient encore en un claquement de doigt. Cela laisse des séquelles physiques encore. Pourtant cela fait des années que je travaille dessus. Les maigres résultats n’apparaissent que maintenant. Je pourrais faire tout simplement ce vide. Meilleure manière de prouver qu’on a quelque chose à cacher. Pas de vide, une fausse illusion, faire croire qu’on n’a pas ce don.

Lui sourit. Charmant. Parfait. Il n’y a pas eut de failles cette fois-ci. Il parle, il m’assure que tout est parfait, que c’était normal, que j’avais eut une période de trouble et d’autres choses de ce genre. Je l’écoute, mais c’est comme si mon cerveau était une radio qui a dû mal à capter l’onde de sa voix. Elle vient, mais elle est lointaine, puis proche, il y a des grésillements. Je ne saisis pas tout. Sourit, hoche de la tête, il rit, je ris. Faire croire que tout est normal.

Vous allez bien ?

Regard compatissant. Il m’aime bien. Je crois à son attitude et sa manière de me regarder. Je souris avec une certaine timidité, comme si la pudeur m’imposer de garder le silence. Il incline sa tête sur le côté comme si cette nouvelle position ouvrirait un peu mieux mon esprit à son regard. Je le ferme un peu plus, il faut que je parte. Je ne tiendrais pas. Cela m’épuise. Sourire. Petite excuse mal à l’aise. Ce n’est, ce n’est rien mademoiselle. Je me lève. Au revoir. Tout va parfaitement bien avec vous. Je le sais. Je le lis dans ses yeux. Je tourne les talons. Je fuis. Personne ne le sait. Fuir. S’échapper. Disparaitre. Cacher. N’être plus rien. Le vide. Le silence. Tromper. Mentir. Chasser. Fin de l’histoire.

Don souhaité : Fouchelangue
Description rapide de votre perso (Age, camps, profession, maison) : Pandora Musgrave fait partie de la maison serpentard et à 16 ans. C'est une jeune fille: Ambitieuse, courageuse, fière, calme, douce, caline, aimable, gentille ,pleine de vie rusé, patiente, Protectrice, Attention à ses colère, Destructrice, Porteuse d'espoir, séductrice, intelligente. Son camp est neutre
Qu'est ce que ce don vous apportera en Rp : A l'époque ce don à permis à Pandore de la sauver des pire situations, tel que la maltraitance de sa famille maternel. Et aujourd'hui encore cela peux l'aider dans les pire situation car son ami serpent ne l'as jamais quitté, et quand elle se met en danger une seule morsure de son ami et son adversaire n'est plus un problème. Mais cela lui permet de se confié a quelqu'un sans grand risque car pratiquement personnes n'est doté de ce don. Ce don lui permet aussi de se sentir différente, et donc un peu supérieur, et d'être fière d'elle. Cela la rend aussi trés courageuse, car ça la rassure.
Rp ou vous utilisez votre don :
Pandore soupire fatiguée, elle en avait marre de travailler comme un dingue jours après jours, sans relâche et tout ça pourquoi? Pour recevoir des coups, une pluie de coups. Son regard se lève vers le ciel à travers le trou du toit de sa chambre, sa prison. Et elle sourit doucement en pensant à sa mère. Bientôt elle se vengerait, mais comment? Elle le savait, elle n'y arriverait jamais toute seule. Et bien malgré ça l'espoir reste toujours en elle, bien ancrée au fond d'elle, comme l'espoir qui était resté planqué dans le fond de la boîte de Pandore. Une larme coula malgré tout sur sa joue, un jour elle serait libre et totalement heureuse c'était son unique ambition pour le moment, mais encore fallait il qu'elle trouve quelqu'un pour l'aider. Mais qui voudrait l'aider dans ce bas monde, sa mère ? Là où elle est, elle ne pouvait rien faire pour elle. Son père ? Mais qui est-il ? Un nouveau soupire, avant de fermer les yeux. Elle doit garder espoir, quand on veut on peut, ainsi et sa devise.
Elle attrape un bout bois qui se trouve part terre et le tord réfléchissant à mille et une chose. Mais surtout à la façon de tous les tuer, de tuer toute cette famille qui avait osé la traiter ainsi. Qui avait osé faire d'elle une esclave. Elle vit plein de manière ce qui la fait sourire, mais toutes avaient le même défaut, elle l'entraînait toutes à la mort. Elle soupire et d'un coup elle entend un long sifflement, quelque chose qui glisse, puis des paroles, où plutôt un mot, un mot sorti d'un sifflement:

<< ssssalut...>>

Pandore se relève d'un coup et regarde autour d'elle et cherche qui a parlé et ne voit personne. Elle avance vers le centre de la pièce pas rassuré. Et regarde encore puis dit doucement:

<>

<< Enfin quelqu'un qui me comprend... Je sssuis là haut jeune enfant sur la poutre...>>

Et Pandore leva la tête et vit un serpent elle sursaute un instant, légèrement surprise. Puis se reprend et dit doucement:

<< Ote moi d'un doute, je te comprends alors que tu es un serpent c'est bien ça ? Comment est ce possible ?>>

<>

Pandore regarde le serpent et tend son bras vers lui, une idée lui était venue à l'esprit, et un sourire apparaît sur son visage.

<>

<< Je suis venu de parler justement pour, jolie fillette, je t'aiderai à tuer ta famille.>>

Pandore sourit, elle se sent subitement forte et puissante, invisible. Le jour de sa vengeance est enfin arrivé. Le vent a enfin tournée à son avantage.

Bonjours,

J'aimerais que mon personnage ait un don s'il vous plaît,

Don souhaité : Animagus
Description rapide de votre perso (Age, camps, profession, maison) : William Shakespeare est un jeune homme de 24 ans. Il a été à Serpentard à Poudlard. Sa fiancée a été tuée pendant la bataille de Poudlard en 1998. Il a toujours été plus discret, observateur que bavard et bruyant. Il n'aime par le régime politique instauré par Voldemort. Il désire se venger pour la mort d'Elena, et quoi de mieux que de se débarrasser de son instigateur. Il est un Hors-la-loi qui doit se cacher - souvent à la demeure familiale éloignée du monde sorcier - des Mangemorts.
Qu'est ce que ce don vous apportera en Rp : L'animal de William est un chat noir. Il va lui apporter discrétion. Cela l'aidera pour observer sans être vu, disparaître rapidement voir même écouter des conversations privées.
Rp ou vous utilisez votre don :

(Partie de l'histoire de ma fiche de présentation)

Citation :: Vers mes 19 ans, je rencontrai un homme se faisant appeler Quentin Saddler. Il semblait avoir 40 ans, mais peut-être 45 ans. On se rencontra un soir dans un bar sorcier en Bulgarie. Je crois que nous étions tous les deux complètement saoules alors que je le vis se transformer subitement en chien : un beau labrador noir pour être exact. J’eus la subite envie de faire comme lui et même de retour à la sobriété, cette idée me trottait encore dans la tête. Je n’avais rien de mieux à faire. Ainsi, pendant plusieurs jours, je suivis Quentin à moto chevauchant la sienne. Je ne le quittai plus d’une semelle. On était probablement devenus amis. On bavardait souvent et même en conduisant. Voyez-vous, il était un Animgus illégal. Quoique je me fichais bien de cette condition. J’avais tout perdu. J’étais déjà un hors-la-loi tout comme lui. Quentin était un Anglais, un aventurier qui quitta le domaine familial pour vivre une vie plus libre. Enfin, grâce à ma persévérance, Quentin décida à m’apprendre l’art des Animagi. Il avait rigolé me trouvant fichtrement têtu. Une des mes qualités avais-je répondu du tact au tact.

Apprendre à devenir Animgus fut très très difficile et éreintant. En plus, je ne pourrais pas connaître mon animal avant ma première transformation selon Quentin. Cela augmentait la difficulté, car je ne pouvais même pas m’imaginer un résultat concret. Mais je voulais devenir Animagus. C’était devenu une obsession pour moi. J’oubliai tout le reste. Elena disparut totalement de mon esprit tout comme mon pays d’origine. Cachés au milieu des bois, nous le restâmes pour plusieurs semaines et des mois. Je savais être doué en métamorphose, mais être Animagus c’était autre chose. Quentin appelait l’Animagus le summum de ce que tu peux atteindre en métamorphose. Il devait avoir raison. Après six mois, je n’arrivais qu’à changer mes pieds en … Autre chose ne caractérisant même pas mon animal. Quentin et moi, on devint les meilleurs amis. On recommença à voyager sur nos motos respectives, mais je n’oubliais pas mon but : devenir Animagus. Il m’encourageait chaque jour. Je réussissais petit à petit davantage à m’approcher de mon objectif. Ce fut uniquement lorsque j’atteignis 23 ans que ma première vraie transformation eut lieu. Nous étions en Russie. Je m’en rappelle encore comme si c’était hier. Une journée chaude et ensoleillée nous entourait. C’était l’été en Russie … Et il ne restait de moi qu’un petit chat noir la queue se baladant en l’air signe d’une très grande joie, d’une très grande fierté. On était si fiers. J’étais très fier. Malheureusement, la fête fut de courte durée. Je fus si exténué. Je m’étais endormi dès la toute fin de l’après-midi.

Merci.

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