Ϟ Physique & Caractère.
WHITE CHAPEL 1888
Lily, elle aime les jolies robes des dames, elle aime aussi leurs grands chapeaux, tout comme elle aime le vin et les bonbons. Sauf qu’à une femme comme Lily on n’offre si chapeaux, ni vins, ni bonbons. Lily c’est le genre d’fille que les mecs viennent voir, ils besognent gaiment entre ses jambes contre un mur sale ou une barrière dans un coin sombre en échange de quelques shellings. Elle déteste l’Angleterre, elle déteste encore plus Londres. Tout est si gris, tout est si sale. Son pays lui manque, il n’était pas parfait, loin de là ! Au moins c’était le pays de la liberté et du droit des hommes, c’que lui répétait encore et encore la bonne sœur de l’orphelinat. M’enfin de toute évidence juste celui des hommes et pas des femmes. L’ont vendu à un type louche, elle et quelques autres filles. Quand on est orphelin votre sort est toujours très incertain. Généralement vous finissez servante dans une demeure minable, enfin ça, c’est si vous avez de la chance, beaucoup finissent à la rue. Sauf qu’il y a pire que la rue et malheureusement Lily. Elle. Elle n’a jamais eut vraiment de chances.
PETIT VILLAGE FRANCAIS 1988, LILY A NEUF ANS
« Maaaan. »
« Chui pas ta mère. »
« Papa veut que j’t’appelle man. »
« C’est même pas ton vrai père. »
La gamine reste interdite. Ses grands yeux noisettes menacent à chaque seconde de s’emplir de larmes, mais elle se l’interdit, elle sait que l’Autre, celle qu’elle doit appeler maman aura gagner dés que la première larme s’enfuira de ses yeux. Parait que ce n’est pas elle qui est méchante, mais Lily qui est une enfant à problèmes et qui veut s’imaginer sa belle-mère en marâtre pour qu’elle vive dans un conte de fée. M’enfin c’est ce que dit le psy. Cela irait jusqu’à un point que son cerveau déforme les paroles. C’est ce que dit le psy. Elle le croit, le psy cela doit être un ogre ou un complice de sa mère, voilà tout.
« Papa dit que c’est pas grave. »
L’Autre tire une taffe comme elle dit. Un sourire narquois se dessine sur ses lèvres. Lily la regarde de son regard effronté, la défiant d’essayer écraser sa cigarette sur sa peau. Elle se met à se mordre son pouce droit et l’Autre qui donne une tape sur la main. Les larmes jaillissent des yeux. La gamine s’en va en courant.
« PAPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! »
WHITE CHAPEL 1888
Pendant sur le type la prend par derrière elle regarde d’un air rêveur la mer. Elle ne sent plus grand-chose maintenant, peut être qu’à force on perd la sensibilité de ce genre de chose ? Au début cela était douloureux, elle pleurait souvent, de douleur, mais surtout de honte il faut le dire… Sauf qu’elle n’avait pas le choix. Elle aurait aimé dire qu’elle vient d’une noble famille riche ou quelque chose du genre. Sauf que ses parents sont bels et bien en vie. Enfin avant qu’elle quitte l’Angleterre, ils l’étaient elle croit. Un jour ils se sont pointés à l’orphelinat, un sourire fleurit sur les lèvres, enfin ils. Ce n’était même pas sa mère et son père, juste son père et un vague frère, peut être un cousin. Ils se sont excusés, lui ont fait la promesse qu’à l’époque ils ne pouvaient pas s’occuper d’elle et que c’était la meilleure chose à faire. Ils ont dit qu’ils viendraient la récupérer. Son père louchait un peu trop sur ses seins à son goût. Elle l’a attendue, enfin elle aurait voulu l’attendre, on l’a vendue le lendemain, elle n’a pas eut le choix. De toute façon vu les regards lubriques de sa soit disant famille valait mieux que ce soit ainsi. Le type dit des trucs, elle émet quelques fades gémissements pour satisfaire sa virilité et repart dans sa contemplation des bateaux. Ils sont énormes, dessus y a des grandes dames, des vrais, pas du genre comme elle. Ils partent ailleurs, souvent pour le nouveau monde. Elle aimerait elle aussi partir pour le nouveau monde. Sauf que quand on vous baise sous la pluie d’Angleterre pour quelques pièces d’argents on va pas pour le nouveau monde.
PETIT VILLAGE FRANCAIS1988, LILY A NEUF ANS
Elle est ce qu’on nomme une orpheline. Elle se dit elle-même deux fois orphelines. La première fois ce fut quand les circonstances l’ont amené dans cet orphelinat, plutôt joyeux, pas comme dans Oliver Twist, mais à l’époque elle n’était qu’un bébé. Elle a été asse rapidement adoptée, avec ses yeux noisettes et ses cheveux blonds comme le soleil, sans parler de ses grands sourires comment y résister ? La seconde fois où elle est devenue orpheline ce fut quand elle a perdu sa maman d’adoption. Elle devait avoir quatre ans. Elle ne se souvient plus vraiment d’elle. Juste d’un vague souvenir d’une femme incarnant la perfection, genre une marraine la bonne fée. Elle a envie de se dire qu’elle veille sur elle depuis les étoiles. M’enfin si c’était vraiment le cas son père ne se serait pas remariée avec l’Autre. Elle est certaine qu’elle la déteste. Elle n’aime pas les trucs bizarres qui se passent autours d’elle. Parfois elle murmure le mot sorcière en la regardant méchamment. De vous à moi ce n’est pas très sympathique si vous voulez tout savoir… Elle ne sait pas trop pourquoi elle ne l’aime pas, on dit que c’est parce qu’elle n’a pas d’enfant, m’enfin, aller savoir !
WHITE CHAPEL 1888
Je suis morte. Quelle drôle de chose de se dire ça. Je suis morte. On ne peut plus morte. Lui qui m’a tué, je crois qu’on le nomme Jack L’Eventreur. Il avait une odeur de mort autours de lui, il était probablement la mort lui-même. Je ne suis pas le genre de personne qui va vers les hommes, ce sont eux qui vont vers moi. Pourtant lui avait cet attrait irrésistible qui a fait que je suis allée vers lui. Je savais que j’allais mourir, mais pourtant je suis allée le voir. Il a très doux, très généreux. Il ne m’a pas touché, enfin pas comme les autres hommes. Il ne m’a pas payé non plus. Tout un tas de rituels bien étrange. Ne t’inquiète pas qu’il m’a dit, tu vas revenir, dans une autre époque, tu es une gentille fille, tu ne mérites pas cette vie. Une autre époque. Quelle chose étrange ! Je suis morte. Je dois revenir. Pas d’ange, pas de paradis pur moi. Juste… Je crois je dois attendre. Je ne sais pas trop quoi…
PETIT VILLAGE FRANCAIS1988, LILY A NEUF ANS
Je me suis réveillée, je ne suis plus morte. Enfin je ne sais pas trop. Je ne suis plus vraiment dans mon corps, enfin si, enfin c’est compliqué. Je suis dans mon ancien corps, dans celui que j’avais quand j’étais gamine. J’ai neuf ans je crois, au vu des souvenirs qu’il y a dans mon esprit je suis une nouvelle fois orpheline. Je le suis même par deux fois là. Ma belle mère ne m’aime pas, alors j’essaie de faire en sorte qu’elle et mon père rompent. J’ai des cours dans une école cette fois-ci. Je suis plus éduquée, je sais lire, écrire, j’apprends un peu l’anglais, tout le monde s’étonne de ses soudaines connaissances qui sont apparues chez moi. Cette nouvelle vie n’est pas des plus désagréable, je suis heureuse, en pleine forme, je crois que dans cette nouvelle vie je pourrais devenir une grande dame. Alors oui le monde a bel et bien changer, on ne peut plus changer d’ailleurs. Après tout un siècle est passé ! Je suis dans le corps de cette gamine. Ou peut être est-ce moi, cela est très compliqué. Je devrais peut être aller voir un médium ou quelque chose du genre…
CORRESPONDANCES DIVERSES ET VARIÉES
Ma très chère Rose,Bien que tu sois morte, je ne peux cesser de t’écrire encore et encore. Cela ne plait pas vraiment à Camélia, mais je ne peux m’en empêcher. Notre fille grandit de jour en jour. Toujours aussi resplendissante. Elle ne s’entend pas très bien avec Camélia, ne cessant de la comparer à la méchante belle maman de Sophie pour reprendre ses propres mots. Je ne sais pas trop ce qui lui prend. Cependant elle est encore plus étrange depuis qu’elle est tombée sur une photo des victimes de Jack l’Eventreur. Je sais qu’elle n’aurait jamais dû voir se reportage à la télé, mais quand Lily veut, Lily a. Elle a l’air troublée, non par les meurtres, mais par cette fille, elle ne cesse de dire qu’elles ont le même prénom, que cela été elle. Parfois elle a des moments de sortes… d’absences. Elle n’agit non plus comme une enfant, mais comme une adulte, se met à parler dans un anglais un peu rustre et oublié de tous. Au moins elle a cessé, elle-même un français un peu vieillot. Je m’inquiète de plus en plus pour elle. Sans parler de tous ces évènements étranges qu’il y a autours d’elle. Comme s’il y avait… de la magie, mais la magie cela n’est pas possible n’est-ce pas ? Cela n’existe pas après tout ! Avec Lily on n’est jamais sûr de rien à vrai dire…
Richard, ton mari qui t’aime. Mon très cher papa, Je suis bien arrivée à Beauxbatons ! Fait super chaud et y a toujours du soleil ! C’est super cool ! J’adoooore le château, j’ai l’impression d’être une princesse. Les cours ne sont pas toujours simples, mais je m’en sors plutôt bien. J’ai plein d’amis ! Bisous bisous papa.
Très chère madame Irma,Je ne sais trop si cela est votre vrai nom, mais on croirait avoir affaire au stéréotype d’une voyante de vous à moi. Je me nomme Lily. Je ne viens pas de cette époque. Autrefois on ne me connaissait pas sous ce nom, je ne sais même pas lequel ils m’ont donnés dans les journaux. Je suis morte. Enfin j’étais morte. Jack l’Eventreur m’a tuée, il m’a offert une chance selon oui. Cependant je ne saisis pas, je ne comprends pas pourquoi je suis redevenue une enfant. De plus je n’ai pas toujours conscience de qui je suis vraiment, il me faut un connecteur avec mon passé pour redevenir cette fille que j’étais autrefois. On dit que vous êtes la meilleure medium. Enfin à tout ceux qui j’ai écrit on les disait être les meilleurs mediums aussi. Malgré mon jeune âge je ne suis pas stupide, ne pensait pas pouvoir donc m’arnaquer. J’ai besoin d’aide, j’ai besoin de comprendre. Vous devez m’aider. Je vous en supplie.
Lily. Monsieur Baudelaire, Comment allez-vous ? J’ai reçu une lettre de l’école de Lily et je suis très fière de voir que l’une de nos petites pensionnaires est rejoint une école d’élite. Elle est une certaine fierté pour nous je dois vous l’avouez. Je ne vous écris pas pour cela toutefois, mais au sujet de la lettre de votre femme. Soit disant que Lily n’arrive toujours pas à l’accepter, elle semble être à la fois terrifiée et perdue. Elle va même jusqu’à émettre l’hypothèse qu’elle devrait peut être retourné en orphelinat ou du moins rejoindre une autre famille. Sachez que ceci nous n’est jamais arrivé, mais selon la loi nous sommes obligées de l’accepter. Je vous prie néanmoins Monsieur Baudelaire à bien réfléchir à cette idée. Lily vous considère comme son père. L’abandonner de cette manière serait un des actes les plus honteux.
Madame Garnier, directrice de l’Orphelinat de Notre-Dame des Colombes Alors tu es arrivée à ce que tu veux petite garce ? Je sais que toi et moi ne nous sommes jamais vraiment entendus, pourtant je t’ai accepté dans ma vie malgré que le simple fait de ta présence semble être une cruelle ironie du destin me rappelant que tu n’es pas ma fille, mais celle de sa première femme qu’il ne peut oublier et surtout que moi-même je ne peux pas avoir d’enfant. Pourtant j’aime ton père, je l’aime plus que tout. Comment oses-tu écrire une lettre à mon nom à cet orphelinat pour faire croire que je ne veux plus de toi ? J’aurais aimé que nous devenions amies Lily. Vraiment. Cependant cela n’est plus possible. N’essaie pas de revenir pour les vacances, nous nous retrouveront en juillet. Nous devons avoir une discussion avec ton père.
AliceMa très chère Lily !Tu ne sais pas ce que tu rates à Poudlard ! Pouvoir assister à la coupe de feu est on ne peut mieux ! Je ne comprends pas pourquoi tu as refusé d’appartenir à la délégation, tu aurais pu pourtant. J’ai même rencontré Harry Potter, yiiih, j’aimerai tant qu’il m’invite au bal. Bon je sais que tu me regarderais de ton petit regard moqueur, me disant que c’est qu’un type qui n’est même pas vraiment beau, mais c’est H.P. bordel ! M’enfin vu qu’il est anglais tu ne peux pas l’aimer, ça je le sais tu hais les anglais pour une étrange raison que tu refuses de me faire savoir même si je suis ta meilleure amie. Tu ne t’ennuies pas trop à Beauxbatons ? Si tu savais à quel point je me languis de toi et j’attends avec impatience tes réponses qui se font de plus en plus rare. Où est donc passé ma joyeuse Lily où son monde est toujours tout beau, tout parfait, tout rêveur ? Tu m’inquiètes tu sais. Tu sembles toujours en plus en plus troublée. Ne fait surtout pas de bêtises, jure le moi ! Te connaissant tu risques de faire une connerie quand tu es dans cet état.
Serena.
Chère miss Baudelaire,Malgré vos actions qui vous ont renvoyés de l’école, vos professeurs ont tenus à ce que vous passez vos ASPICS tout de même. Nous vous invitons donc à vous rendre à Beauxbatons lors de la date de vos examens.
Olympe Maxime, directrice de Beauxbatons Lily !Tu es la fille la plus conne et la plus géniale qu’il soit. Sérieusement, quels élèves aurait réussit à mener une révolte des elfes de maisons à la manière de la révolution française au sein de l’école. Je ne sais si l’on peut dire que c’est du génie ou la chose la plus stupide qu’il soit. En tout cas cela à amener le chao à Poudlard. Maintenant les elfes de maisons s’attaquent aux élèves, ils réclament des droits et je ne sais trop quoi. Et je ne parle même pas de la beuglante que tu as envoyée à la directrice pour lui faire savoir que tu quittais définitivement le monde magique qui est à tes yeux soit disant complètement arriérés, esclavagiste, misogyne et je ne sais trop quoi non plus. Tu es vraiment sérieuse ? Tu penses vraiment tout cela ? Te connaissant cela ne m’étonnerait pas, tu as une idée si arrêtée sur les choses ! Enfin bon. Même si de toi à moi je pense que tu as en fait mené cette révolution pour te venger de notre prof avec qui te couchait. Une histoire des plus affreuses et des plus glauques selon les rumeurs… Cependant j’aimerais que tu m’en parles de vive voix ! De toi-même !
SerenaJe t’appelais Lily la tigresse. Tu t’en souviens ? Je ne vais pas commencer ma lettre par chère Lily, tu l’aurais déchirée dés la lecture de ces mots. Peut être même que tu l’as déchirée, je ne sais trop si tu l’a lis vraiment. Je m’excuse, notre relation a été… il n’y a pas de mots pour la décrire. Ce n’est pas dans mes habitudes d’avoir des relations avec mes élèves, mais toi… Que dire de toi. A part que tu as fait de ma vie une merveille et que c’était à regret que j’ai dû me séparer de toi. Je te le jure, je l’assure, tout comme je te jure que je ne comptais pas te blesser en t’offrant de l’argent en guise de dédommagement. J’ai vu dans ton regard qui était complètement perdue, ne savant pas trop quoi faire, blessée… Je n’ai jamais vu un tel regard chez toi. Je t’en supplie pardonne moi. Reviens-moi. Ne fuit pas le monde magique par ma faute. Ne hait pas la magie à cause de moi…
Félix DICTIONNAIRE
Angleterre, n. f. Angleterre. Un pays grisâtre, un pays de malheur, on l’a emmenée ici de force autrefois et aujourd’hui encore. Les deux fois pour la même chose. Elle déteste ce pays, fait toujours moche, les anglais ont peut pas leur faire confiance, surtout si on est française et puis c’est un pays de bourgeois coincés qui vénèrent une grosse fée rose en guise de reine. En France ils ont eut la bonne idée de décapiter leur souverains y a plusieurs siècles quoi ! Pourquoi n’ont-ils pas eut l’idée de faire la même chose dans ce pays, hein ? La royauté ça craint. En plus elle n’aime pas le thé. Ils font chier ses anglais.
Artiste maudite, n. f. Lily s’est toujours présentée comme le genre d’artiste maudite, photographe, peintre, écrivaine, toujours incomprise, cela ne la dérange pas. Elle n’a pas toujours des dons partout, mais cela plait et attire le regard. Pourtant elle rejette la célébrité, elle veut être une artiste incomprise, que voulez-vous, cela fait plus classe, beaucoup plus classe selon elle. Peut être aussi parce qu’elle a peur de grandir, gagner de l’argent, être reconnue, en faire un travail, devenir adulte tout simplement… Non elle ne peut pas s’y résoudre tout simplement.
Conte de fée, n. f. Les contes de fée, elle vit à l’intérieur dedans. Après tout son prénom vient bien d’un disney non ? M’enfin c’est pas un conte de fée, mais presque. Elle rêve que sa vie soit celle comme dans les contes de fée, pas quand ils se terminent, mais quand y a plein de problèmes, pleins d’aventures, avoir une vie banale et ennuyeuse, une vie comme tous les autres cela n’a jamais été son truc, elle, elle veut vire mille et une aventures. Elle veut être une fille qui elle aussi à un million d’aventure, découvre le monde, enfin sauf l’Angleterre, c’est trop triste comme pays…
Fuite, n. f. Ne pensez pas qu’on peut le kidnapper sans conséquences. La demoiselle a dû user de magie malgré son dégoût pour cette dernière, elle a réussit à voler une baguette de justesse à l’un de ces ravisseurs et s’est enfuie. Maintenant le souci est qu’elle erre dans les rues anglaises avec des connaissances on ne peut plus médiocre en anglais. Parfois elle ne fait pas attention et parle un anglais parfait, désuet, mais un anglais parfait tout de même. Personne ne peut l’expliquer et pourtant…
Malchance, n. m. (pour merdique) Elle ne sait pas ce qu’elle a fait, peut être que ce n’est pas sa première sa première réincarnation et qu’elle a été maudite par un sorcier peut être ou elle ne sait pas. Cependant s’il doit avoir un problème, elle sait que cela va lui tomber dessus, si elle rencontre un tueur en série, elle va aller vers lui, elle va vers les problèmes, elle n’a pas le choix, elle doit aller vers eux, elle doit leur faire face. Peut être est-ce un certains côté masochiste chez elle ? Elle ne sait trop, car elle a plus le sentiment que c’est une puissance supérieur qui la contrôle qu’autre chose…
Monde magique, n. m. Beaucoup pense qu’elle a quitté le monde magique à cause de sa relation. Pourtant c’est tellement plus que cela… Derrière ses joyeux sourires, elle ne s’est jamais sentie à sa place dans ce monde où tout semble bien trop facile. Un putin de mensonge qu’est le monde magique. On ne vit pas mille et une aventures, alors ça non ! On reste dans son petit coin bien tranquille et on ne fait rien d’autres que d’user et d’abuser de la magie. Ils n’essaient pas d’évoluer, de grandir, de découvrir de nouvelles choses, ils préfèrent rester dans leur petit monde archaïque. Cela ne lui plait pas. Elle n’aime pas ce monde…
Photos, n. p. Elle est bien plus douée dans la photo qu’on ne pourrait le penser. Elle n’aime pas prendre des photos de mannequins, de filles superbes ou autres. Ce qu’elle aime c’est prendre des photos du monde, des photos sur le vif, des personnes de tout âge, de tout sexe, de toutes beautés. Il ne serait pas bien difficile pour elle de gagner de l’argent sur ça en prenant des filles qui se pensent tout simplement magnifique sauf que… Elle déteste leur parler, elle se moque de ses filles et n’hésite pas à leur dire le fond de sa pensée au sujet de leur égocentrisme.
Poker, n. m. Le poker est un jeu où elle ne perd jamais et quand elle vivait dans les squats la plus grande majorité de ses revenus étaient les gains au poker. A un point que beaucoup qu’elle pensait qu’elle trichait, mais non ! Elle n’a jamais triché, pas une seule fois, autant elle est malchanceuse comme pas possible, autant jusqu’à ce jour elle n’a pas perdu une seule partie de poker. Allez savoir pourquoi. Beaucoup cherchent à savoir son secret, le souci c’est qu’elle n’en a pas, d’une honnêteté désarmante et avec un regard tueur, on ne sait pas trop si elle ment ou dit toujours la vérité.
Réincarnation, n. f. Peu de personne croit à la réincarnation, pourtant elle, elle la connait très bien, tellement bien qu’elle en a vécut une elle-même. Du moins elle ne sait trop si c’est une réincarnation dans le sens religieux, mais peut être plus dans le sens magique. Jack l’Eventreur, il a dû lui faire un cadeau, du moins de par ses paroles on avait l’impression que cela était un cadeau. Elle n’est pas sûr donc de sa réincarnation… Parfois elle ne s’en souvient pas, il faut que quelque chose lui rappel qu’elle était autrefois. Elle enfouie sa vie d’autrefois, sa vie qui était si désespérée…
Squat, n. m. Elle aurait pu rester dans sa petite demeure toute belle, toute parfaite, sauf qu’elle a cru que son père louchait un peu trop sur ses seins, enfin elle en doute… Elle ne sait pas trop quoi penser, parfois anciens souvenirs et réalité se mélangent… Puis il y a l’Autre bien entendu. Elle est donc partie, allant de squatt en squatt, vivant dans son petit monde à elle, bien à elle. Elle se faisait poursuivre par la police, va dans les bains publique et vivait même pas dans un sac de couchage. Pourtant elle était heureuse dans son monde, dans ses squats, elle avait ses amis, ses amants et puis voilà, ils étaient une grande famille.
Trafique Sexuel Magique ou TSM, n. m. Encore une fois, ce n’est pas la première fois qu’elle a été kidnappée, pour la seconde fois des anglais l’ont embarquée pour faire d’elle une esclave sexuelle. La demoiselle a subit quelques violences, des gros porcs qui transpiraient comme jamais et était incapable de faire l’amour à vraie femme. Pourtant c’est bien lors de l’une des soirées où elle a été envoyée à l’un d’eux qu’elle a fuit. Elle est bien décidée de se venger de ceux qui ont payé pour avoir son corps. Autrefois elle n’a pas eut l’occasion, on l’avait tuée avant… Mais là… Elle ne se laissera pas faire.